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  • Séminaire Blockchain Pragma

    Séminaire Blockchain Pragma

    Séminaire Blockchain Pragma

    Les élèves ingénieurs de Télécom Sudparis, membres de l’association étudiante KRYPTOSPHERE, organisent la seconde édition du séminaire Blockchain Pragma. L’événement se déroule le samedi 9 décembre à Palaiseau sur le site commun à TélécomSudParis et Télécom Paris, au cœur de l’Institut Polytechnique de Paris. 

    PRAGMA 2023 rassemble plusieurs acteurs essentiels de l’écosystème blockchain qui viendront animer cette journée inédite : BPI France, Ledger, Hedera, Zetachain, Aleph et Blockchain For Good.

    Programme :

    9h45 : Table ronde Blockchain For Good, Regenerative Finance

    10h30 : Conference Hedera Hashgraph : A more scalable DLT

    11h15 : Le financement de startups web3 et tendances d’investissements crypto (Privacy Tech notamment) par Bpi France

    12h00 : Déjeuner

    13h45 : Workshop Hedera Hashgraph

    14h30 : Table ronde Bitcoin, une monnaie numérique pour la liberté individuelle

    15h30 : Conférence Zero Knowledge Proof

    16h20 : Conférence Ledger, sécurité des portefeuilles de cryptommonaies

    17h15-18h45 : Pitch Contest de Start-up

    18h45-20h30 : Afterwork

    Lieu :

    Télécom Paris, Télécom SudParis
    19 Place Marguerite Perey
    91120 Palaiseau

     

  • Thèse de doctorat : “Nouvelles méthodes d’apprentissage automatique pour la planification des réseaux mobiles”

    Thèse de doctorat : “Nouvelles méthodes d’apprentissage automatique pour la planification des réseaux mobiles”

    Thèse de doctorat : “Nouvelles méthodes d’apprentissage automatique pour la planification des réseaux mobiles”

    L’École doctorale : École Doctorale de l’Institut Polytechnique de Paris et le Laboratoire de recherche SAMOVAR – Services répartis, Architectures, Modélisation, Validation, Administration des Réseaux présentent l’avis de soutenance de madame Danny QIU, autorisée à présenter ses travaux en vue de l’obtention du Doctorat de l’Institut Polytechnique de Paris, préparé à Télécom SudParis en : Mathématiques et Informatique.

    « Nouvelles méthodes d’apprentissage automatique pour la planification des réseaux mobiles »

    Le mardi 28 novembre 2023
    à 14 h 00
    Télécom SudParis, Amphi 3,
    19 place Marguerite Perey 91120 PALAISEAU

    Membres du jury :

    • M. Hossam AFIFI, Professeur, Télécom SudParis, FRANCE – Directeur de thèse
    • Mme Samia BOUZEFRANE, Professeur, Centre d’études et de recherche en informatique et communications, FRANCE – Examinateur
    • M. Laurent TOUTAIN, Professeur, IMT Atlantique Campus de Rennes, FRANCE – Rapporteur
    • M. Fabrice CLÉROT, Ingénieur, Orange Labs Lannion, FRANCE – Examinateur
    • M. Sidi Mohammed SENOUCI, Full professor, Université de Bourgogne, FRANCE – Rapporteur
    • M. Alassane SAMBA, Docteur, Orange Labs Lannion, FRANCE – Co-encadrant de thèse

    Résumé :

    Afin d’assurer un service performant et accessible au plus grand nombre, les opérateurs de télécommunication doivent continuellement mettre à jour l’infrastructure de leur réseau mobile. Ces modifications visent à étendre la couverture et à augmenter de la capacité existante par divers moyens : ajout de nouvelles stations de base, de nouvelles cellules, éventuellement en conjonction avec un basculement technologique. Par ailleurs, le fonctionnement du réseau produit un nombre massif de données, notamment sur l’utilisation des cellules : leur trafic, leur affluence ou leur occupation.

    L’objectif de la thèse est de développer des applications de l’apprentissage automatique pour estimer les indicateurs de charge et de performance de stations de bases et de cellules concernées par un futur déploiement. Pour cela, on propose d’utiliser des données externes aux télécommunications, comme le tissu urbain et la distribution de la population pour modéliser la demande d’un territoire et améliorer la qualité des prédictions.

    Les principales contributions apportées par cette thèse sont, en premier lieu, l’estimation du profil de l’affluence hebdomadaire routinière d’une future station de base à déployer. Deuxièmement, l’estimation de l’impact de l’ajout de nouvelles cellules sur la disponibilité et la qualité de service des cellules existant sur le secteur concerné par la mise à jour. Et enfin, la prédiction du trafic de pointe de cellules 5G ajoutées sur des sites 4G existants.

    Ces résultats participent à une meilleure planification de réseau mobile. En l’occurrence, ils fournissent de nouveaux indicateurs permettant d’implémenter une recherche automatique d’un emplacement géographique optimal en termes de rentabilité et de qualité de service, lors du déploiement d’un nouvel équipement.

