Catégorie J'ai envie de : Apprendre

  • Cybermois, le mois de la Cybersécurité

    Cybermois, le mois de la Cybersécurité

    Cybermois

    Depuis 2012, le Mois de la Cybersécurité se déroule en France en octobre. Le Cybermois est la déclinaison française du Mois Européen de la cybersécurité (ECSM), un événement de sensibilisation organisé chaque année à l’initiative de l’ENISA, l’agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information.

    Cet événement est coordonné en France par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI).

    Au programme : partage des bonnes pratiques en cybersécurité, des événements, c’est aussi l’occasion de faire un focus sur l’ensemble des formations en cybersécurité ainsi que la recherche en sécurité proposées à Télécom SudParis.

     

  • Comment fonctionne le brouillage GPS ?

    Comment fonctionne le brouillage GPS ?

    Comment fonctionne le brouillage GPS ?

    Cet article est republié à partir de The Conversation par Alexandre Vervisch Picois, Télécom SudParis – Institut Mines-Télécom

     

    Pour la majorité d’entre nous qui utilise un GPS – Global Positioning System – pour se guider au quotidien ou sur la route des vacances, quelle n’est pas la catastrophe quand celui-ci ne fonctionne pas ! Le GPS est aussi très utilisé dans les cadres professionnels et scientifiques, dans le secteur des transports mais aussi en génie civil, pour les services géolocalisés, la topographie, la géodésie (qui est l’étude de la forme de la Terre)… sans oublier les applications militaires qui sont à l’origine même du système GPS.

    Le GPS s’appuie physiquement sur des signaux radio à des fréquences bien particulières. Si pour une raison ou une autre, ceux-ci sont difficilement accessibles, la géolocalisation est perturbée, voire impossible. Nous allons nous intéresser ici à une raison particulière : le brouillage, qui peut-être volontaire ou involontaire et se distingue notamment du « leurre » (spoofer en anglais).

    Le brouillage du GPS entraîne un « déni de service », c’est-à-dire qu’on se trouve incapable de calculer sa position. Celui-ci peut être critique car beaucoup d’applications sensibles l’utilisent : l’aviation civile, la défense, la protection civile notamment. Un brouillage volontaire peut ainsi faire partie d’une cyberattaque, notamment dans le cadre de conflits armés comme c’est le cas en Ukraine par exemple.

    Pour comprendre de quoi il s’agit, commençons par expliquer le principe du GPS.

    Fonctionnement : le « GPS » est un récepteur

    On appelle communément « GPS » la fonction qui fournit des informations de « géolocalisation », qu’il faut comprendre comme la localisation physique d’un terminal au sens géographique du terme. Son but : obtenir des grandeurs mathématiques, qu’on appelle coordonnées, qui permettent de placer un objet dans un système de représentation comme une carte. En plus de la géolocalisation, le GPS permet une synchronisation précise de l’horloge du récepteur à quelques dizaines de nanosecondes du temps universel. Il est par exemple utilisé pour synchroniser les réseaux mobiles ou les transactions bancaires ou les opérations boursières. Dans ce dernier cas, on peut horodater l’instant de la vente d’un titre et donc se référer à son cours sur le marché à mieux que la seconde près.

    On désigne souvent l’objet qui nous sert de GPS par l’acronyme du système, GPS. En toute rigueur, on devrait parler de « récepteur GNSS ». L’acronyme GNSS, pour Global Navigation Satellites Systems, désigne l’ensemble des systèmes permettant la géolocalisation de manière globale : le GPS américain, le Galileo européen, le GLONASS russe et le Beidou chinois. Ainsi, si vous êtes en Europe, vous devriez dire : « J’arrive dans 5 minutes, mon Galileo me dit que je suis près de chez toi ».

     

    iStock 1337632168
    Technology communication image global navigation satellite system,standard generic term for satellite navigation systems,GNSS,3d rendering. ©Oselote

     

    En pratique, les satellites envoient des signaux radio vers la Terre. Ceux-ci sont reçus grâce à une antenne intégrée au récepteur (le smartphone par exemple) puis traités de manière à permettre de calculer les coordonnées géographiques de l’antenne. Il est important de noter qu’il n’y a pas de retour du récepteur vers le satellite : la liaison est uniquement descendante. Les « GNSS » ne sont donc pas des systèmes de pistage, mais bien de calcul de la position.

    Ce qui mène à une information importante pour le sujet qui nous intéresse : la perturbation du GPS concerne la réception du signal au niveau du terminal sur Terre. On peut brouiller tous les récepteurs sur Terre, le réseau de satellites continuera à envoyer ses signaux comme si de rien n’était.

    Le brouillage des signaux GNSS

    Le brouillage d’un système est une action, pas nécessairement volontaire, consistant à émettre un signal sur la bande de fréquences du système qui va s’ajouter à celui du système, et perturber son fonctionnement. De façon commune, on appelle ce signal supplémentaire un « bruit » qui s’ajoute au bruit naturel qui correspond à la somme des signaux de toutes les sources radio existantes, provenant de la Terre, du Soleil, de l’espace et même de l’activité humaine. Pour se représenter ce qu’est le bruit en question, l’analogie la plus simple est celle du langage courant.

