Forum virtuel des écoles du Concours Mines-Télécom
Les 3, 10 et 17 décembre 2020 de 18h à 20h, venez discuter en live sur Discord avec les 17 écoles du Concours Mines-Télécom ! Chaque école aura un salon dédié en plus d’un salon général pour poser vos questions sur le Concours Mines Télécom. Pour participer, il vous suffira de cliquer sur le lien d’accès et de vous créer, si vous n’en avez pas, un compte sur Discord (validation par mail nécessaire).
Monsieur Bruno Lemaire, ministre de l’Économie des Finances et de la Relance -ministère de tutelle de l’Institut Mines-Télécom – madame Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance et monsieur Cédric O secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance et de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, ont nommé (arrêté du 19 novembre 2020) François Dellacherie directeur de Télécom SudParis. Il prendra ses fonctions à la tête de cette Grande École d’ingénieurs à compter du 1er décembre 2020. Il succède à Christophe Digne qui a rejoint l’ANFR (Agence nationale des fréquences).
Jusqu’alors directeur adjoint en charge des technologies au ministère des Armées, il y pilotait les pôles d’excellence en Big Data, cyber sécurité, développement logiciel, télécommunications et intelligence artificielle. François Dellacherie a notamment eu la charge de développer la politique d’innovation, de recrutement de jeunes talents, les collaborations avec les entreprises innovantes du monde numérique et les chercheurs du monde académique, ainsi que la coopération internationale dans son domaine.
À la direction de Télécom SudParis, François Dellacherie a pour missions de poursuivre le développement de l’école en s’appuyant sur ses domaines d’excellence (cybersécurité, science des données et intelligence artificielle, réseaux et internet des objets, multimédia), de développer et mettre en œuvre la stratégie d’ensemble de l’Institut Mines-Télécom (IMT) dont l’école fait partie et enfin de concourir à la construction de l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris).
François Dellacherie est diplômé de l’École polytechnique. En 1991, il intègre le corps des ingénieurs des télécommunications. Il complète sa formation d’ingénieur à Télécom Paris et par un DEA en mathématiques appliquées au traitement de l’image, avant de rejoindre le ministère de la Défense. De 1996 à 2014, il y exerce des responsabilités managériales dans de nombreux domaines : comme Chef de bureau R&D (sécurité des systèmes d’information) puis comme chef de département (SSI et cryptologie) où il pilote l’ensemble de la R&D en électronique et informatique, les relations avec l’industrie et les partenariats internationaux. En 2006 il dirige le service en charge des laboratoires de télécommunications, de traitement de l’image, et de mobilité numérique. Depuis 2014, en tant que directeur adjoint, il contribue activement à l’élaboration et à la mise en œuvre opérationnelle de la stratégie numérique du ministère pour les activités de défense et de sécurité nationale.
A l’occasion de sa nomination, François Dellacherie a déclaré : « Je suis particulièrement fier de prendre la direction de Télécom SudParis ! Je connais depuis longtemps les nombreux atouts de l’école, et je suis très enthousiaste à l’idée de poursuivre son développement avec les équipes en place. Et de renforcer son rôle d’acteur académique et économique dans les différents écosystèmes numériques français et internationaux. »
Hervé Debar, directeur de la recherche et des formations doctorales de Télécom SudParis, assure l’intérim de la direction de l’école jusqu’à l’arrivée de François Dellacherie.
Elève ingénieure en 2e année à Télécom SudParis, Karolina Gorna est depuis un an à la tête de Kryptosphere, la première association étudiante spécialisée sur la blockchain et les nouvelles technologies. Passionnée par l’espace et plus particulièrement l’économie spatiale, elle a été choisie par la NASA comme community lead du Space Apps Challenge Paris 2020.
Qu’est-ce que le NASA International Space Apps Challenge ?