     

  • Tu seras ingénieure, ma fille

    Tu seras ingénieure, ma fille

    Tu seras ingénieure, ma fille

    Télécom SudParis se mobilise pour accroître le nombre de jeunes femmes qui se destinent à devenir ingénieure dans le secteur porteur du numérique. Aujourd’hui en France, un ingénieur sur 4 est une ingénieure (1). Parmi ses actions, notre école implique ses élèves dans le programme « Ambassadrices IMT ». 

    Combattre les idées reçues

    Hawa FARA HASSAN, Alizée MESNARD, Morgane BROSSARD, Jade Roland, Lyssia Medroumi, Chloé Colombani et Gabriella Leotard, élèves ingénieures à Télécom SudParis participent au programme « Ambassadrices IMT » qui a lancé sa deuxième édition fin novembre 2023. Ce programme initié par l’Institut Mines-Télécom et la Fondation Mines-Télécom, vise à intervenir au plus près des jeunes filles dans les collèges et lycées afin de démystifier le métier d’ingénieur. Tout au long de l’année, nos « Ambassadrices IMT » partent à la rencontre des écolières dans toute la France pour partager leurs expériences et montrer aux adolescentes qu’il y a une place pour elles dans une école d’ingénieurs.

    « Nous échangeons avec les élèves lors de rencontres pour déconstruire les préjugés et les mythes » explique Morgane BROSSARD, « L’idée est d’éclairer collégiennes et lycéennes pour qu’elles voient que le métier d’ingénieur c’est possible pour elles. ». À travers ces rencontres, l’objectif de Télécom SudParis est de donner aux jeunes filles l’appétence et le désir de découvrir et de s’orienter vers les métiers du numérique.

    « Ma première action est d’intervenir dans mon ancien lycée et mon ancien collège, en essayant de faire la différence en racontant mon histoire et en motivant les jeunes femmes à devenir ingénieures » commente Morgane. « J’ai hâte de dire aux collégiennes en quoi l’ingénierie est pertinente pour elles. »

    Former les élèves ingénieures à valoriser le métier d’ingénieurE

    Les « Ambassadrices IMT » sont formées par des expertes et des experts sur des questions de genre pour apprendre à neutraliser leurs propres biais lors de leurs présentations. Certaines de ces formations sont déployées avec le soutien de l’association Femmes@Numerique. Le programme comprend également des écoles d’été et d’hiver pour les « Ambassadrices IMT », des ateliers pour développer leurs soft skills ou compétences humaines, des conférences sur les questions de parité et des rencontres régulières avec des mentors femmes travaillant comme ingénieures dans divers secteurs.

    En s’appuyant sur la fondation de notre école, la Fondation Mines-Télécom, Télécom SudParis peut compter sur le soutien des professionnelles du secteur qui sont prêtes à s’investir dans la féminisation du métier d’ingénieur. Ainsi, BNP Paribas, Orange, Dassault Système, Sopra Steria et la Fondation Groupe RATP contribuent à cette mobilisation en apportant leurs propres témoignages aux « Ambassadrices IMT » qui porteront désormais le message et en finançant cette opération. Si vous aussi, vous souhaitez vous joindre à elles, n’hésitez pas à nous contacter.

    Inspirer les jeunes élèves dans les établissements scolaires

    En plus du programme « Ambassadrice IMT », Télécom SudParis mène depuis quelques dizaine d’années, différentes actions pour contribuer à sensibiliser les jeunes femmes aux métiers de l’ingénierie du numérique.

     

    egalite femme homme mixité equALLityAu cœur de la vie étudiante, la vie associative participe à l’acquisition des qualités et compétences humaines nécessaires aux ingénieurs. Parmi la soixantaine d’association étudiantes que compte Télécom SudParis, EquALLity est l’association étudiante féministe qui œuvre pour l’égalité femme-homme. L’association organise de nombreux débats sur des sujets variés afin de diffuser et partager les bonnes pratiques.

     

     

    sandrine chapelet2Sandrine Chapelet, référente égalité femmes-hommes à Télécom SudParis le confirme : « Nous développons la partie reconnaissance des sciences pour les femmes dès le collège grâce aux associations étudiantes comme Les Partenariats de l’Excellence, IN&acT, EquALLity ou encore le programme « Ambassadrices IMT ».

     

     

    les cordées de la réussiteUn autre programme porté par notre école, « Les Cordées de la Réussite », mobilise nos étudiants pour agir directement au sein des établissements scolaires. « Les bénévoles proposent du soutien scolaire et font découvrir la science aux collégiens et lycéens de notre agglomération. Ainsi, filles et garçons prennent conscience qu’ils peuvent être les ingénieures de demain » raconte Sandrine Chapelet.

     

     

    Les diplômées et diplômés de Télécom SudParis participent eux aussi à la fois aux actions « Egalité Femmes-Hommes » ou « Egalité des chances » de l’école à travers leurs témoignages inspirants.