    Imaginez que vous êtes à la table d’un restaurant en pleine conversation avec une personne en face de vous. Vous comprenez et entendez ce que dit votre interlocuteur. Vous entendez les autres conversations mais vous ne les comprenez pas : c’est du bruit naturel, qui s’ajoute aux bruits ambiants comme ceux de la circulation par exemple… Une personne à une table voisine se met à parler très fort, au point que vous ne comprenez plus ce que dit la personne en face de vous. Vous avez été brouillé !

    Pour le GPS, la nature des ondes change mais le principe est le même : tout ce qui est émis sur la bande de fréquences et qui ne vient pas des satellites du système agit comme un brouillage.

    De plus, les signaux qui proviennent des satellites ont la particularité d’être très faibles en puissance (quelques dixièmes de femtowatt en réception). Ils sont donc très sensibles au brouillage. Un brouilleur situé à plusieurs kilomètres émettant quelques milliwatts, soit l’ordre de grandeur de la puissance d’un émetteur wifi, suffit. Pour filer la comparaison précédente, imaginez que votre interlocuteur de tout à l’heure ait une petite voix à peine audible, le moindre bruit alentour vous empêchera de le comprendre.

    Brouillages volontaires et involontaires

    Un brouillage involontaire est souvent lié à un dispositif défectueux. Il peut s’agir d’un appareil de télécommunication, comme un routeur wifi ou une antenne relais, qui émet hors de sa fréquence de fonctionnement dans une bande GNSS. Cela peut concerner également des appareils électriques dont la compatibilité électromagnétique (CEM) est mauvaise parce qu’ils ont été endommagés ou qu’ils ne respectent pas les normes de fabrication ou d’utilisation prescrites, par exemple les téléphones mobiles et les fours à micro-ondes. Pour tous ces cas, on dirait dans le langage courant qu’ils sont « mal isolés ».

    Le brouillage volontaire peut s’assimiler à une cyberattaque. Il peut être rencontré dans le cadre de la guerre électronique, dans le cadre d’un conflit comme en Ukraine où les brouillages mutuels sont avérés. L’objectif est alors de perturber l’organisation tactique de l’ennemi en le privant d’information sur les positions de son déploiement ou contrer ses armes guidées.

    Mais on le rencontre aussi dans les applications civiles. La plus commune est un petit appareil qu’on peut brancher sur un allume-cigare de voiture qui perturbe la réception de tous les récepteurs environnants, par exemple ceux des avions. On trouve cet usage chez les employés des sociétés de transports qui désirent mettre en échec le système de traçage dont est équipé leur véhicule pour que leur employeur ne puisse pas suivre leurs déplacements.

     

    Alexandre Vervisch Picois, maître de conférences, spécialiste GNSS et géolocalisation, Télécom SudParis – Institut Mines-Télécom

    ⇒ Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

     

    Géolocalisation : comment éviter une attaque de leurre ? Ecoutez Alexandre Vervisch-Picois dans Sciences Num.

    Pour aller plus loin :

    ⇒ Découvrez le Master of Science Génie électrique et optique dirigé par Alexandre Vervisch-Picois.

  • Morgane lutte contre le plafond de verre pour les jeunes filles

    Morgane lutte contre le plafond de verre pour les jeunes filles

    Morgane lutte contre le plafond de verre pour les jeunes filles

    Grâce au soutien de BNP Paribas, Orange, Dassault Systèmes, Sopra Steria
    et la Fondation Groupe RATP, l’Institut Mines-Télécom et la Fondation Mines-Télécom s’engagent à contribuer à accroître le nombre de jeunes femmes entreprenant des études menant au métier d’ingénieure : c’est le programme « Ambassadrice IMT ». Six étudiantes de Télécom SudParis s’y sont investies : Laurene CAVE, Hawa FARA HASSAN, Alizée MESNARD, Nour RAMMAL, Thaïs WUILLEMIN et Morgane BROSSARD. Rencontre avec Morgane BROSSARD, qui souhaite déconstruire les préjugés et combattre le plafond de verre pour les jeunes filles.

    Quel était ton parcours avant d’intégrer Télécom SudParis ?

    Morgane BROSSARD : Mon parcours est vraiment le type classique de l’élève ingénieure. J’ai fait un bac scientifique suivi d’une prépa axée sur les mathématiques, où je faisais partie des 20% de filles dans une filière très théorique et sans aucune expérience professionnelle avant mon premier stage entreprise à l’école. C’est ainsi que je suis arrivée à Télécom SudParis après mes deux années de classes préparatoires.

    Quels sont les combats menés par les « Ambassadrices IMT » afin de favoriser l’égalité des genres ?

    Morgane BROSSARD : L’idée est de promouvoir les métiers de l’ingénierie auprès des jeunes filles, dès le collège, afin que les femmes ingénieures soient plus nombreuses à l’avenir. Pour ce faire, le programme recrute depuis la rentrée septembre des élèves dans toutes les écoles de l’Institut Mines-Télécom pour devenir des ambassadrices et ambassadeurs IMT. Ils travaillent ensemble et sont formés pour faire connaître leurs (futurs) métiers.

    Lors de ces rencontres avec les collégiennes et lycéennes, les Ambassadrices IMT présentent les différents domaines de l’ingénierie et les nombreuses opportunités de carrière. Il s’agit de présenter nos propres expériences et parcours. Mais c’est aussi beaucoup plus large. Nous échangeons avec les élèves pour déconstruire les préjugés et les mythes, pour lutter contre le plafond de verre pour les jeunes filles et pour leur montrer toutes les possibilités afin qu’ils en prennent conscience. L’idée est d’éclairer collégiennes et lycéennes pour qu’elles voient que le métier d’ingénieur c’est possible pour elles. Évidemment, on s’adresse aussi aux garçons, mais l’idée est vraiment d’encourager les filles à devenir ingénieures parce qu’il n’y en pas assez.

