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  • Parrainage entreprise : Sopra Stéria nouveau parrain des étudiants de Télécom SudParis

    Parrainage entreprise : Sopra Stéria nouveau parrain des étudiants de Télécom SudParis

    Parrainage entreprise : Sopra Stéria nouveau parrain des étudiants de Télécom SudParis

     

    A la rentrée 2021, la société Sopra Stéria sera le parrain de la nouvelle promotion d’élèves-ingénieurs de l’école d’ingénieur Télécom SudParis. Durant les trois années de la scolarité, l’entreprise accompagnera les étudiants afin de les aider à préciser leur projet professionnel.

    Le parrainage d’entreprise à Télécom SudParis

    Sylvie Dumas, Responsable des Relations entreprises et Stages à Télécom SudParis nous donne sa définition : « Un parrain est une entreprise présente tout au long des 3 années de la scolarité de nos ingénieurs. Il les accompagne et les conseille sur leur avenir professionnel que ce soit au niveau des stages, de leur voie d’approfondissement (VAP), de la sortie de l’école et bien entendu du premier emploi. Il se comporte comme un parrain dans la vie de tous les jours : il s’engage à guider, soutenir et aider les élèves à aborder leur carrière professionnelle « .

     

    Quel est le rôle de l’entreprise ?

    Les actions du parrain sont multiples. Pour l’entreprise, toutes visent à amener l’étudiant à découvrir un secteur d’activité, des métiers, à partir à la découverte d’un environnement de travail et de collaborateurs ainsi que d’une culture d’entreprise. Cette ouverture et connaissance constituent un premier pas vers l’embauche en stage ou en emploi.

    Comme l’indique Fabrice Losson, directeur des relations avec l’enseignement supérieur chez Sopra Stéria, dans son billet sur La Tribune  « Les entreprises administrant des cours, soutenant des chaires, proposant aux étudiants de participer à des cas pratiques ou autres formats participatifs, apportent leur savoir-faire aux talents de demain. (…) l’entreprise amène du concret dans le quotidien éducatif des étudiants, leur permet de découvrir un métier et des expertises qui les aideront dans leur orientation professionnelle.« 

    Bike And Run
    Organisé chaque année sur notre campus, le « Bike & Run Grandes écoles et Universités » est une opération originale de recrutement

    « L’idée est de mettre en contact nos élèves-ingénieurs avec des collaborateurs de Sopra-Stéria qui, pour certains seront des modèles, pour d’autres les éclaireront sur la voie qu’ils veulent suivre. » explique Sylvie Dumas. « C’est aussi créer un lien avec une société qui a des valeurs « .

    Sur le terrain, chaque parrain définit avec l’école les modalités de ce parrainage : participation à des cours, implication dans des chaires, recrutement lors de salons dédiés, cas pratiques d’entreprises, concours, … les entreprises apportent du concret à la formation des élèves.

     

    Le choix d’un parrain entreprise

    farmia
    Farmia, un projet étudiant récompensé par la Fondation Sopra Steria-Institut de France

    « Sopra Stéria est une entreprise avec laquelle nous partageons une histoire de partenariats longue de 20 ans. » raconte Sylvie Dumas. « Avant le regroupement de Sopra et Stéria en 2015, l’entreprise Stéria fut parrain de promotion de 2006 à 2009. » poursuit Sylvie Dumas. On la retrouve partenaire de la chaire « Valeurs et politiques des informations personnelles », récompensant le projet numérique FarmIA en faveur de l’environnement porté par nos étudiants, ou encore partenaire de notre VAP « Intégration et déploiement de systèmes d’information« , par exemple.

    Le groupe français, qui compte 46 000 salariés dans le monde, porte des valeurs autour de la personne et du développement durable. « C’est ce que je recherchais aujourd’hui pour nos étudiants » explique Sylvie Dumas.

    La stratégie de Sopra Stéria en faveur de l’environnement, de la solidarité et d’un numérique responsable dans la gestion des activités, a pour l’objectif de faire du numérique non seulement « un accélérateur, mais aussi une source d’opportunités et de progrès pour tous« . Son action en faveur d’un numérique responsable a valu à Sopra Stéria en 2021, la certification Carbone Neutre délivrée par One Carbon World, partenaire officiel de l’ONU.