     

    karolina gorna Karolina Gorna, ingénieure diplômée 2022 de Télécom SudParis et présidente de KRYPTOSPHERE témoigne en tant que femme dans une filière scientifique.

    Regarder son témoignage vidéo

     

     

    Solène LancrenonSolène Lancrenon, ingénieure diplômée 2021 à Télécom SudParis nous parle de son parcours et de la place occupée par les femmes dans la science.

    Regarder son témoignage vidéo

     

    Les femmes ingénieures à Télécom SudParis en chiffres

    • 24% des élèves toutes formations confondues de Télécom SudParis en 2022 sont des élèves-ingénieures
    • 23% des élèves ingénieurs généralistes sont des élèves-ingénieures
    • 16% des élèves ingénieurs spécialité Réseaux sont des élèves-ingénieures
    • 31% des apprenants en Mastères Spécialisés sont des femmes
    • 78,8% des jeunes diplômées sont en activité professionnelle contre 73,1% pour leurs homologues masculins
    • 95,8% des jeunes diplômées ont trouvé leur emploi avant l’obtention de leur diplôme contre 84,7% pour les hommes.
    • Et sur les salaires elles font jeu égal avec leurs homologues masculins.

    Devenir ingénieure, ma fille

    1. Sources Association des Femmes Ingénieures

     

  • Un élève ingénieur de Télécom SudParis présente un article scientifique à la conférence IEEE LCN

    Un élève ingénieur de Télécom SudParis présente un article scientifique à la conférence IEEE LCN

    Un élève ingénieur de Télécom SudParis présente un article scientifique à la conférence IEEE LCN

    Élève ingénieur de 2e année à Télécom SudParis, Gatien Roujanski a présenté un article scientifique lors de la 48e conférence internationale IEEE LCN sur les réseaux informatiques locaux à Daytona Beach, Floride, États-Unis (2-5 oct. 2023). Intitulée “Cellular network offloading through drone cooperation”, la contribution porte sur l’utilisation des drones pour les réseaux mobiles 6G. Grâce à des travaux réalisés au sein du département d’enseignement et recherche Réseaux et Services de Télécommunications (RST), découvrez comment notre élève s’est illustré dans la première conférence sur les aspects théoriques et pratiques des réseaux informatiques.

    Des enseignants chercheurs qui accompagnent nos élèves vers la R&D

    Ces travaux de recherche ont été réalisés au sein du département RST de Télécom SudParis, notamment par les professeurs Michel Marot et Hossam Afifi ainsi que le chercheur Adel Mounir, invité de l’Institut National des Télécommunications en Egypte. Le fait que Gatien ait été convié outre-Atlantique à présenter un article dans une conférence de rang A, alors qu’il est encore dans sa 2e année de cycle ingénieur, est déjà remarquable.

    Ce dernier le reconnaît volontiers : « J’ai été choisi pour présenter l’article en tant que principal auteur du papier. Michel Marot souhaitait que je rencontre d’autres chercheurs et doctorants à cette conférence. Sur place, tout le monde était étonné qu’un étudiant en master ait déjà publié en tant que premier auteur. »

    Il ajoute encore : « J’ai commencé mon année au département RST en travaillant avec Michel et Adel Mounir. Ils m’ont intégré à un projet qui voulait optimiser le placement de drones avec un modèle heuristique et un modèle basé sur du renforcement (IA). On m’a chargé d’implémenter le modèle, de réaliser les courbes, d’interpréter et j’ai pu participer aux choix. En regardant l’état de l’art, j’ai remarqué qu’il n’y avait pas d’article portant sur la coopération de drones pour les réseaux. J’ai commencé sur mon temps libre à implémenter quelques idées et après les avoir proposées à Michel, il a suggéré que l’on travaille plus sérieusement dessus. »

    Ce fut aussi un choix logique pour notre enseignant-chercheur Michel Marot, qui est également directeur adjoint du centre E4C de l’Institut Polytechnique de Paris (Energy for climate) dont Télécom SudParis est membre : « On se demandait comment des prédictions de charge de trafic (prédicteur neuronal) pourraient être utiles pour gérer des ressources temporaires dans un réseau cellulaire avec différents niveaux de qualité de service. Gatien a travaillé avec moi-même et le professeur Adel Mounir. Par la suite, il a proposé des idées originales sur la coopération, qu’il a évaluées. Il était donc tout naturel qu’il présentât l’article à la conférence où il fut soumis. »

    Présenter un article scientifique lors d’une conférence IEEE, c’est également valider ses travaux de recherche dans l’excellence technologique. En effet, avec plus de 421 000 membres dans plus de 160 pays, l’association à but non lucratif IEEE publie un tiers de la littérature technique mondiale dans les domaines de l’ingénierie électrique, de l’informatique et de l’électronique. Elle joue un rôle de premier plan dans l’élaboration de normes internationales qui sont à la base de nombreux produits et services actuels dans les télécommunications, les technologies de l’information et la production d’énergie.