Il s’agit du plus grand hackathon international, qui fait partie d’un programme d’incubation de la NASA. Celui-ci convie des participants du monde entier le temps d’un week-end pour créer des applications informatiques. Cette année, il a rassemblé 26 000 participants à travers 150 pays et territoires. Ce challenge a pour but d’exploiter les données collectées par des satellites pour résoudre des problèmes concrets rencontrés sur terre ou dans l’espace.
La spécificité est que les données des cinq agences spatiales partenaires – NASA, CSA, CNES, ESA et JAXA – sont open source, et donc accessibles à tous. Au regard de leur nombre, il est difficile de les traiter toutes ; le NASA International Space Apps Challenge est l’opportunité de stimuler des contributions à la science de tous citoyens, à travers des challenges divers et variés.
En quoi consiste le rôle de community lead ?
Le community lead est la ou les personnes qui organisent le NASA Space Apps Challenge dans une localisation dans le monde, et il y en a autant que de villes participantes, c’est-à-dire 251 cette année. J’ai eu le plaisir de partager ce rôle avec Julie Martin, qui m’a rejoint au cours de cette édition. Pendant un mois et demi, nous avons participé chaque semaine aux réunions en ligne avec les autres community lead de toutes les localisations. Ces réunions nous ont permis d’acquérir toutes les bases organisationnelles de l’événement, de la gestion du site internet à l’utilisation des offres des collaborateurs globaux et des plateformes en ligne.
La France a organisé le Space Apps la dernière fois en 2014, mais il fallait tout reprendre en main, et notamment créer des réseaux sociaux et organiser les cérémonies d’ouverture et fermeture disponibles en rediffusion sur YouTube (chaîne KRYPTOSPHERE Student Society). Maintenant que les résultats du challenge sont connus, nous accompagnons les 2 projets gagnants EDD et X-Antenna, pour la phase suivante. Ils sont en compétition avec les autres vainqueurs de chaque localisation pour les titres de global winner par catégorie annoncés en janvier prochain.
Comment avez-vous été choisie pour organiser le Space Apps Challenge Paris ?
L’histoire est assez insolite car le hackathon n’est que très peu connu en France. Au printemps dernier, nous organisions une table ronde avec Kryptosphere sur le futur des nouvelles technologies en Afrique. C’est en regardant le profil de l’un des intervenants sur LinkedIn que j’ai vu qu’il avait gagné un Award en participant au Space Apps Challenge de sa localisation.
Après des recherches, j’ai constaté qu’il était possible de candidater pour
organiser ce challenge dans sa propre ville et je n’ai pas hésité à postuler de suite pour Paris. Ma surprise était d’autant plus grande quand j’ai réalisé que la France n’avait pas participé au challenge les années passées, alors que nos voisins, l’Italie ou l’Espagne, comptaient plus de dix localisations chacun. Au début du mois d’août, j’ai appris que ma candidature a été retenue et ce fut le début de l’aventure.
Le Covid a-t-il impacté cette édition ?
La NASA a voulu trouver une solution pour ne pas annuler l’événement malgré les mesures sanitaires. C’est pourquoi en mai, l’agence spatiale américaine a testé un challenge spécial Covid entièrement virtuel, qui s’est avéré concluant. La 9e édition du Space Apps Challenge s’est donc tenu totalement en virtuel, sur le modèle de celui-ci. Nous avons utilisé la plateforme Rocket.Chat ainsi qu’un serveur Discord et Slack pour interagir avec les participants et entre nous. L’expérience était certainement différente de ce qui a pu se faire lors des éditions précédentes, mais l’émotion et la joie étaient bien présentes.
Peut-on en conclure que le Space Apps Paris 2020 est un succès ?
Dans notre localisation, donc en France, nous avons réuni 114 inscrits, dont 64 participants répartis dans 20 équipes pendant le hackathon de 39h. En comparaison, des localisations historiques telles que celles de Brescia en Italie, dont la community lead animait une conférence Tedx récemment, comptait 60 participants. Nous sommes donc assez contents du résultat.