    De son côté, Télécom SudParis enrichit à la rentrée 2021, son cursus ingénieur pour y intégrer pleinement les problématiques de transition écologique.

     

    Des exemples de projets de parrainage réussis

    « Celui qui me vient à l’esprit, est le parrainage de NetXP, par deux fois, de nos étudiants » commente Sylvie Dumas. A l’époque la société, inconnue des étudiants, ne compte que trente salariés. « Ils se sont tant investis durant ces trois années, que NetXP a recruté par moins de 20 jeunes diplômés« .

    Autre exemple, celui du Groupe TF1. « Le parrainage de la promotion 2013 par TF1 semblait couler de source. Mais après quelques conférences, les étudiants se sont rendu compte de ce qu’était véritablement TF1, au-delà de ce que chacun connaît.  » explique Sylvie Dumas avant de conclure « Les élèves-ingénieurs ont vraiment été intéressés par la diversité des expertises développées au sein du groupe. »

    L’implication des entreprises favorise l’acquisition du « savoir-être » et « savoir agir » nécessaire aux élèves-ingénieurs. Un partenariat « gagnant-gagnant » !

  • Live Discord : cursus, débouchés et vie étudiante à Télécom SudParis

    Live Discord : cursus, débouchés et vie étudiante à Télécom SudParis

    Pose tes questions durant nos Live sur Discord

    Cet été, Télécom SudParis organise 2 sessions Live d’1h30 sur la plateforme Discord pour permettre aux étudiants et parents d’élèves d’échanger avec nos équipes. Le premier événement aura pour objets le cursus, les débouchés et la vie étudiante dans notre école. Le deuxième live portera sur les admissions, les bourses et les informations pratiques.

    RDV dans notre salon sur Discord avec notre équipe le jeudi 8 juillet 2021 de 17h30 à 19h00 pour poser vos questions sur les thèmes :

    Cursus, débouchés

    Vie étudiante

    Nos intervenants :

    • Claude VILLARD, Directeur des formations
    • Emmanuel MONFRINI, Directeur adjoint des formations
    • Nel SAMAMA, Directeur adjoint du département Eléctronique et Physique
    • Robin THYWISSEN, Président de T&MA
    • François TRAHAY, Professeur associé à Télécom SudParis
    • Elisabeth NIGAGLIONI, Responsable de la vie étudiante
    • Stéphane DEHORS, Responsable des sports
    • Ulysse AUBIN, Président du Bureau des Elèves (BDE)
    • Mériane MENDY, Présidente de Promo2Tel et Ambassadeur Télécom SudParis
    • Tom FIETTE, élève-ingénieur en 1ere année et Ambassadeur Télécom SudParis

     

  • Partenariat DGSE, Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom

    Partenariat DGSE, Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom

    Partenariat DGSE, Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom

    Le 18 juin, pendant VivaTech 2021, Patrick Pailloux, directeur technique de la DGSE – Direction Générale de la Sécurité Extérieure – François Dellacherie, directeur de Télécom SudParis et la Odile Gauthier, directrice générale de l’IMT ont signé une convention de partenariat. Cette signature a été ponctuée par la visite de Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques.

    L’enjeu de cette convention est la souveraineté numérique.

    « Dans ce contexte stimulant de VivaTech, le rendez-vous des hautes technologies et des grands enjeux pour demain dans la transition numérique, écologique et productive, je suis particulièrement heureuse de pouvoir lancer entre l’Institut Mines-Télécom et la DGSE un projet de grand partenariat à l’initiative et porté par notre école Télécom SudParis.

    « Les compétences de pointe dans ce domaine de Télécom SudParis en systèmes d’information et systèmes de sécurité associées aux expertises de vos équipes de la DGSE sont les atouts pour, ensemble, relever ces défis« , a notamment indiqué Odile Gauthier avant d’annoncer l’organisation commune d’un prochain challenge de cybersécurité.