    Résumé de la contribution scientifique “Cellular network offloading through drone cooperation”

    Pour les chercheurs de Télécom SudParis qui travaillent sur l’utilisation de drones pour les réseaux mobiles 6G, le constat est que les antennes actuelles sont mal dimensionnées : une grande partie du temps, elles ne sont pas utilisées à leur puissance maximale. Par exemple, les antennes des stades fonctionnent à leur pleine capacité uniquement lors des grands matchs. De ce fait, on pourrait choisir de remplacer les antennes actuelles par des antennes moins puissantes, et déployer des drones réseaux pour ajouter des antennes lorsque cela est nécessaire.

    Ce concept a été testé récemment par le coréen Huawei qui, en mai dernier lors de l’IEEE ICC 2023 à Rome, a fait voler un prototype dans les rues pour montrer l’efficacité de l’idée.

    « Actuellement, la plupart des modèles de drones sont considérés de manière individuelle et servent une seule cellule, liée à une antenne. Ce qui est proposé ici, c’est de faire coopérer les drones de manière autonome grâce à des fonctions d’attirance. », rappelle Gatien.

    Considérant ainsi l’ensemble des drones, nos chercheurs du département RST évaluent que ces objets connectés sont capables de décharger des données provenant des cellules adjacentes à celles où ils sont posés. De cette manière, si on a trois cellules avec un surplus, un seul drone pourrait être nécessaire, selon la demande. Cette solution réduirait de près de 50% le nombre de drones nécessaires.

     

    Présenter un article dans une conférence de rang A : quelles retombées  ?

    Pour Michel Marot : « Le premier objectif est bien sûr de participer aux avancées de la recherche dans le domaine. Mais l’approche utilisée est aussi plus générale et pourrait s’adapter dans d’autre contextes où la coopération entre ressources est possible en vue d’un service. »

    Pour Gatien, cette aventure est susceptible de faire évoluer son début de carrière dans l’ingénierie qui pourrait s’orienter vers une thèse. Quelles sont les retombées concrètes d’une présentation d’un article dans une conférence scientifique de référence ? « La rédaction de l’article et du poster m’ont appris la rigueur rédactionnelle et les codes demandés dans le domaine des maths appliquées et des réseaux. Durant la conférence, j’ai eu la chance de rencontrer des dizaines de personnes, des chercheurs allemands, suisses, américains et français. J’ai pu mettre en avant mes idées et mes capacités. Ma présentation s’est très bien passée, les retours ont été positifs et on est venu me poser un bon nombre de questions sur le papier, mais aussi le reste du travail de l’équipe. J’ai reçu plus d’une dizaine de propositions de stage de fin d’études sur Linkedin sans en avoir fait de demande. Ce dont je suis le plus content, c’est que ça peut me donner accès à des projets ambitieux et complexes. »

    Les interactions entre élèves ingénieurs et chercheurs existent déjà en 2e  année du cycle Ingénieur généraliste de Télécom SudParis, notamment lors du programme pédagogique Projets Cassiopée. À cette occasion, les étudiants s’investissent dans un projet long qui débouche sur des résultats concrets ayant vocation à être exploités. Pour Gatien, collaborer avec le département RST et faire rayonner son école a été particulièrement enrichissant : « Avoir l’occasion de travailler avec une équipe de recherche en tant qu’étudiant était déjà une opportunité. J’étais anxieux vis-à-vis de la qualité du travail et on ne savait pas si l’article allait être accepté à cette conférence. J’ai eu du mal à réaliser jusqu’à la semaine avant le départ lors des derniers préparatifs. C’est une expérience inoubliable d’un point de vue professionnel, personnel, humain. »

    Qu’il poursuive un parcours de recherche en milieu académique ou en entreprise après son diplôme, et au-delà du rayonnement scientifique de Télécom SudParis auquel il vient de participer, Gatien incarne bien l’ingénieur et ingénieure responsable que notre École aspire à former. Bien que nos élèves bénéficient des programmes élaborés avec des partenaires industriels, une pédagogie par projet, des contacts permanents avec le milieu professionnel et la recherche… beaucoup d’entre eux se révèlent et parviennent à se dépasser : « Cette expérience m’a aussi permis de casser le plafond de verre que je m’étais fixé et d’oser essayer, d’oser présenter, d’oser agir. »

     

    Pour aller plus loin :

     

  • Salon Grandes Écoles de L’Étudiant à Lyon

    Salon Grandes Écoles de L’Étudiant à Lyon

    Salon Grandes Écoles de L’Étudiant à Lyon

    Venez découvrir les formations d’ingénieurs d’un numérique responsable proposées par Télécom SudParis lors du Salon Grandes Écoles L’Etudiant, le samedi 16 novembre 2024 de 9:00 à 17:00 au Centre de Congrès de Lyon. Cet événement est organisé sous le haut patronage du gouvernement et en partenariat avec l’AGERA.