    Quels sont tes prochains défis avec les Ambassadrices IMT ?

    Ma première action a été d’intervenir dans un collège en essayant de faire la différence en racontant mon histoire et en essayant de motiver les jeunes femmes à devenir ingénieures. Mon défi personnel est de m’affirmer dans ce domaine et de défendre le rôle des femmes dans le management et la gestion de projet car il y a encore beaucoup d’autocensure sur ce sujet. Nous montrons aux étudiantes que les filles peuvent aussi être cheffes de projet ou présidentes d’association, car apprendre à gérer les équipes ça compte aussi.

    Je n’ai qu’une hâte, c’est de montrer aux collégiennes en quoi l’ingénierie les concerne. En leur faisant comprendre que, si elles s’intéressent aux jeux-vidéos, à la mode et la beauté, la santé, ou même l’environnement… il y a de l’ingénierie dans ces domaines et ça peut leur correspondre.

    Dans ton expérience, t’est-il déjà arrivé d’être confrontée à des violences sexistes ?

    Il y a une progression sur ces sujets, même s’ils sont toujours présents. Dans mon ancien collège et lycée, j’ai le souvenir de professeurs qui étaient trop en retard sur ces sujets. Mais à TSP ce sujet est bien abordé. Du côté école : on a une vraie sensibilisation faite chaque année sur les violences sexistes et sexuelles. Et du côté élèves : c’est un sujet qui est vraiment en trame de fond tout le temps. Notamment grâce aux associations IN&acT et EquALLity qui se consacrent à ces questions et font un travail formidable au quotidien.

    Le programme Ambassadrice IMT

     

    31 étudiantes et 4 étudiants des écoles d’ingénieurs de l’Institut Mines-Télécom (IMT Atlantique, IMT Mines Albi, IMT Mines Alès, IMT Nord Europe, Mines Saint-Etienne, Télécom Paris et Télécom SudParis) se sont engagés dans ce programme cette année.

    Ces élèves « Ambassadrices IMT » sont formés par des experts et expertes des questions de genre afin d’apprendre à neutraliser leurs propres biais lors de leurs présentations. Ces formations sont déployées en partenariat avec l’association Femmes@Numerique, dont l’engagement permet de faciliter l’accès des jeunes filles aux filières technologique et numérique au travers de projets collaboratifs à fort impact. Le programme prévoit également pour les « Ambassadrices IMT » des écoles d’été et d’hiver, des ateliers pour développer leurs soft skills, des conférences sur les questions de parité et des rencontres régulières avec des marraines en entreprises travaillant comme ingénieures dans des divers secteurs.

    Tout au long de l’année, nos « Ambassadrices IMT » partent à la rencontre des collégiens et lycéens dans toute la France pour sensibiliser les jeunes filles aux carrières d’ingénieur, pour partager leurs expériences et pour montrer aux adolescentes qu’il y a une place pour elles dans une école d’ingénieurs.

    En plus de ces rencontres, les collégiennes de 3e se verront proposer un stage d’une semaine dans une école d’ingénieurs ou au sein d’une des entreprises mécènes afin de découvrir les carrières d’ingénieur.

  • Finale du Trophée Start-Up Numérique

    Finale du Trophée Start-Up Numérique

    Finale du Trophée Start-Up Numérique

    Le 2 décembre 2024, notre incubateur IMT Starter organise la finale du Trophée Start-up Numérique. Cet événement, qui fête sa 15e édition, a pour objectif de repérer les nouvelles pépites du numérique qui construiront le monde de demain. 

    A l’heure où notre façon de travailler, se soigner, consommer ou vivre dans notre environnement doit se réinventer, de jeunes start-up du numérique seront récompensées dans cinq catégories :

     

    DEEP TECH
    IA, Quantique, BioTech, Cybersécurité, Data, Robotique, Drone, Électronique et Photonique

     

    INDUSTRIE
    Industrie 4.0, 5G / 6G, Jumeau Numérique, Maintenance Prédictive, Sécurité et sureté des sites industriels, Digitalisation des processus industriels, Blockchain, IoT, Logistique, Robotique et automatisation, AR/VR

     

    TRANSFORMATION NUMÉRIQUE DES ENTREPRISES
    Business Service, B2B SaaS, Data protection, HR / collaboration, EducTech, Acculturation Digitale, Tokenization, Web3, Marketplace, Finances, Juridique, Facilities


    SANTÉ

    MedTech, HealthTech, MedDevice, Télémédecine, Thérapeutique, Aide au diagnostic, Monitoring du Patient, Amélioration de la prise en charge, innovation de santé publique, données de santé


    IMPACT

    Greentech , Economie Circulaire, Social, Foodtech, AgriTech, préservation des ressources, énergie, inclusion, Silver économie, Mobilité durable, Proptech, Tech for Good.

  • 404 CTF devient le plus grand challenge cyber de France

    404 CTF devient le plus grand challenge cyber de France

    404 CTF devient le plus grand challenge cyber de France

    Le 404 CTF est la plus grosse compétition de hacking en France, avec plus de 3000 participants pour cette 2ᵉ édition. Le 15 juin, les finalistes se sont retrouvés à VivaTech, le salon européen dédié à l’innovation technologique, pour la remise des prix.