     

     

    De gauche à droite : François Dellacherie, directeur Télécom SudParis ; Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques ; Odile Gauthier, directrice générale Institut Mines-Télécom et Patrick Pailloux, directeur technique de la DGSE.
    De gauche à droite : François Dellacherie, directeur Télécom SudParis ; Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques ; Odile Gauthier, directrice générale Institut Mines-Télécom et Patrick Pailloux, directeur technique de la DGSE.

     

  • Viens discuter en live avec les Télécomiens

    Viens discuter en live avec les Télécomiens

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    Viens discuter en live avec les Télécomiens

    En chat, call ou visio, rejoins-nous bientôt sur notre forum Discord. En plus de ce salon virtuel principal, nous organisons 2 rendez-vous dédiés sur Discord. Nous y aborderons tes questions sur la formation et débouchés, la vie étudiante, admission et bourses ainsi que les infos pratiques :

     

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    17 juin 2021

    Campus Channel spécial admissibles

    17:30
    Français

    18 juin 2021

    Live YouTube : Réussir son oral d’entretien au Concours

    18:00
    Français

    23 juin 2021

    Live YouTube : Réussir son oral d’entretien au Concours

    18:00
    Français

    8 juillet 2021

    Live Discord : cursus, débouchés et vie étudiante à Télécom SudParis

    17:30
    Français

    16 juillet 2021

    Live Discord : admission, bourses et informations pratiques à Télécom SudParis

    17:30
    Français

    Une question ? Viens chatter sur Facebook admissibles, Instagram, Twitter ou Discord !

    Échange avec nos étudiants ambassadeurs. De la diversité des options à la vie associative, en passant par les bourses et le goût des frites au restaurant, tu dois avoir des centaines de questions sur ta future vie d’étudiant.e.

    Quoi de mieux qu’une équipe d’élèves-ingénieurs de première année à ta disposition pour répondre à toutes tes questions ?

     

  • Les atouts d’une thèse en entreprise à l’étranger

    Les atouts d’une thèse en entreprise à l’étranger

    thèse en entreprise à l'étranger

    Les atouts d’une thèse en entreprise à l’étranger

    La recherche partenariale peut revêtir plusieurs formes. Télécom SudParis et TriaGnoSys, une petite entreprise allemande, ont mis en place un projet de thèse de doctorat à l’international. Un choix qui permet aux laboratoires académiques de mener de la R&D conjointement avec l’entreprise et à celle-ci de rester à la pointe de l’innovation. Retour sur une recherche partenariale réussie, qui porte sur l’intelligence artificielle appliquée à la maintenance prédictive dans l’aéronautique.

    Le stage, point de départ vers une autre collaboration 

    Un étudiant de Télécom SudParis – une école qui bénéficie du label Carnot Télécom & Société numérique pour sa recherche – effectue son stage de master à l’international pour valider son diplôme. Il choisit TriaGnoSys, une petite entreprise allemande (rachetée par Zodiac Aerospace), spécialiste des liaisons par satellite pour les avions et des systèmes informatiques des cabines.

    A l’issue de son stage, l’étudiant envisage de poursuivre son parcours par une thèse, dans le cadre d’un contrat de mission pour la durée du projet. Il se tourne alors naturellement vers Télécom SudParis pour l’encadrement de la thèse. L’idée intéresse les deux parties. Le sujet envisagé porte sur la maintenance prédictive dans l’aéronautique. « Lorsqu’un avion est en vol, des capteurs récupèrent des données qui sont traitées afin d’anticiper les pièces à changer lors de l’escale » explique Sophie Chabridon, enseignante-chercheure en informatique à Télécom SudParis, spécialisée dans les systèmes répartis. « Nous voulions explorer le traitement des anomalies en temps réel. Pour faire les calculs nécessaires à la maintenance prédictive, on utilise à la fois les ressources de calcul disponibles à bord des avions et celles d’ordinateurs plus puissants au sol. Les liaisons satellites entre les machines à bord et au sol n’étant pas toujours d’une qualité suffisante (temps de communication parfois important, interruptions des communications, etc.) l’idée est d’optimiser les calculs sur ces systèmes répartis »

    Une valeur ajoutée pour l’école et l’entreprise

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    © Joe Ambrogio / Pexels

    Pour TriaGnoSys, accueillir un doctorant est une de façon de tester les résultats de la recherche et de monter en compétence dans le domaine de la maintenance prédictive. C’est aussi un moyen de montrer que l’entreprise est en pointe sur l’utilisation de travaux académiques et qu’elle contribue au transfert des connaissances. Pour Télécom SudParis, c’est une façon de mener des recherches avec l’entreprise et de voir si elles répondent aux besoins réels.