    Vous êtes  :

    • Lycéenne ou lycéen passionné par les STEM (les sciences, la technologie, l’ingénierie, les mathématiques) et cherchez à construire un projet d’orientation dans une carrière d’ingénieur généraliste dans le numérique ?

    Une ou un étudiant souhaitant se réorienter, poursuivre ses études ou se spécialiser dans des métiers tels que consultant, architecte réseaux, architecte systèmes d’information, chef de projet, cadre marketing, analyste, expert, dirigeant, data scientist, ingénieur cybersécurité, ingénieur IA, actuaire, entrepreneur, sotware engineer ?

    • Parents ou enseignants accompagnant les jeunes dans leurs choix d’études et de métiers dans le numérique ?

    Venez découvrir nos formations :

    Ingénieur généraliste dans le domaine du numérique.
    Ingénieur Informatique et Réseaux en apprentissage.

    Posez vos questions et échangez en direct avec nos ambassadeurs sur les débouchés, les différentes voies d’admission, la vie sur le campus, etc.

  • Trophée européen de la femme cyber

    Trophée européen de la femme cyber

    Trophée européen de la femme cyber

    Dr Magda Chelly, diplômée 2011 de Télécom SudParis, directrice générale et RSSI de Responsible Cyber participe au jury de la 4e édition du Trophée européen de la femme Cyber, le 13 décembre 2023 à la salle Gaveau (Paris 8e). Le CErcle des Femmes de la CyberSécurité (CEFCYS) organise en France ce trophée dédié aux femmes du secteur de la cyber.

    Depuis 2020, le #EuropeanCyberWomenDay est devenu un évènement incontournable qui met en lumière les enjeux de la cybersécurité au cœur de l’actualité et surtout les parcours exemplaires de femmes inspirantes dans ces métiers de la sécurité informatique, à travers toute l’Europe. Il a également pour ambition de viser la parité dans les différentes professions de la cyber en y attirant plus de talents féminins.

    Ce n’est pas la première fois que l’expertise de Télécom SudParis est reconnue par le CEFCYS dans le cadre de cet événement. En 2021, Dr Yosra Barbier, , diplômée 2013 de l’École et actuelle membre de l’association, était finaliste dans la catégorie “Femme Professionnelle de la Cyber”.

     

    Découvrez plus de portraits inspirants de diplômées et enseignantes chercheures de Télécom SudParis qui ont fait le choix de la cybersécurité :

    •  Maryline Laurent est professeure à Télécom SudParis, cofondatrice de la Chaire Valeurs et Politiques des Informations Personnelles, directrice du département RST au sein du laboratoire Samovar.  Dans le podcast Sciences Num., elle explique comment protéger ses données personnelles.

     

    • Nesrine Kaâniche est maître de conférences à Télécom SudParis, membre de la chaire VP IP IMT. Elle nous explique son parcours dans le podcast La Preuve par l’Exemple.

     

    • Constance Chou est diplômée 2022 et

     

     

     

  • The Digital Twin, la révolution de l’économie et de l’industrie mondiale

    The Digital Twin, la révolution de l’économie et de l’industrie mondiale

    The Digital Twin, la révolution de l’économie et de l’industrie mondiale

    L’innovation et la recherche sont au cœur de nos préoccupations à Télécom SudParis. C’est en tout cas l’un des objectifs de Noël Crespi et Roberto Minerva, enseignants-chercheurs à Télécom SudParis. La sortie de leur ouvrage « The Digital Twin » coédité avec Adam T. Drobot et publié par Springer marque un tournant majeur dans le domaine des Jumeaux Numériques.

     

    Le livre The Digital Twin traite de l’exploitation de la puissance de la technologie, des pratiques commerciales et de l’infrastructure numérique afin d’apporter des améliorations révolutionnaires au profit de la société. Quatre-vingt-dix experts du monde entier ont contribué à résumer quatre décennies de progrès et de succès numériques et à définir le potentiel du jumeau numérique pour les décennies à venir. Le livre décrit comment les Jumeaux Numériques joueront un rôle clé dans des applications spécifiques et dans des secteurs importants de l’économie mondiale, ce qui en fait un ouvrage incontournable pour les cadres, les décideurs politiques, les responsables techniques, les chercheurs et les étudiants.

    Le livre se compose de trente-huit chapitres qui couvrent les concepts de Jumeaux Numériques, les technologies de support, les pratiques et les stratégies de mise en œuvre spécifiques pour divers secteurs de production et de services.

    The Digital Twin : le point de départ idéal pour l’enseignement et la recherche dans tous les domaines d’application

    The Digital Twin

    Les Jumeaux Numériques permettent de créer des produits, des processus et des services plus rapides, moins coûteux et exempts d’erreurs. Cela comprend l’ingénierie des systèmes pour l’énergie, les communications, la construction, le transport et la transformation des aliments. Il s’agit également de solutions visant à rendre l’existence humaine meilleure et plus agréable grâce aux sciences de la vie, aux villes intelligentes et aux créations artistiques.