Il était touchant de voir également que l’ensemble de l’événement était un appel à la diversité et au partage : lors du weekend de hack, nous avons par exemple été invités à rejoindre le live animé par les community lead d’Islamabad au Pakistan ! Finalement, le véritable succès a surtout été de monter le projet ensemble avec les membres de Kryptosphere : Julie bien-sûr, ainsi que Louis, Anne-Sophie, Aymeric, Luka, Thurshani et Anas. Un vrai travail d’équipe !
Voudriez-vous l’organiser à nouveau ?
Certainement ! Nous nous sommes déjà réinscrits et espérons que la prochaine édition se tiendra en physique, ou du moins en version hybride. Il est certain qu’avec l’expérience acquise, nous mettrons tout en œuvre pour que la 10e édition de l’International Space Apps Challenge à Paris soit d’autant plus inoubliable. Il ne s’agit pas seulement d’un hackathon, mais d’un événement intergénérationnel qui fait rêver et nous dont nous continuerons à entretenir la flamme.
Semaine PROCCI, PROfils de Comportement et de CommunIcation
La semaine « PROCCI », PROfils de Comportement et de Communication se déroule du lundi 18 au vendredi 22 novembre 2024. Destiné à nos élèves ingénieurs en 3ᵉ année, ce programme pédagogique est rythmé par plusieurs ateliers et formations avec un objectif : mieux se connaître pour mieux travailler ensemble.
Cette semaine transverse forme 150 élèves-ingénieurs de Télécom SudParis à un nouveau paradigme, plus riche : interagir avec les autres comme non pas comme on aimerait qu’ils interagissent avec nous, mais comme ils aimeraient qu’on interagisse avec eux.
L’événement est coordonné par la psychothérapeute Alexandra Beucler et Michel Simatic, professeur au sein du département Informatique de Télécom SudParis.
Rentrée 2020 : créer de la proximité malgré la distanciation sociale
Rentrée 2020 : créer de la proximité malgré la distanciation sociale
Publié le 23 septembre 2020
Réunir les étudiants, leur dispenser un enseignement de qualité dans le contexte sanitaire et psychologique dû au Covid19, c’est le défi de Télécom SudParis pour cette rentrée particulière.
Rassembler les étudiants, tout en veillant à leur protection
Pour accueillir ses étudiants dans les meilleures conditions de protection, Télécom SudParis a décidé d’être au-delà des normes minimales recommandées : un mètre de distance entre ses étudiants et port du masque. Chaque élève a donc reçu 3 masques en tissu, lavables 60 fois pour assurer sa protection.
Une mise en contact facilitée dès les premiers jours
Premier jour de la rentrée 2020
Pour la vie étudiante et l’acquisition de certains apprentissages, rien de tel que le présentiel. Télécom SudParis le favorise donc en exploitant de façon optimale les capacités de ses salles de cours sous la contrainte de distanciation physique. La promotion entrante a été décomposée en binômes d’élèves. Quand un élève du binôme suit physiquement le cours, l’autre y assiste en ligne. La fois suivante, c’est l’inverse. L’avantage : garantir les meilleures conditions d’accès à l’information en permettant l’échange avec une personne de référence ayant vécu le cours en direct.
L’application TINter permet de « matcher » des profils similaires selon des critères définis par les étudiants eux-mêmes.
Et pour créer des liens plus forts, Télécom SudParis a conçu sa propre application afin de définir les binômes : TINter. Celle-ci permet de « matcher » des profils similaires selon des critères définis par les étudiants eux-mêmes. C’est ensuite un outil de choix pour activer la vie associative.
Emmanuel Monfrini, Directeur adjoint des formations, en charge de la formation ingénieur, insiste : « Lors de mes entretiens avec les étudiants, je les incite à jouer en équipe : ils ne sont plus dans un système de sélection, le but est que chacun obtienne son diplôme à la fin. Je les invite donc à compter sur leur binôme et à faire sorte que celui-ci puisse compter sur eux ».
Un accompagnement accru pour éviter l’isolement
Pour Cécile Narce, responsable scolarité, intégration et accompagnement, le challenge est de veiller à garder les étudiants mobilisés, en évitant l’isolement ou le décrochage scolaire.