    Les capteurs restituent une importante quantité d’informations et leur pertinence est essentielle pour prendre les bonnes décisions. « J’ai travaillé sur la qualité des informations pour les objets connectés ; cela m’intéressait de comprendre les besoins précis de l’entreprise et de leur proposer des solutions en lien avec la réalité du terrain. En même temps, cela permet de valider nos résultats théoriques » poursuit Sophie Chabridon.

    Un partenariat gagnant-gagnant

     A l’issue des trois années de recherche, la thèse est publiée sous le titre « Détection des anomalies sur les données de vol en temps réel avec des agents communicants hétérogènes ». Elle répond aux objectifs fixés par les deux parties : la mise au point d’un système de maintenance en temps réel. Inédits, les travaux favorisent par ailleurs l’émulation dans l’entreprise qui a ensuite accueilli quatre nouveaux stagiaires sur ce sujet. De son côté, Télécom SudParis a publié les résultats et a ainsi rempli sa mission de confrontation des résultats théoriques aux besoins réels des entreprises. Depuis, Zodiac Aerospace été intégrée au Groupe Safran.

    Monter une thèse avec une entreprise à l’étranger

    etudiant telecom sudaparis L’accueil d’un thésard par une entreprise à l’étranger est comparable au dispositif CIFRE en France.  Seul le financement, assuré par l’entreprise, diffère. L’étudiant répartit de façon optimale son temps de travail entre le laboratoire et l’entreprise. Une équipe d’encadrement est mise en place sur mesure à télécom Sudparis en fonction du sujet du doctorant.

    Sophie Chabridon, spécialiste des systèmes répartis et de l’Internet des objets, dirige la thèse et Yohan Petetin, expert de l’apprentissage automatique encadre la thèse. L’objectif de la thèse est le même : renforcer les échanges entre les laboratoires de recherche et les entreprises. Les thèses en entreprise à l’étranger sont peu connues et devraient être encouragées. « Une thèse est toujours un pari pour les deux parties car on s’engage sur trois ans. L’idéal est de commencer par un stage avant de s’engager sur plusieurs années » explique Sophie Chabridon.

    Confronter les résultats de la recherche aux besoins des entreprises est essentiel pour les écoles d’ingénieur. Valider les résultats de la recherche est valorisant pour une entreprise et permet de se différencier de la concurrence. La thèse en entreprise à l’étranger est l’une des façons de tisser des partenariats fructueux entre l’école et le monde de l’entreprise.

     

    Contact Carnot TSN

    olivier 1 e1587135655594Olivier Martinot

    Directeur de l’innovation et des relations entreprises

    Télécom SudParis 

  • Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Les élèves de Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School se sont engagés dans la création d’une épicerie sociale et solidaire commune sur leur campus, Épicer’INT.

    Ce qui était à l’origine un projet étudiant d’un programme pédagogique GATE® (Gestion et Apprentissage du Travail en Equipe) est devenu un club rattaché à Intervenir, l’association humanitaire du campus. Une action forte en ces temps de précarité étudiante due à la crise sanitaire.

    1,3 milliards de tonnes de nourriture sont jetés par an dans le monde dont 1,3 millions de tonnes par la grande distribution. Partant de ce constat socio-environnemental,  Épicer’INT a donc souhaité récupérer les invendus de la grande distribution pour les partager gratuitement aux étudiants.

    Comme l’explique son président Antoine Klein, élève-ingénieur en 1ère année à Télécom SudParis : « La force de notre épicerie sociale est de proposer une offre alimentaire diversifiée et de qualité, donnant accès à des produits frais aux étudiants en situation de précarité ».