    Les fonctionnalités des Jumeaux Numériques couvrent l’ensemble du cycle de vie des produits et des services. Il est important de noter que le livre décrit le parcours nécessaire pour que les entreprises et les organismes publics intègrent les Jumeaux Numériques dans leur boîte à outils.

    Alors, comment les Jumeaux Numériques joueront un rôle clé dans les secteurs importants de l’économie mondiale dans les prochaines décennies ? Réponse dans cet ouvrage disponible sur Amazon. 

     

  • Thèse de doctorat : « Une nouvelle architecture basée sur la blockchain pour les opérateurs de réseaux mobiles »

    Thèse de doctorat : « Une nouvelle architecture basée sur la blockchain pour les opérateurs de réseaux mobiles »

    Thèse de doctorat : « Une nouvelle architecture basée sur la blockchain pour les opérateurs de réseaux mobiles »

    L’École doctorale : École Doctorale de l’Institut Polytechnique de Paris et le Laboratoire de recherche SAMOVAR – Services répartis, Architectures, Modélisation, Validation, Administration des Réseaux présentent l’avis de soutenance de madame Fariba GHAFFARI, autorisée à présenter ses travaux en vue de l’obtention du Doctorat de l’Institut Polytechnique de Paris, préparé à Télécom SudParis en : Mathématiques et Informatique.

    « Une nouvelle architecture basée sur la blockchain pour les opérateurs de réseaux mobiles : au-delà de la 5G et de la 6G »

    Le vendredi 13 octobre 2023
    à 14 h 00
    à l’Amphithéâtre Jean Prouvé,
    CNAM, 292 rue Saint-Martin 75003 PARIS

    Membres du jury :

    • Noel CRESPI, Professeur, Télécom SudParis, FRANCE – Directeur de thèse
    • M. Emmanuel BERTIN, Ingénieur de recherche, Orange Innovation, FRANCE – Codirecteur de thèse
    • Mme Emmanuelle ANCEAUME, Directrice de recherche, Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires, FRANCE – Examinateur
    • M. Abdelkader LAHMADI, Professeure associée, Université´ de Lorraine, CNRS, Inria, Loria, Nancy, France, FRANCE – Examinateur
    • Mme Cigdem SENGUL, Ingénieur de recherche, Brunel University England, ROYAUME-UNI – Examinateur
    • Axel KUPPER, Professor, Technische Universität Berlin, ALLEMAGNE – Rapporteur
    • Mika YLIANTTILA, Professor, Center for Wireless Communications, University of Oulu, Finland, FINLANDE – Rapporteur

    Résumé :

    Si l’architecture centralisée et autonome des opérateurs de réseaux mobiles (MNO) fournit une connectivité à des milliards d’utilisateurs, elle souffre d’un manque de mécanismes techniques pour améliorer la collaboration entre les MNO et d’autres fournisseurs. Cela a des répercussions sur les coûts de mutualisation, ainsi que sur la consommation d’énergie et l’impact environnemental. Cela peut également empêcher l’avènement de modèles commerciaux plus collaboratifs avec d’autres fournisseurs ou même avec les clients. En outre, la complexité des réseaux 5G et au-delà pourrait dépasser la capacité d’un MNO à gérer le coût et la complexité de la connexion.
    Enfin, les architectures existantes des MNO souffrent également de leur centralisation, ce qui entraîne problèmes techniques et vulnérabilités. Relever ces défis n’est pas chose aisée. Les architectures MNO sont définies depuis près de trois décennies par des organismes de normalisation bien établis.

    Cependant, nous pensons qu’il est intéressant de proposer à la communauté des chercheurs en télécommunications une approche de type « table rase ». Ces solutions alternatives doivent -au moins- avoir un écosystème distribué/décentralisé, assurer la fiabilité entre les acteurs dans un environnement peu fiable, partager les ressources entre les parties prenantes, apporter une plus grande automatisation, et fournir une sécurité et une confidentialité suffisantes. Toute alternative répondant à ces exigences constituerait une solution potentielle prometteuse. La blockchain est un grand ledger distribué pair-à-pair, une technologie cryptographiquement sécurisée, à appendice unique, immuable, traçable et transparente qui ne peut être mise à jour que par consensus entre la majorité des nœuds participants sur le réseau. En raison de ses caractéristiques intrinsèques, la blockchain et les Smart Contracts peuvent réduire le coût, la latence et la complexité de la collaboration entre les entités dans un réseau cellulaire multi-acteurs tout en augmentant la fiabilité, la traçabilité et les capacités de supervision.