Install party à la rentrée
« Nous avons mis en place un dispositif pour les écouter : un suivi téléphonique, une page Facebook et cela va jusqu’à des entretiens hebdomadaires pour ceux qui en ont besoin« , précise-t-elle.
« Certains ont perdu leur job d’étudiant avec la crise sanitaire et nous proposons donc des aides financières. Même la fondation des écoles de l’Institut Mines-Télécom, la Fondation Mines-Télécom, participe pour financer l’achat de matériel informatique perfectionné afin que chacun puisse suivre ses études de façon confortable et efficace ».
Suivre les cours à distance implique en effet du matériel adéquat. La rentrée commence dès lors par une session d’ « Install Party » où chaque élève se voit équipé et préparé à l’enseignement comodal.
Un enseignement différent, dans la même exigence de qualité
La formation comodale est la figure de proue en matière de pédagogies innovantes. Télécom SudParis y travaillait depuis longtemps. Il y a cinq ans déjà, l’Ecole créait de cours à distance, formait les professeurs. Savoir-faire technique et expérience pédagogique furent un atout pour rebondir avec agilité et rapidité dès l’annonce du confinement.
Notre volonté est de proposer la même qualité d’enseignement tant à ceux qui le suivent physiquement qu’à ceux qui le suivent à distance. Formation du corps enseignant, création d’outils, exploration du développement pédagogique… Tout a été pensé pour parvenir à cette exigence de qualité.
Il est toutefois une chose sur laquelle l’école ne transige pas : les épreuves finales. Celles-ci ont toujours lieu en présentiel, pour valider, dans les meilleures conditions, la qualité de la formation du diplômé.
Une anticipation constante pour assurer la sérénité des étudiants
Face à la difficulté de prévoir l’évolution de la situation sanitaire, l’équipe de Télécom SudParis a organisé l’année scolaire selon un scénario flexible, alternant présentiel et distanciel. Ainsi, si les règles de distanciation venaient à se durcir, les étudiants ne fonctionneraient plus en binôme, mais en quadrinôme : la rotation pour assister aux cours se ferait alors une fois sur quatre. Les scénarii sont prévus et simulés, de manière à réagir promptement en fonction de l’actualité.
Dans ces circonstances pleines d’aléas, Télécom SudParis capitalise sur sa capacité à anticiper et à s’adapter aux changements et encourage les étudiants à faire de même, ce qui est finalement l’un des fondements de sa pédagogie. Cela confirme aussi sa volonté de placer l’entraide, l’humain et les technologies numériques au centre de son apprentissage.
Et comme le dit Emmanuel Monfrini : « nous en avons ressorti de bonnes pratiques que nous garderons par la suite car, si cela nous permet d’avoir des étudiants qui sont en moyenne plus forts, cela nous intéresse ».
Le jeudi 17 octobre 2024 de 14h à 18h, Télécom SudParis organise des rencontres avec ses partenaires entreprises à destination de ses élèves, en collaboration avec Institut Mines Télécom-Business School : le Partners Day.
Vous êtes partenaire de l’école et souhaitez mieux vous faire connaître auprès d’élèves ingénieurs ou managers Bac+5 et jeunes diplômés ? Vous cherchez à recruter pour des stages longs (6 mois) ou un premier emploi ? Venez rencontrer nos élèves et jeunes diplômés sur notre campus d’Évry-Courcouronnes !
L’Institut Polytechnique de Paris et HEC Paris créent un Centre d’ambition mondiale en IA et des Sciences des données
Publié le 18 septembre 2020
HEC Paris et l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris) annoncent la création de Hi! PARIS, un centre interdisciplinaire de recherche et d’enseignement consacré à l’IA et aux Sciences des données. L’ambition affichée de Hi! PARIS, premier centre en Europe interdisciplinaire et interinstitutionnel, alliant éducation, recherche et innovation, est de devenir un leader mondial du domaine d’ici 5 ans, en relevant les principaux défis liés à la transformation technologique et à son impact sur les entreprises et la société.