    Donner accès à des produits frais aux étudiants en situation de précarité

    GATE®, l’un des programmes de pédagogie par projet de la formation ingénieur de Télécom SudParis, vise à déployer un projet long, dans toutes ses composantes professionnelles, en équipe multiculturelle. Que ce projet soit technique, scientifique, artistique ou encore humanitaire.

    Dans le cas d’Épicer’INT, il s’agit pour nos élèves-ingénieurs Hugo, Eloi, Mathilde, Léonard, Antoine, Sophie, Imène et Capucine de conduire une étude de faisabilité, de nouer des partenariats avec des fournisseurs de denrées alimentaires, de produits d’hygiène et d’entretien et enfin de trouver un local afin de garantir la pérennité du projet. Ainsi, à la rentrée 2021, Épicer’INT emménagera dans des locaux partagés avec d’autres associations étudiantes, Cook’it et Epicurieux, et bénéficiera d’un réel espace de stockage proposé par la Maison des élèves (MAISEL).

    Sandrine Chapelet, en charge du social étudiant au Service Scolarité, Intégration Accompagnement des élèves, a encadré ce projet. Bien avant la crise, l’École a mis en place un certain nombre de solutions pour soutenir ses élèves, mais « l’épicerie s’adresse à tous les élèves, boursiers et non boursiers, car tous peuvent être touchés par les conséquences de la crise sanitaire« .

    « Les enjeux de cette association sont à la fois sociaux et environnementaux. Cette initiative permet de limiter le gaspillage alimentaire, tout en aidant les étudiants », rappelle encore Antoine. « Cette période est particulièrement difficile pour les élèves. Certains d’entre nous ne peuvent plus se permettre de manger trois repas par jour. Ce qui n’est pas acceptable ».

    Des besoins de financements

    Grâce au travail fourni par ses 30 membres bénévoles, Épicer’INT a pu commencer la distribution équitable de paniers repas en mars 2021. Chaque semaine, ce sont 150 paniers qui sont distribués. A ce jour, 920 sacs alimentaires ont été distribués, soit environ 3 000 repas.

    « Le nombre de demandes d’aide ne cessent d’augmenter. Certaines initiatives pour y répondre remportent le succès sur Evry, mais restent insuffisantes » explique Antoine. « Nous avons besoin d’environ 10 000 € pour acheter des frigos, des meubles et fournitures pour le local. Mais aussi des denrées sèches, des produits d’hygiène et quelques produits frais que nous ne pouvons donc pas obtenir gratuitement dans les enseignes. », insiste le président de l’association solidaire.

     

     

    L’épicerie a d’ores et déjà trouvé le soutien du Rotary Club de Mennecy, de l’association « Le sac solidaire étudiant du Val d’Essonne », de la Mairie d’Evry-Courcouronnes et dernièrement du Lions Club de Draveil et Generactions 77. Restait à trouver de quoi financer l’équipement de l’Épicerie – dont les conteneurs isothermes, l’achat de produits de première nécessité, sans oublier les frais liés au fonctionnement de l’Épicerie : produits d’entretien, location d’un utilitaire deux fois par semaine pendant un an.

    Les élèves de Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School, les Écoles, l’association des diplômés ainsi que la Fondation Mines-Télécom ont donc organisé une collecte de fonds du 20 avril au 20 mai 2021 pour soutenir l’Épicerie solidaire. « Même si quelques années ou une génération nous séparent, l’entraide et la solidarité sont des valeurs que nous portons tous ! Depuis toujours, nous nous serrons les coudes entre étudiants, entre promos, entre résidents d’une même Maison des élèves. »

     

    ABN

    Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Le Prix Coup de cœur collaborateurs du concours DIVALTO C.A.R.E.I.T 2020.21

    divalto epicerint
    DR

    Divalto, l’éditeur français de logiciels de gestion pour les PME et ETI, annonçait en septembre dernier la 3ème édition de son concours solidaire à destination des étudiants : le Divalto C.A.R.E I.T. Ce concours récompense les projets d’associations étudiantes incarnant au plus près les valeurs comme : Audacieux, Ensemble, Esprit d’Excellence, Responsable. En février 2021, un premier coup de projecteur est mis sur EpicerINT lorsque l’équipe est séléctionnée parmi les 6 finalistes.  Le 23 mars 2021, nos étudiants remportent le « Coup de cœur collaborateurs » du Jury.