    Attraper le drapeau

    Le terme 404 fait référence au message d’erreur informatique et l’acronyme CTF signifie « Catch The Flag » (attraper le drapeau). L’objectif est d’inviter les personnes intéressées par la cybersécurité à collecter le plus grand nombre possible de drapeaux cachés dans des extraits de code dissimulés dans des fichiers en ligne sécurisés.

    Coorganisé par la DGSE, Télécom SudParis, son club étudiant HackademINT, OVHcloud et VivaTech, le 404 CTF est un moyen d’identifier des talents pour combler la pénurie de 15 000 emplois dans le domaine de la cybersécurité en France.

    Les participants de niveaux

    Les participants viennent de tous horizons : professionnels (45%), étudiants (34%), apprentis (10%), lycéens (4%) et retraités. 2343 personnes ont résolu au moins un des 20 206 défis. Pendant 3 semaines, du 12 mai au 4 juin, ils ont mesuré leur capacité à faire face à diverses problématiques de sécurité informatique à travers 90 défis répartis en 13 catégories : intercepter et décoder des transmissions radio 5G, tester les réactions de circuits imprimés, déjouer l’intelligence artificielle, etc.

    Une nouvelle catégorie a même été ajoutée pour ouvrir davantage la compétition aux débutants : la catégorie Renseignement en Sources Ouvertes (OSINT), qui consiste à rechercher et analyser des données à partir de ressources librement accessibles telles que les journaux et les réseaux sociaux.

    HackademINT 404CTF à VivaTech 2023

    Une démarche pédagogique innovante

    Conçu et organisé par des étudiants de 1ʳᵉ, 2ᵉ et 3ᵉ année de Télécom SudParis, sous la supervision de la DGSE et des enseignants-chercheurs de Télécom SudParis, le 404CTF s’inscrit dans l’ambition de l’école de contribuer activement à la stratégie nationale pour la cybersécurité. Né de la convention de partenariat pour promouvoir la cybersécurité dans l’enseignement, signée par Télécom SudParis, la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) et l’Institut Mines-Télécom, le 404 CTF est une démarche pédagogique innovante pour répondre aux enjeux de la souveraineté numérique.

     

    Merci aux présidents d’HackademINT Quentin Michaud (2021-2022), Julien Ribiollet (2022-2023) et Marie Leclerc (2023-2024) dont l’investissement a permis ce résultat.

  • Enquête 1er emploi : les talents du numérique très recherchés

    Enquête 1er emploi : les talents du numérique très recherchés

    Enquête 1er emploi : les talents du numérique très recherchés

    Que dit l’enquête 1er emploi 2024 sur les jeunes diplômés de Télécom SudParis ? Des salaires parmi les plus élevés de France, une insertion professionnelle très rapide et l’égalité salariale entre les femmes et les hommes : l’enquête d’insertion professionnelle de la Conférence des Grandes Écoles (CGE)* dresse un portrait de l’emploi toujours extrêmement favorable aux élèves ingénieurs de Télécom SudParis.

    L’enquête 1er emploi en vidéo

    Un marché de l’emploi très favorable aux ingénieurs du numérique

    Parmi les secteurs qui recrutent le plus : le Numérique. Tous les secteurs d’activité sont en effet concernés par la transformation numérique. Les ingénieurs du numérique, tels les Ingénieur d’études ou Software Engineer sont toujours très demandés. Mais, ce sont vers les nouveaux métiers portés par les grandes tendances du numérique que sont la Data analyse, la Cybersécurité, le Cloud, l’Intelligence Artificielle (IA), ou encore l’Internet des Objet (IoT) que les emplois se développent.

    Un taux net d’emploi supérieur à la moyenne

    Le taux net d’emploi** pour la promotion 2023 des jeunes diplômés ingénieurs de Télécom SudParis est de 91,3% (89,6% pour la moyenne des écoles d’ingénieurs en France) malgré une situation économique dégradée et défavorable aux recrutements !

    Six mois après la sortie d’école, 75 % de la promotion sont en activité professionnelle, y compris en volontariat et création d’entreprise. La poursuite d’études en thèse est plus forte que les années précédentes à 11 %.

    Le délai de recherche d’emploi est toujours très court : presque 8 diplômés sur 10 sont en emploi avant la sortie de l’école ; et plus de 98% des jeunes diplômés en activité ont trouvé leur emploi en moins de 4 mois.

    Une grande diversité dans les secteurs d’activité

    Un parfait équilibre entre PME, ETI et Grandes entreprises qui attirent respectivement 30%,  32% et 30% dans une grande diversité de secteurs d’activité : Services et Industrie des Technologies de l’Information et de la Communication (38%), Société de conseil ou d’ingénierie (15%), Activités financières et d’assurance (14%), Industrie automobile, aéronautique, navale, ferroviaire et services de transport (7%), Énergie (7%) et Recherche-développement scientifique (4%).

    74% des ingénieurs de Télécom SudParis travaillent en Île-de-France et 18,3% en province. Parmi les ingénieurs en activité professionnelle à l’étranger, ce sont le Royaume Uni et le Canada les pays les plus attractifs.