Le Centre s’appuiera sur les 300 chercheurs et sur les infrastructures d’IP Paris et HEC Paris dans ces domaines. Il s’inscrit dans le prolongement d’une collaboration dynamique intense entre les deux institutions qui partagent déjà une école doctorale et des diplômes de masters communs. Il est entièrement financé par des entreprises mécènes mobilisées autour des deux institutions académiques.
Espace unique de rupture, de formation et d’innovation, d’élaboration et de transferts de technologie, Hi! PARIS interviendra dans des domaines d’applications clés tels que l’énergie et l’environnement, la défense et la sécurité, la santé, le retail et l’industrie du luxe, les télécoms, l’alimentation, la finance et l’assurance…
En renforçant les collaborations entre les Écoles d’IP Paris et HEC Paris, et en capitalisant sur leurs expertises couvrant un large spectre académique, Hi! PARIS aura un puissant impact à l’échelon européen et mondial en termes de recherches data-IA et de formations (ingénieurs, managers, jeunes chercheurs, formation continue), ressources aujourd’hui indispensables aux entreprises et aux laboratoires, publics comme privés.
Pour les professeurs Eric Moulines (IP Paris) et Thierry Foucault (HEC Paris), co-directeurs scientifiques du Centre, « Grâce à une équipe d’enseignants-chercheurs de rang mondial, Hi! PARIS a pour ambition de mener des projets qui permettront d’exploiter tout le potentiel de l’IA en recrutant 30 nouveaux professeurs et 150 doctorants parmi les meilleurs au monde, et de former la future génération d’ingénieurs et de managers qui construira une IA au service de tous, en triplant en 5 ans le nombre d’étudiants formés dans le domaine. »
Afin de soutenir ses ambitions mondiales, le Centre s’appuie sur une vision disruptive d’un mécénat d’entreprise basé sur des contributions financières importantes soutenant une recherche sur le long terme.
Ces collaborations, essentielles pour devenir un champion international de l’enseignement supérieur et de la recherche en IA et en sciences des données, permettront de mettre en place un programme postdoctoral capable de rivaliser avec les plus grandes institutions dans le monde.
Les financements, provenant des entreprises partenaires et des fondateurs académiques, permettront de recruter les talents dont les axes de recherche viendront compléter les thématiques déjà étudiées au sein de Hi! PARIS. Le Centre compte d’ores et déjà sur le soutien de cinq mécènes fondateurs : L’Oréal, Capgemini, TOTAL, Kering et Rexel.
Pour Eric Labaye, Président de l’Institut Polytechnique de Paris, « L’objectif est de créer un leader mondial dans le domaine de l’Intelligence Artificielle et de la science des données. Par l’excellence de notre recherche et de nos formations, ce centre travaillera aux frontières de la science afin de développer une Intelligence Artificielle et une science des données responsables et éthiques. Hi! PARIS contribuera au développement d’une souveraineté numérique de la France et de l’Europe, assurant la compétitivité de ses entreprises, l’efficacité de ses administrations, et la qualité de vie de ses citoyens ».
Selon Peter Todd, Directeur Général HEC Paris, « Le succès de notre projet est fondé sur le pari de la pluridisciplinarité au plus haut niveau, permettant la combinaison des expertises complémentaires et reconnues d’HEC Paris et de l’Institut Polytechnique de Paris, mais aussi sur le soutien d’acteurs majeurs du monde économique. Nous espérons que beaucoup d’entreprises rejoindront Hi! PARIS qui façonnera une nouvelle IA au service d’une économie durable et d’une société plus juste ».