  • Charte graphique et logotype

    Charte graphique et logotype

    Charte graphique et logotype de Télécom SudParis

    Téléchargez le logotype et la charte graphique de Télécom SudParis qu’il est nécessaire de consulter pour la bonne utilisation de notre identité visuelle. Si toutefois vous souhaitez un format de fichier spécifique, merci de contacter la Direction de la Communication à l’adresse @communication.

     

    • Le nom de marque est « Télécom SudParis » .

    • Il est à utiliser dans tous les cas, à l’exception des contextes juridiques où le nom officiel de l’École reste « Télécom SudParis« . Notamment dans les titres professionnels du type « ingénieur de Télécom SudParis« , les diplômes, les documents contractuels ou les blocs adresse.

    • Par ailleurs, le « É » est accentué (touches ALT+144). On appose des capitales au T de « Télécom » et aux S et P de « SudParis » qui s’écrit en un seul mot : Télécom SudParis.

  • Summer school dédiée à l’entrepreneuriat

    Summer school dédiée à l’entrepreneuriat

    Summer school dédiée à l’entrepreneuriat

    Du 3 juin au 31 juillet 2024, Télécom SudParis, son incubateur IMT Starter en partenariat avec le C-19 organisent  une Summer School destinée aux jeunes entrepreneurs et intrapreneurs : élèves-ingénieurs de Télécom SudParis, étudiants de l’école de commerce IMT-BS et élèves-ingénieurs de l’ENSIIE. Ce programme consiste à structurer et faire grandir, en 2 mois, une idée en projet grâce à des ateliers immersifs et du coaching mené par des entrepreneurs confirmés. Rejoignez ce programme de haut niveau et développer votre esprit entrepreneurial !

    REBOOT Disrupt’ Campus, dispositif subventionné par Bpifrance dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (2017), accompagne l’émergence d’une nouvelle catégorie d’entrepreneurs et d’intrapreneurs dans le champ de la transformation digitale. En tant qu’acteur de votre projet, vous serez accompagné et montrez en compétence grâce à :

    • des ateliers
    • du coaching
    • des initiations au prototypage
    • des rencontres inspirantes
  • La Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom renouvellent leur partenariat pour soutenir nos étudiants

    La Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom renouvellent leur partenariat pour soutenir nos étudiants

    La Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom renouvellent leur partenariat pour soutenir nos étudiants

    Pour apporter leur soutien aux étudiants, particulièrement fragilisés par la crise actuelle, la Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom ont renouvelé leur partenariat afin d’offrir 6 bourses Trajets d’Avenir par an à des élèves-ingénieurs des écoles Télécom Paris et Télécom SudParis.

    48 étudiants accompagnés depuis 2012

    Dans le cadre du dispositif Trajets d’Avenir de la Fondation du groupe RATP et du partenariat renouvelé, 6 étudiants des écoles d’ingénieurs Télécom Paris et Télécom SudParis bénéficient cette année du financement de leurs études grâce à une bourse. En plus, ces derniers seront accompagnés par des mentors, salariés volontaires du groupe RATP, qui ont à cœur de partager leurs valeurs et de transmettre leur expérience.

    En partenariat avec la Fondation Mines-Télécom, la Fondation groupe RATP s’engage depuis 2012 en accordant des bourses pour favoriser la réussite d’étudiants prometteurs dont la situation personnelle rend plus difficile la poursuite d’études dans des filières d’excellence. Les deux fondations ont ainsi pu soutenir 48 étudiants, l’occasion de découvrir les témoignages d’anciens bénéficiaires du dispositif et aujourd’hui diplômés.

     

    Témoignage de Romane, diplômée Télécom SudParis 2019

    romane gomesRomane Gomes, 24 ans, a été diplômée de Télécom SudParis en 2019. Elle travaille aujourd’hui dans le secteur de la finance à la Banque Postale. Elle revient pour nous sur son parcours et sur le soutien qu’elle a reçu grâce au dispositif « Trajets d’avenir ».