    Ce travail propose un système de connectivité mobile multi-acteurs qui fournit une solution distribuée, fiable, automatisée, peu coûteuse et sécurisée pour les entités et les acteurs de l’écosystème du réseau cellulaire. Pour ce faire, ce travail fournit tout d’abord une étude complète des défis existants dans les réseaux cellulaires actuels en ce qui concerne les aspects commerciaux et de collaboration, les questions techniques et la sécurité. Les résultats de ces études nous ont conduits à proposer deux contributions principales, l’une concernant la coopération entre les différents acteurs de l’écosystème des réseaux cellulaires (c’est-à-dire les MNO, les fournisseurs de services, les petites entreprises, les vendeurs et les utilisateurs finaux) et l’autre concernant la collaboration entre les MNO (et potentiellement avec les organismes de réglementation) pour la gestion des identités et des profils. Plus précisément, la première contribution propose un nouvel écosystème de télécommunication hybride (distribué-décentralisé) pour façonner la conception des réseaux 5G et 6G. Cette méthode permet d’éliminer toute autorité centrale, d’augmenter la tolérance aux pannes du système, de simplifier les procédures informatiques et de fournir des paiements sécurisés entre les entités. La deuxième contribution introduit une nouvelle gestion du profil de l’utilisateur et un portage du numéro de téléphone mobile et du profil sur la base de la blockchain et des Smart Contracts. Cette méthode vise à éliminer l’autorité centrale dans la procédure de portage en créant un système plus collaboratif et distribué à cette fin, à augmenter l’automatisation et la confiance, et à traiter la latence élevée de la méthode existante pour le portage des MNO.

    En outre, il offre la possibilité de porter les profils des utilisateurs vers le MNO destinataire ainsi que le numéro de téléphone au moyen d’une procédure automatisée sans autorité centralisée ni tierce partie. Pour évaluer le système proposé et analyser la faisabilité de sa mise en œuvre, nous avons proposé trois scénarios de déploiement dans lesquels la blockchain peut être logiquement positionnée soit dans le RAN, soit dans le réseau coeur, soit dans la couche de service. Les résultats de l’évaluation montrent que le système est suffisamment évolutif en ce qui concerne le nombre d’acteurs et de collaborateurs, et en fonction des exigences du réseau, sa performance et son niveau de sécurité sont ajustables.

     

  • Assurer le Contrôle des Fréquences pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 : Télécom SudParis partenaire de l’ANFR

    Assurer le Contrôle des Fréquences pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 : Télécom SudParis partenaire de l’ANFR

    Assurer le Contrôle des Fréquences pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 : Télécom SudParis partenaire de l’ANFR

    Dernière mise à jour, le 20/07/2024

    Pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, le contrôle des fréquences radioélectriques est un défi.  Particulièrement à Paris, avec 15 sites de compétition situés à moins de 5 kilomètres les uns des autres, le risque de brouillage des fréquences est important. Comment assurer le bon déroulement de cet événement majeur dans de telles conditions ?  C’est dans ce contexte que Télécom SudParis a proposé à l’Agence Nationale des Fréquences (ANFR) de former 70 élèves-ingénieurs au contrôle des fréquences, créant ainsi un partenariat prometteur pour contribuer à relever ce défi.

    L’enjeu des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024

    L’Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques (ANFR) est en charge de la planification, de la gestion et du contrôle de l’utilisation des fréquences électromagnétiques en France, et joue un rôle central dans l’usage qui pourra être fait des fréquences durant les Jeux. En temps habituel, l’ANFR dispose d’environ quatre-vingt contrôleurs du spectre, répartis sur l’ensemble du territoire métropolitain et ultramarin, pour prévenir et remédier aux brouillages pour les utilisateurs du spectre tels que l’Aviation civile, Météo France ou encore les opérateurs de téléphonie mobile. En outre, à l’occasion de Grands évènements tels que les Internationaux de France de tennis de Roland Garros, les 24 heures du Mans, le Tour de France, ou encore le 14-juillet, ils apportent leur assistance à l’organisation et à la couverture médiatique. Leur mission consiste alors à garantir le bon fonctionnement des fréquences radio nécessaires aux communications, par exemple entre la radio, les caméras et les équipes de réalisation.

    Pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, qui se tiendront simultanément sur de multiples sites et sur des longues durées, l’ANFR aura besoin de multiplier le nombre de contrôleurs du spectre sur le terrain, en raison de l’utilisation massive de fréquences qui sera faite sur chaque site. L’ANFR a demandé et peut compter sur la collaboration de ses homologues étrangers pour combler presque la moitié de son besoin de forces additionnelles.

    Pour garantir la réussite de cet événement, l’ANFR s’est également tournée vers des établissements d’enseignement supérieur et, ainsi, l’Agence et Télécom SudParis ont entrepris de former 70 élèves-ingénieurs au contrôle de spectre, en vue de stages de première année ou de deuxième année qui constitueront des expériences exceptionnelles.