CONTACTS PRESSE
HEC Paris – Sophie Garnichat – garnichat (at) hec.fr +33 6 76 21 77 54
Institut Polytechnique de Paris – Astrid Salcedo – astrid.salcedo@ip-paris.fr +33 7 63 61 27 69
Institut Polytechnique de Paris fête son 1er anniversaire
Le 31 mai 2019, l’Institut Polytechnique de Paris a été créé, réunissant Ecole Polytechnique, ENSAE Paris, ENSTA Paris, Télécom Paris et Télécom SudParis. Si bâtir un institut de rang mondial prend du temps, il n’a fallu qu’un an pour que l’union des cinq grandes écoles à travers IP Paris porte déjà ses fruits.
Le premier bilan du Président Eric Labaye
1 an de réalisations
Programmes de formation d’excellence, recherche de pointe, innovation, IP Paris s’est donné les moyens de devenir un institut de science et technologie de tout premier plan. Depuis sa création, un certain nombre de réalisations marquantes sont à observer :
Déjà dans le classement « de Shanghaï »
En juin dernier, l’Institut Polytechnique de Paris a fait son entrée dans le prestigieux Shanghai Global Ranking of Academic Subjects. Depuis quasiment vingt ans, ce palmarès classe plus de 4000 institutions à travers le monde dans 54 disciplines couvrant cinq grands domaines : Ingénierie, Sciences de la vie, Sciences médicales, Sciences naturelles et Sciences sociales. Il évalue notamment la productivité et la qualité de la recherche, les collaborations internationales ainsi que les reconnaissances académiques.
En terme de compétitivité, les prochains objectifs sont évidemment d’intégrer les deux autres classements mondiaux les plus réputés dans le domaine de l’enseignement supérieur : QS (QS World University Rankings) publié par Quacquarelli Symonds et celui du Times Higher Education World University Rankings.
Le centre interdisciplinaire Energy 4 Climate
E4C relève les défis des transitions énergétiques avec ses 8 institutions, 4 partenaires industriels et 26 laboratoires de recherche.
Il a pour vocation de former les futurs leaders des énergies de demain et devrait permettre à IP Paris d’entrer dans l’élite mondiale de la transition énergétique.
70 masters et PhD tracks.
Tournés vers l’international, ces programmes d’enseignement visent à fournir aux étudiants le meilleur du monde de la recherche, dans un écosystème favorisant l’innovation et l’entrepreneuriat.
Leurs cinq domaines prioritaires sont : Énergétique et changements climatiques, Sécurité, Numérique, Technologique et Santé.
4 Ecoles Universitaires de Recherche (EUR)
Permettant l’octroi de 14 millions d’euros de financement pour la recherche, les 4 projets lauréats ont été développés en partenariat avec le CNRS ainsi que plusieurs autres établissements d’enseignement et de recherche. Ces derniers intègrent une forte dimension internationale et entretiennent des liens étroits avec les acteurs économiques.
Cette coopération «doit permettre la rencontre entre le monde du savoir et le monde de l’entreprise» avait indiqué le président d’IP Paris Éric Labaye au moment de la signature.
Un campus dynamique, innovant, attractif et durable, commun aux écoles fondatrices à Palaiseau.
Télécom SudParis fait son entrée dans le classement World University Ranking du Times Higher Education, à la 18ème place des établissements français
Publié le 2 septembre 2020
Ce mercredi 2 septembre 2020, le journal anglais Times Higher Education publie son classement mondial des universités.
Le classement de Times Higher Education repose sur 13 indicateurs de performance, regroupés en cinq domaines : enseignement (environnement d’apprentissage), recherche (volume, revenus et réputation), citations (influence de la recherche), perspectives internationales (personnel, étudiants et recherche) et revenus de l’industrie (transfert de connaissances). Les données de très nombreuses universités et grandes écoles sont passées au crible et, au final, 1527 établissements ayant une production scientifique significative sont classés cette année.
Pour la première fois, Télécom SudParis apparaît dans ce classement de référence, et en bonne place ! En effet, classée au sein du groupe 501–600, l’Ecole se positionne 18e ex-aequo parmi les 41 établissements français qui y figurent. Ce classement illustre donc la qualité de l’enseignement et de la recherche de Télécom SudParis et renforce sa notoriété à l’international.