    « Après une prépa scientifique, j’ai choisi Télécom SudParis car il s’agissait d’une école généraliste qui avait en plus l’avantage de partager son campus et un certain nombre de ses cours avec IMT-BS, l’école de management de l’IMT. Je n’avais pas encore de projet professionnel concret, ce choix me permettait d’avoir des cours variés et d’affiner mes goûts pour certains domaines. J’ai vraiment apprécié les matières très scientifiques telles que les statistiques ou encore le cours sur les files d’attente. »

    « Ma situation financière était compliquée. Ma mère était seule pour m’assumer. J’étais boursière mais même avec des jobs étudiants, c’était vraiment dur de joindre les deux bouts. Cet accompagnement financier m’a apporté une vraie respiration au cours de mon cursus, il s’agissait d’une aide importante. Lorsque l’on est confronté à des problématiques financières à côté des cours, c’est un poids supplémentaire difficile à supporter au quotidien. Grâce à cette bourse, j’ai pu alléger le nombre d’heures de travail alimentaire à côté de mes études et me consacrer pleinement à ces dernières. Cela fait considérablement redescendre la pression. » 

     

  • VARIoT, la cybersécurité des objets connectés

    VARIoT, la cybersécurité des objets connectés

    VARIoT, la cybersécurité des objets connectés

    Le développement de l’Internet des objets (IoT) pose la question cruciale de la sécurité des objets connectés, particulièrement vulnérables aux attaques. Impliqué dans la recherche et le développement de technologies de cybersécurité, Télécom SudParis s’intéresse en particulier à la sécurité de l’IoT au travers du projet européen de recherche collaborative VARioT (Vulnerability and Attack Repository for IoT).  Retour sur un projet ambitieux et prometteur.

     

    La genèse du projet

    Le projet VARioT a été monté par Grégory Blanc, enseignant chercheur à Télécom SudParis, maître de conférences en cybersécurité et réseaux, coordinateur de la spécialisation de troisième année en sécurité des systèmes et réseaux, en charge de projets européens et nationaux.

    Après avoir effectué le stage de fin d’études de son école d’ingénieur en informatique dans un laboratoire de recherche au Japon, Grégory Blanc y a poursuivi son cursus par une thèse dans le domaine de la cybersécurité. « Le sujet était lié aux scripts côté client, l’objectif étant de protéger le navigateur contre les attaques qui peuvent être organisées via des sites web infectés », se rappelle Grégory Blanc.

    De retour en France, le jeune chercheur décroche un post doc au sein de Télécom SudParis, auprès du professeur Hervé Debar. L’occasion de participer à un projet européen en collaboration avec le Japon, monté en 2012. Ce premier projet a ouvert la voie à des collaborations dont le projet VARIoT. Initié par un appel à projets européen de l’Innovation and Networks Executive Agency (INEA), ce projet commencé depuis 2019 et qui se termine en 2022, mobilise 5 partenaires européens autour de la sécurité informatique des objets connectés.

    Pourquoi s’intéresser à la sécurité des objets connectés ?

    Produits en masse avec des temps de mise sur le marché court, les objets connectés sont sujets à des défaillances en termes de sécurité informatique. Leurs ressources étant limitées, une fois le système d’exploitation et les différentes applications installées, il leur reste peu de mémoire pour un logiciel de sécurité. La sécurité doit souvent être externalisée, ce qui a pour conséquence une vulnérabilité notoire de ces objets vis-à-vis des attaques.

    « Pour les objets connectés à l’Internet via une connexion sans fil, les mises à jour peuvent être vulnérables à des interceptions (attaques de l’homme du milieu ou Man-in-the-Middle) lorsque les garanties d’intégrité et d’authenticité sont défaillantes : les requêtes et réponses ne circulent pas chiffrées, l’attaquant peut modifier leur contenu, surtout si l’objet ne vérifie pas l’identité du serveur de mise à jour » explique Grégory Blanc.

    Iot au coeur des process métiers min 1« Autre vulnérabilité très commune : le portail web d’administration, à l’instar du service Telnet, exposé comme interface d’administration par de nombreux objets. On peut s’y connecter en connaissant les identifiants d’administration, qui sont souvent laissés par défaut (ex : admin/admin). Mirai est connu pour exploiter cette vulnérabilité.

