Le nouveau Concours Mines-Télécom est commun à 14 grandes écoles d’ingénieurs de l’Institut Mines-Télécom (Mines Albi, Mines Alès, Mines Douai, Mines Nantes, Mines Saint-Etienne, Télécom Lille, Télécom SudParis) et partenaires (ENSTA Bretagne, ENSG Géomatique, ENSIEE, ENSSAT Lannion, Télécom Nancy, Télécom Physique Strasbourg et Télécom Saint-Etienne). Il offre 1503 places dans les écoles, aux élèves des classes préparatoires MP, PC, PSI, PT, TSI, ATS et BCPST.
Des formations d’ingénieurs dans des domaines d’avenir
Les 14 grandes écoles du concours répondent à des enjeux majeurs de la société contemporaine : Numérique, Industrie du futur, EnergieEnvironnementMaritime, Nouveaux matériaux-NanotechnologiesPhotonique, Santé, DéfenseSécurité, Transports-Mobilité et Construction & urbanisme durables. Pas moins de 130 parcours de formation sont proposés par ces écoles.
Première présidence assurée par Télécom SudParis
C’est une gouvernance d’alternance qui a été retenue. Ainsi, Christophe Digne est le premier président du Concours Mines-Télécom et ce pour une durée de trois ans. Ensuite, le directeur d’une des écoles des Mines assurera à son tour cette mission.
Volonté de simplification : 1 seule série d’écrits, 1 seule série d’oraux
Le concours Mines-Télécom recrute principalement sur les filières MP (maths-physique), PC (physique-chimie) et PSI (physique-sciences de l’ingénieur) – 1305 des 1503 places offertes – et utilise pour cela la banque d’épreuves du concours commun Mines-Ponts.
Il utilise aussi : la Banque PT pour la filière PT (physique-technologie), le Concours Centrale-Supélec pour la filière TSI (Technologie et sciences industrielles), le concours ENSEA pour la filière ATS (Adaptation pour les Techniciens Supérieurs), le Concours G2E pour la filière BCPST (Biologie, Chimie, Physique et Sciences de la Terre).