     

    DES SALAIRES EN SORTIE PARMI LES MEILLEURS DE FRANCE

    En France, le salaire médian brut annuel avec primes des jeunes diplômés ingénieurs de Télécom SudParis reste stable à 44 500 €, ce qui maintient l’École parmi les plus hauts salaires de sortie . A souligner que cette année encore, il n’y a pas de différence de salaire entre les femmes et les hommes.

    92,4% des diplômés en emploi ont un statut de cadre. et 90% des ingénieurs en emploi en France ont signé un CDI (86,6% pour les ingénieurs CGE).

     

    LE STAGE, LE MOYEN LE PLUS SÛR DE TROUVER UN EMPLOI

    Les diplômés de la promotion 2023 sont 47% à avoir trouvé leur emploi par le biais de leur stage de fin d’études ou d’apprentissage. L’usage des réseaux sociaux professionnels tels que Linkedin reste très fort avec 15%. On note également une belle progression des candidatures spontanées (8%).

    *Cette trente deuxième enquête sur l’insertion des diplômés des Grandes écoles de la Conférence des Grandes Écoles a été réalisée au cours du premier trimestre 2024. Chaque école participante, membre de la CGE, a assuré la collecte des données pour son établissement. Le taux de participation à cette enquête est de 73% pour les diplômés ingénieurs de Télécom SudParis.

    **taux net d’emploi correspond à la proportion d’actifs en activité professionnelle en y incluant les personnes en volontariat, rapportée à cette même population à laquelle on ajoute les personnes à la recherche d’un emploi.

    Télécom SudParis, Promo 2023CGE, Ingénieurs 2023
    Taux de réponse73%56,1%
    Taux net d’emploi**91,3%89,6%
    Poursuite en thèse11%6,3%
    Emploi trouvé en moins de 2 mois90,7%86,5%
    Emploi trouvé en moins de 4 mois99,15%96,2%
    Statut cadre92,4%91,5 %
    CDI89,5%86,6%
    Moyen de recherche (Emploi grâce au stage de fin d’études+ embauche entreprise d’accueil apprentissage)47%43,5%
    Poursuite d’études (hors thèse)5%6,9%
    En recherche d’emploi7%8,8%
    Emploi à l’étranger7,7%9,0%
    Salaire médian France toutes primes44 500 €40 500 €

  • Droits de scolarité

    Droits de scolarité

    Droits de scolarité de Télécom SudParis

    Le montant des droits de scolarité à Télécom SudParis est fixé par arrêté ministériel.

    1 – Droits d’inscription en Programme ingénieur généraliste, hors conventions

    1.1 – Pour l’année scolaire 2024-2025, le montant des droits de scolarité des élèves français ou étranger ressortissant EEE/UE1 ou étranger admis à l’école sur le CMT (Concours Mines-Telecom) est :

    2650 pour les élèves commençant leur scolarité postérieurement au 1er juillet 2018 et antérieurement au 30 juin 2023.

    2900 € pour les élèves commençant leur scolarité postérieurement au 1er juillet 2023 et antérieurement au 30 juin 2024.

    3200 € pour les élèves commençant leur scolarité postérieurement au 1er juillet 2024.

     

    (*) Étranger ressortissant de l’un des États membres de l’Union européenne, d’un autre État partie à l’accord sur l’Espace économique européen ou de la Confédération suisse, ou enfant, conjoint ou partenaire d’un ressortissant de l’un des États membres de l’Union européenne ou bénéficiant du statut de résident de longue durée dans un État de l’Union européenne ou dont le père, la mère ou le tuteur légal bénéficie d’un tel statut.

     

    1.2 – Pour l’année scolaire 2024-2025, les droits et frais de scolarité des étudiants ne relevant pas du 1.1 est :

    4150 € pour les élèves commençant leur scolarité postérieurement au 1er juillet 2018 et antérieurement au 30 juin 2023.

    4550 € pour les élèves commençant leur scolarité postérieurement au 1er juillet 2023 et antérieurement au 30 juin 2024.

    4850 € pour les élèves commençant leur scolarité postérieurement au 1er juillet 2024.

    Toutefois, les élèves étrangers, titulaires d’une carte de séjour temporaire et dépendant d’un foyer fiscal situé en France depuis au moins deux ans s’acquittent du montant des droits prévu au 1.1.

     

    1.3 – Conformément à l’article 4 de l’arrêté du 17 mars 2017 modifié par l’arrêté du 28 février 2024 fixant les droits de scolarité des formations d’ingénieurs de l’Institut Mines-Télécom :

    • Les bénéficiaires d’une bourse d’enseignement supérieur accordée par l’État et les pupilles de la Nation sont, de plein droit, exonérés du paiement des droits de scolarité.

    • Les élèves dont les ressources dépassent d’au plus 3 500 euros le plafond de revenus fixé pour l’attribution de bourses sur critères sociaux bénéficient d’une exonération de 50 % des droits de scolarité.

     

    2 – Programme ingénieur généraliste, sous convention

    2.1 – Le montant des droits et frais de scolarité à régler à Télécom SudParis par les élèves entrés à l’école dans le cadre d’une convention de double diplôme ou d’une convention de mobilité est :

    • Celui indiqué dans la convention en vigueur entre l’école d’origine et Télécom SudParis ou l’Institut Mines-Télécom lorsque celle-ci précise ces montants ;

    • Celui à régler à Télécom SudParis par l’étudiant au titre de l’article 1 lorsque la convention en vigueur entre l’école d’origine et Télécom SudParis ou l’Institut Mines-Télécom ne précise pas ce montant ;

    • La moitié de celui à régler à Télécom SudParis par l’étudiant au titre de l’article 1 dans le cas d’une mobilité d’un seul semestre lorsque la convention en vigueur entre l’école d’origine et Télécom SudParis ou l’Institut Mines-Télécom ne précise pas ce montant.