    Le mode d’action des attaques consiste à scanner l’Internet à la recherche d’objets répondant sur le port Telnet et ayant une authentification faible, c’est-à-dire dont le mot de passe est inexistant ou insuffisamment protecteur. Il est alors possible de prendre le contrôle des objets et d’installer ensuite de nouveaux programmes ou de générer des requêtes sur d’autres entités sur Internet afin de créer par exemple des attaques du type déni de service distribué (saturation des capacités de communication) », poursuit Grégory Blanc.

    Les bases du projet

    L’objet de VARioT est de mettre à disposition via un ensemble de portails web européens, toutes les données disponibles dans le monde sur les vulnérabilités des objets connectés et sur les attaques qui les visent. La mise en place du portail web est soutenue par le Carnot Télécom & Société numérique. Le consortium monté pour soutenir le projet est constitué par Télécom SudParis, l’institut polonais de recherche NASK, la fondation néerlandaise Shadowserver, le Computer Incident Response Center du Luxembourg et l’Université Mondragon (Espagne).

     

    Télécom SudParis apporte son expertise dans la détection d’intrusion. « Notre approche consiste à observer la communication sur les réseaux et à essayer de déterminer si les messages sont émis par des entités légitimes ou malveillantes », poursuit Grégory Blanc. Dans le cadre du projet VARIoT, un certain nombre d’objets ont été déployés dans des conditions réalistes, en interaction avec des humains afin de générer du trafic réel. Ce profil réseau légitime est intégré dans des algorithmes d’apprentissage automatique (machine learning), de manière à pouvoir identifier une anomalie dès son apparition. Cela permet d’empêcher que des objets connectés qui ont été infectés puissent envoyer des messages en dehors du réseau où ils se trouvent. Des signatures d’objets préalablement infectés vont également être collectées pour fournir les profils de comportement en réseau de malwares (logiciels malveillants). Cette tâche est assurée par l’Université de Mondragon qui a proposé une plateforme permettant de générer de manière reproductible l’infection d’un objet et la capture du trafic réseau, une fois que cet objet compromis génère des messages.

    Un réseau collaboratif

    european data portal
    © European Data Portal/Facebook

    Télécom SudParis partage en outre ses données et ses modèles de trafic IoT sur le portail web (variot.telecom-sudparis.eu).

    Shadowserver scrute régulièrement la totalité de l’Internet en vue de répertorier les menaces et de les partager avec son réseau de partenaires. Dès le début du projet VARIoT, Shadowserver a commencé à scanner les objets connectés pour les recenser et étudier leur niveau de sécurité. L’agrégation des données et la constitution d’une base de données est gérée par NASK.

    Un lot sur l’analyse de la menace sur les objets de l’IoT est coordonné par Smile, entité qui dépend du CERT (Computer Emergency Response Team) du Luxembourg. Ce dernier a proposé d’utiliser une plateforme d’échange d’informations (MISP) entre CERT au niveau mondial et de partager les sources de données de cybersécurité des objets connectés au niveau européen sur l’European Data Portal.

    Les retombées

    Le projet a une orientation très concrète pour l’amélioration de la sécurité informatique de l’IoT.  En apportant une connaissance plus détaillée des vulnérabilités et des menaces qui pèsent sur les objets connectés, il va permettre de développer des outils capables d’anticiper et d’empêcher la survenue de compromissions.

    Par ailleurs, les jeux de données réseau sur les objets connectés étant rares et difficiles à obtenir (du fait de la protection de la vie privée et des données personnelles), le fait d’en générer va apporter de la visibilité et permettre d’évaluer les outils de détection d’intrusion développés à Télécom SudParis.

    Les contacts qui sont en train de se nouer avec l’Université nationale de Yokohama en vue d’une collaboration sur ces sujets illustre l’intérêt très large que représentent ces travaux.

     

    Contact Carnot TSN

    olivier 1 e1587135655594Olivier Martinot

    Directeur de l’innovation et des relations entreprises

    Télécom SudParis 

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