    Enzo Simonneau, élève-ingénieur en 2e année à Télécom SudParis, souligne l’ampleur du défi : « Le public voudra regarder les jeux à la télévision, ce qui nécessitera une diffusion massive. Avec de si nombreuses compétitions simultanées dans un rayon de cinq kilomètres, la demande de fréquences pour l’organisation et la captation des épreuves au plus près sera considérable. Pour qu’au final le résultat soit de qualité, il faudra donc éviter les interférences.  »

     

    Une collaboration initiée lors des projets GATE

    Il y a un an, l’ANFR a proposé à Télécom SudParis de développer une formation pilote visant à former des élèves ingénieurs au contrôle du spectre, pour vérifier que ceux-ci seraient en mesure de renforcer ses équipes sur les différents sites des Jeux olympiques.

    Ainsi, à la rentrée scolaire 2022, neuf élèves ingénieurs en 1ere année à Télécom SudParis se sont lancés dans la co-construction de cette formation, dans le cadre des projets pédagogiques GATE (Gestion et Apprentissage du Travail en Équipe). Lors de ce projet long, les étudiants ont dû définir le besoin de formation, le programme de formation et le planning, avec l’objectif d’étendre ce programme à un plus grand nombre d’élèves ingénieurs pour l’année 2023-2024.

    Les enseignants-chercheurs et l’équipe d’élèves ont adapté la formation en fonction du programme pédagogique existant au sein de notre école, en s’assurant que le cahier des charges ainsi proposé réponde aux besoins de l’ANFR.

     

    La formation au contrôle du spectre comporte ainsi quatre étapes :

    • Une formation théorique dispensée par Télécom SudParis, incluant l’étude des fréquences et des hyperfréquences, cours généralement dispensés dans notre VAP (Voie d’approfondissement) de 3e année « Systèmes Embarqués« .
    • Une formation complémentaire, réalisée par l’ANFR, appliquée à son contexte spécifique.
    • Une formation pratique dispensée par les agents de contrôle assermentés de l’ANFR qui initie les élèves à l’utilisation des moyens de mesure
    • Et enfin, la dernière étape se déroule sur le terrain, lors d’un événement grandeur réelle.

     

    Le 11 mai 2023, les élèves ingénieurs de Télécom SudParis et Télécom Paris ont participé à une « chasse au renard » afin de débusquer 20 brouilleurs disséminés sur le campus d’Evry par l’équipe d’étudiants du projet GATE « CERF ». L’occasion pour l’Agence nationale des fréquences de sensibiliser tous les élèves aux enjeux du contrôle de spectre en vue des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

    Les défis du recrutement et de la coordination

    La première équipe d’élèves ingénieurs de Télécom SudParis déjà formée est allée sur le terrain à Roland Garros, lors du Tour de France, lors de la préparation du défilé du 14- juillet, et à l’occasion de la Coupe du Monde Rugby.

    À la rentrée 2023, a débuté le recrutement des nouveaux élèves volontaires. La formation commencera rapidement au début du mois d’octobre. Ainsi, aux vacances de Toussaint, tous les élèves bénévoles de Télécom SudParis, Télécom Paris et de l’ESPCI Paris PSL auront suivi la formation théorique de l’école et poursuivront par celle dispensée par l’ANFR.  Les élèves de 2e année peuvent aussi se porter candidats.

    Tous les volontaires ayant réussi la formation se verront délivrer un certificat de l’ANFR et proposer un CDD étudiant pour les Jeux Olympiques pour contrôler le spectre.

     

  • La Journée Portes Ouvertes de Télécom SudParis

    La Journée Portes Ouvertes de Télécom SudParis

    La Journée Portes Ouvertes de Télécom SudParis

    Vous souhaitez devenir ingénieur pour inventer un monde numérique responsable ? Vous cherchez des informations pour vous former dans le domaine du numérique ? Le samedi 7 décembre sur son campus, partez à la rencontre de Télécom SudParis lors de sa Journée Portes Ouvertes.

    Venez rencontrer nos élèves et responsables qui, durant une après-midi, vous proposeront de participez à une table ronde sur la formation Ingénieur généraliste et les formations ingénieur par alternance, la vie du campus, les partenariats internationaux, etc. Elle sera suivie d’un temps d’échange convivial ainsi que d’une visite du campus pour répondre au mieux à vos interrogations et vous faire découvrir l’école de façon personnalisée.

    Vous ne pouvez pas vous déplacer ou préférez le distanciel ? La conférence sera diffusée en direct sur notre chaîne YouTube. Il est nécessaire de s’inscrire pour recevoir les liens de connexion au live.

    Programme

    Logo bleu fond transparent uid 640add03d5c8dDe 13:00 à 17:00 :  visite du campus, stands formations, stands associatifs, animations autour du numérique avec des stands scientifiques.

    14:00 – 15:00 : Table ronde sur les formations, Amphithéâtre Etoile et en live sur YouTube.
    ⇒ Découvrir la formation ingénieur généraliste et la formation Ingénieur informatique et réseaux, l’international, les débouchés, l’entrepreneuriat, la vie étudiante et le concours Mines-Télécom.

    Cette Journée Portes Ouvertes se déroule durant la Semaine NSI, LE rendez-vous national de la découverte des métiers, des formations du numérique et des sciences informatique.

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