     

    2.2 – Le montant des droits et frais de scolarité à régler à Télécom SudParis par les élèves sortants de l’école dans le cadre d’une convention de double diplôme ou d’une convention de mobilité est celui indiqué dans la convention en vigueur entre l’école d’accueil et Télécom SudParis ou l’Institut Mines-Télécom lorsque celle-ci précise ces montants.

    Dans le cadre d’un accord de double diplôme dont la convention en vigueur entre l’école d’origine et Télécom SudParis ou l’Institut Mines-Télécom ne précise pas ce montant, l’étudiant acquitte le montant à régler à Télécom SudParis au titre de l’article 1 pour sa première année et bénéficie d’une exemption totale des droits et frais de scolarité pour la prolongation de sa scolarité.

    Dans le cadre d’un accord de mobilité dont la convention en vigueur entre l’école d’origine et Télécom SudParis ou l’Institut Mines-Télécom ne précise pas ce montant, l’étudiant acquitte le montant à régler à Télécom SudParis au titre de l’article 1.

    IMPORTANT : des droits et des frais de scolarité propres aux établissements d’accueil peuvent être demandés par ceux-ci.

     

    3 – Étudiants en contrat de professionnalisation ou en contrat d’apprentissage

    Les étudiants en contrat de professionnalisation ou en contrat d’apprentissage sont dispensés des droits et frais de scolarité.

     

    4 – Césure

    Pour les étudiants inscrits en année de césure qui font l’objet d’un accompagnement de l’école, le montant des droits de scolarité perçus est ramené à la moitié des droits dus par les étudiants français et ressortissants EEE/UE*.

    Sur décision du directeur de l’école, l’exemption des droits de scolarité est totale lorsque la césure ne demande pas d’accompagnement de la part de l’école. Des frais de traitement de dossier de 265€ sont perçus par l’école dans ce cas.

    Pour les étudiants réalisant une césure sur un seul semestre durant l’année académique et qui ne font pas l’objet d’un accompagnement de l’école durant ce semestre de césure, l’école perçoit des droits de scolarité pour le semestre réalisé en formation par l’étudiant. Le montant des droits de scolarité pour l’année est alors ramené à la moitié des droits de scolarité normalement dus par l’étudiant à l’article 1.

    Pour les étudiants réalisant une césure sur un seul semestre durant l’année académique et qui font l’objet d’un accompagnement de l’école durant ce semestre de césure, l’école perçoit le montant des droits de scolarité normalement dus par l’étudiant à l’article 1.

     

    5 – Masters of science

    Les frais de scolarité des Masters of science sont fixés comme suit pour l’année 2024-2025 :

    Année CursusProgrammeEtudiants / situationMontant des frais de scolaritéObservations
    MScTous, hors DANIFrançais ou étranger ressortissant EEE/UE*4000€4000€/an
    MScTous, hors DANIEtudiants en provenance d’une université partenaire, autre que ci-dessus4000€Hors Double diplôme 4000€/an
    MScTous, hors DANIAutres que ci-dessus.6000€6000€/an
    MSc2MSc Data Science and Network Intelligence (DANI)Tous5000€Diplôme joint

    (*) voir 1.1.

    Pour les élèves qui suivent un MSc dans le cadre d’un accord de double diplôme, les droits/frais à régler sont définis par la convention entre l’établissement d’origine et Télécom SudParis ou l’Institut Mines-Télécom ou IP Paris.

     

    6 – Mastères Spécialisés

    Les frais de scolarité des Mastères spécialisés « Réseaux et services » et « Cybersécurité des infrastructures et des données » sont fixés comme suit pour l’année 2024-2025 :

    Année CursusEtudiant/ situationMontant des droits de scolaritéMontant des frais de scolaritéTotal à réglerObservations
    MSEtudiant ou candidat individuel85€8000€8085€Convention bi-partlte
    MS RSSalarié présenté par une entreprise85€11500€11585€Convention tri-partite
    MS RS sous statut d’apprentiEtudiant sous contrat
    d’apprentissage
    85€12915 13000€Convention tri-partite
    MS Cyber IDSalarié présenté par une entreprise85€15000€15085€Convention tri-partite
    MS Cyber ID sous statut d’apprentiEtudiant sous contrat d’apprentissage85€15000€15085€Convention tri-partite

    7 – Auditeurs libres

    Les auditeurs libres inscrits à titre personnel dans l’une des formations de l’Ecole bénéficient d’une exonération partielle des droits et des frais de scolarité à hauteur de 50% de ceux-ci.

     

     

  • Admission en English Track

    Admission en English Track

    Admission en English Track

    Les étudiants qui souhaitent venir à Télécom SudParis dans le cadre d’un accord de partenariat (échange et/ou double diplôme) ont 2 étapes dans leur procédure de candidature :

    Étape 1 : nomination

    L’étudiant doit être nominé par son institution d’origine en utilisant le formulaire officiel.

    Étape 2 : candidature

    Une fois la nomination effectuée, l’étudiant doit ensuite constituer et déposer son dossier de candidature.

