Par exemple l’étude des aspects philosophiques, sociologiques et économiques. Elle est complétée par des « jeux sérieux » comme celui proposé par l’Institut Mines-Télécom lors des journées de la sobriété numérique ou des approches imagées grâce à la célèbre « fresque du climat » qui est basée sur les travaux du GIEC et prochainement la « fresque du numérique », petite sœur de la première qui met l’accent sur l’impact environnemental du numérique.
De même, l’approche proposée par Maxime Efoui-Hess, chef de projet Numérique au Shift Project complète idéalement les précédentes : quantitative, chiffrée, analytique… avec une approche didactique de la problématique sous l’angle des contraintes carbone et de l’épuisement des ressources non-renouvelables. En prenant le meilleur des angles d’attaque proposés, chaque étudiant peut ainsi faire son propre cheminement et la prise de conscience n’en est que plus saisissante.
Et la formation Ingénieur généraliste – Parcours Environnement ?
Pour ceux qui en veulent encore plus, nous proposons également un « Parcours environnement » auquel participent des étudiants qui recevront exactement la même formation d’excellence que les autres, mais à laquelle ils ajouteront une dimension écoresponsable en réalisant l’ensemble de leurs projets et de leurs stages dans le domaine de l’accélération de la transition écologique.
L’implication de nos partenaires dans ce parcours et dans la chaire d’enseignement dont il est un des piliers est un atout supplémentaire pour notre formation.
En se plaçant au carrefour de la rencontre entre élèves, industriels et enseignants-chercheurs, Télécom SudParis prend le pari d’inventer, avec ses partenaires industriels, le métier d’ingénieur du numérique responsable. Nos diplômés seront toujours des ingénieurs en cyber sécurité, en jeux vidéo, réseaux… mais ils seront proactifs pour réparer et préparer le monde de demain.
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