    En double diplôme

    Dans le cas d’un étudiant nominé pour effectuer un double diplôme :

    • Une fois la nomination validée, le candidat reçoit un lien de dépôt de candidature
    • Les documents à joindre :
      • Lettre de motivation
      • CV
      • Une photo d’identité récente (format jpg ou png)
      • Copie du passeport ou de la carte d’identité nationale en cours de validité
      • Certificat d’aptitude linguistique (Anglais niveau B2 minimum)
      • Relevé de notes officiel pour le diplôme de Bachelor
      • Certificat de diplôme et/ou certificat de fin d’études pour le diplôme de Bachelor
      • Relevé de notes officiel pour le diplôme de master (le cas échéant)
      • Certificat de diplôme et/ou certificat de fin d’études pour le diplôme de Master (le cas échéant)
      • Lettre(s) de recommandation (facultatif)

    En échange académique

    Les étudiants qui sont inscrits dans le cadre d’un échange académique, peuvent intégrer le programme pendant une année académique (pour 60 crédits ECTS) ou un semestre académique au semestre d’automne (pour 30 crédits ECTS). Dans ce cas, votre établissement d’origine possède un accord avec Télécom SudParis et vous avez été sélectionné par votre université.

    Dans le cas d’un étudiant nominé pour effectuer un échange (non diplômant) :

    • Une fois la nomination validée, le candidat reçoit un lien de dépôt de candidature
    • Les documents à joindre :
      • Lettre de motivation
      • CV
      • Une photo d’identité récente (format jpg ou png)
      • Copie du passeport ou de la carte d’identité nationale en cours de validité
      • Certificat d’aptitude linguistique (Anglais niveau B2 minimum)
      • Un plan d’étude des cours que vous comptez suivre à Télécom SudParis
      • Relevé de notes officiel pour le diplôme de Bachelor
      • Relevé de notes officiel pour le diplôme de Master (le cas échéant)
      • Certificat de diplôme et/ou certificat de fin d’études pour le diplôme de Bachelor (le cas échéant)
      • Lettre(s) de recommandation (facultatif)

    Calendrier

    Date limite de nomination et de candidature pour la rentrée 2024-2025

    • Double diplôme : le 15 mars 2024
    • Échange session d’automne 2024 : 15 mai 2024
    • Échange session de printemps 2025 : 15 octobre 2024
  • A qui ressemble un élève-entrepreneur engagé ? Portrait d’Antonin Desmerges 

    A qui ressemble un élève-entrepreneur engagé ? Portrait d’Antonin Desmerges 

    A qui ressemble un élève-entrepreneur engagé ? Portrait d’Antonin Desmerges 

    Acteur engagé dans les problématiques de sa génération : la protection de l’environnement et l’accès au travail pour tous sont au cœur de ses projets. Après deux ans d’interrogation, Antonin sait aujourd’hui ce qu’il veut faire : entreprendre. Lauréat du Prix Entreprendre pour Demain de la Fondation Sopra Stéria en 2020, sélectionné pour le programme Pangaea X de l’aventurier Mike Horn, Antonin Desmerges est diplômé 2022 de Télécom SudParis et un ingénieur engagé.  Portrait d’un entrepreneur plein d’idée.

     

    Sourire aux lèvres et lunettes rondes qui mettent en valeur ses yeux verts, le jeune entrepreneur s’avance vers nous, déterminé.

    Aujourd’hui cstage à IMT Starter, l’incubateur de Télécom SudParis, en 2022. Antonin a beaucoup voyagé avant de se lancer dans la peau d’un incubé. Né dans le nord de la France, le jeune entrepreneur de 25 ans effectue sa première année de formation en école d’ingénieur à Télécom SudParis, dans l’ancien parcours Sophia-Antipolis (EURECOM) en 2019*. En 2e année, il quitte le  sud de la France pour un semestre d’échange au Canada, où il attrape la fièvre de l’entrepreneuriat.

    Passionné d’architecture et sensible à la cause environnementale, son premier projet naît d’un cours d’architecture durable à l’école ÉTS de Montréal. De cet enseignement germe l’idée des micro-maisons durables et bioclimatiques : de petits habitats qui s’adaptent au climat. En mars dernier, il se laisse le temps de construire et de tester son premier prototype.

    Antonin se concentre désormais sur un autre projet, cette fois-ci en équipe : une start-up mettant en relation des élèves et des entreprises pour des stages. « LinkedIn, Indeed, c’est bien, mais vous ne pouvez pas nécessairement trouver ce dont vous avez besoin dans un court laps de temps. Imaginez trouver votre stage aussi facilement que l’on choisit un colis sur Amazon ! ». Des aspects comme les scores environnementaux des entreprises ou la lutte contre les discriminations font aussi partie des valeurs indiquées dans l’application, qui est en cours de prototypage et de test sur le marché.

    Antonin header

    Un élève ingénieur entrepreneur engagé

    Ce philanthrope a des convictions et des valeurs qu’il défend et communique à travers ses projets. A l’exemple du projet PTB qu’il développe dans le cadre du programme Pangaea X. « Pangaea X est un programme éducatif et environnemental lancé par l’aventurier Mike Horn, soutenant la jeunesse dans la concrétisation de projets à impact positif sur la planète. »

    Avec deux autres élèves ingénieurs de l’école Mines Saint-Etienne, également membre du groupe IMT, ils développent un projet répondant aux problèmes des fuites de déchets plastiques dans les océans : « PTB a vocation à augmenter la proportion de plastique recyclé en collectant des déchets plastiques ciblés et sourcés chez les générateurs de déchets, pour les vendre à des recycleurs locaux » .

    En tant que diplômé et entrepreneur engagé, ce projet est cher au cœur d’Antonin. Avec sa forte sensibilité envers la nature, les projets qu’il mène sont tous portés par une considération écologique. « J’aime la nature, la natation, l’escalade, l’apnée, que des sports que je pratique en plein air – j’ai même envoyé ma candidature à Koh Lanta ! C’est peut-être pourquoi je me sens très concerné par ces projets visant à protéger nos écosystèmes. De ce fait, j’ai envie de me servir de mes années d’ingénieur à Télécom SudParis, de ma méthodologie et de ma créativité, pour construire des projets à impact pour la planète ».

    Un projet : transmettre le goût de l’entrepreneuriat

    Antonin
    DR

    Ne craignant pas les défis, il est désireux de mener à bien chacun de ses projets, ou du moins le pousser le plus loin possible. D’ailleurs, dans 10 ans, il se voit bien servir les jeunes générations, en guidant toute personnes désireuses de créer une entreprise.

    Il nous explique que sa trajectoire professionnelle atypique est en fin de compte le résultat d’un choix personnel de faire et d’agir différemment : « Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait parce que j’en ai eu l’envie ou l’occasion. Ayez le courage de saisir chaque opportunité, même si vous ne savez pas où elle va vous mener. Aujourd’hui, je ne vis pas de mes projets, mais je construis, j’expérimente, je teste et je trouve ma voie, et c’est réellement enrichissant ».

    En guise de conclusion, il adresse aux futurs étudiants un message positif : « Ne pensez pas à trouver des idées pour entreprendre. Entreprendre peut commencer par se former et acquérir de l’expertise dans un domaine que vous aimez. Ensuite, l’inspiration viendra. Ensuite, ce sera la motivation et la discipline qui vous permettront d’y arriver ».

    Samuel Piqueur

     

    * Cette formation n’existe plus depuis la rentrée 2022.
    “Fonder une start-up en école d’ingénieur” : écoutez le podcast Sciences Num. avec notre diplômé 2020 Paul Huguet, cofondateur de la startup VocaCoach.
  • Innovation, Design et Entrepreneuriat Engagé (IDEE)

    Innovation, Design et Entrepreneuriat Engagé (IDEE)

    Innovation, Design et Entrepreneuriat Engagé (IDEE)

    Voie d’approfondissement IDEE – Diplôme d’ingénieur – Grade Master

    Les profondes mutations de notre société, qu’elles soient technologiques, écologiques, économiques ou sociales transforment en profondeur les organisations. Cette voie d’approfondissement développe chez les apprenants l’esprit d’entreprendre, pour imaginer et piloter des projets innovants, complexes, s’inscrivant dans les objectifs fixés par les grandes instances internationales (COP21 ; ODD de l’ONU) dont la France est signataire.

    Portée par la chaire Inventivité Digitale, cette formation est commune avec Institut Mines-Télécom Business School, l’ENSIIE et l’ESAD de Reims.

    Découvrez le métier de consultant architecture

    OBJECTIFS

    • Préparer à la création et au développement de projets digitaux du futur appelant une forte synergie interdisciplinaire
    • Former des professionnels aux techniques et métiers émergents du numérique
    • Engager une démarche entrepreneuriale éthique et responsable

     

    UNE FORMATION INTERDISCIPLINAIRE

    • Trois disciplines – management, ingénierie et design
    • Associées pour co-créer des projets d’open innovation
    • Des apprenants de trois formations distinctes

     

    UNE PÉDAGOGIE EN MODE PROJET

    • La pédagogie interactive autour de dynamiques de créativité propres à chaque discipline du programme, favorise le développement personnel et l’acquisition de compétences hybrides nécessaires au management de problèmes complexes et globaux.
    • Nourris par des cours, des interventions, des workshops, des ressources pédagogiques…, les apprenants développent un projet complet de la phase d’idéation au prototypage fonctionnel, en passant par la définition d’un business model.

    MÉTIERS, MISSIONS ET DÉBOUCHÉS

    Gestion de projets numériques, innovants et complexes
    • Chef de projet numérique, AMO
    • Conseil et audit sur des projets complexes
    • Responsable de l’innovation et transformation digitale
    • CINO (Chief Innovation Officer)
    • CITO (Chief Technology Innovation Officer)
    • Entrepreneuriat, intrapreneuriat numérique et social

    Ingénieur innovation
    • Conception de produits innovants
    • Concepteur d’interfaces numériques
    • IA / IoT

    Design de projets numériques
    • Digital designer en environnements numériques et hybrides
    • Designer UX / UI
    • Digital Designer Manager
    • Designer – Manager
    • Consultant en design
    • Facilitateur graphique

    Nouveaux métiers du numérique
    • Innovateur social en résidence
    • Penseur design
    • Animateur collaboratif
    • Accompagnant entrepreneurial, coach, Ecosystem Developer

    CONTACT

    CONTACT

    Djamel BELAID
    Co-coordonateur,
    Directeur du département informatique
    Email : @djamel.belaid

This site is registered on wpml.org as a development site. Switch to a production site key to remove this banner.