Catégorie J'ai envie de : Concevoir

  • « Tous les grands projets, pour réussir, demandent des talents différents »

    « Tous les grands projets, pour réussir, demandent des talents différents »

    « Tous les grands projets, pour réussir, demandent des talents différents »

    Aurélie, diplômée, est aujourd’hui Architecte technique sur le Projet ENGIE Pro’Pulse chez Sopra Steria. Après PSI elle intègre, Télécom SudParis. Aurélie revient sur son parcours.

     

    guillemets

     Je ne voulais donc pas intégrer une école trop spécialisée

    J’ai suivi la filière scientifique au lycée, avec une spécialité mathématiques en terminale. J’ai ensuite été orientée vers une prépa scientifique, MPSI en première année (Mathématiques, Physique, Sciences de l’Ingénieur) puis PSI (Physique et Sciences de l’Ingénieur).

    A l’issue de mes deux années de prépa, j’ai passé beaucoup de concours. Je voulais optimiser mes chances d’intégrer une école, car je n’avais pas envie de faire 5/2. Je n’avais pas encore d’idée très précise concernant ma future spécialisation en tant qu’ingénieure, et je ne voulais donc pas intégrer une école trop spécialisée. Télécom SudParis répondait à ce critère, car tout en étant tournée sur les Télécom, offrait aussi d’autres voies. Et par rapports aux classements des grandes écoles, elle était bien placée.

    J’ai apprécié de pouvoir passer les oraux de Télécom SudParis dans l’école. Cela m’a permis de découvrir le campus, et certains des étudiants qui y étaient pour nous accueillir. Cela m’a aidé à me projeter vis à vis de ce que cela pourrait être.

    Finalement, dans mes choix après-concours, j’ai placé Télécom SudParis assez haut dans mon classement. Quand j’ai été acceptée, j’ai accepté sans le moindre doute.

    Je voulais quelque chose de concret, tourné vers l’avenir

    J’ai découvert le domaine de l’informatique à travers les premiers modules du tronc commun à Télécom SudParis. J’ai très vite compris que c’était ce que j’aimais faire, et j’ai donc poursuivi dans cette voie. Lorsqu’on a eu à choisir les premiers modules d’orientation, je me suis intéressées aux Systèmes d’Information, et c’est ce qui m’a permis de comprendre en quoi l’informatique pouvait être utile, et de quelle manière. Par la suite, j’ai choisi la VAP DSI, car elle proposait de faire le lien entre les aspects techniques et métiers, ce qui est essentiel pour développer des projets professionnels qui sont aux services des utilisateurs et répondent réellement aux besoins.

    Mon dernier choix a concerné le cœur de métier auquel je voulais m’attacher, et là je voulais quelque chose de concret, tourné vers l’avenir. En recherchant mon stage de fin d’études, Steria m’a proposé un poste de développeuse pour un projet sur le suivi des consommations énergétiques dans les bâtiments à énergie positive. J’ai accepté sans hésiter, car cela allait me permettre d’aborder le domaine de l’énergie, essentiel dans le contexte mondial actuel.

    Tous les grands projets, pour réussir, demandent des talents différents

    Si j’ai choisi la VAP DSI c’est qu’elle proposait de faire le lien entre les aspects techniques et métiers. Or c’est en effet essentiel pour être en mesure de développer des applications qui répondent aux réels besoins des utilisateurs.

    Par la suite, bien que je ne le savais pas en faisant mon choix d’orientation, la VAP DSI a également été capitale vis à vis du fait qu’elle nous a donné l’opportunité de travailler souvent en équipe. Tous les grands projets, pour réussir, demandent des talents différents et une bonne collaboration, c’est donc un aspect essentiel.

    J’ai vécu des moments inoubliables lors des projets

    Ce sont les projets réalisés en équipe à Télécom SudParis qui m’ont été le plus utiles. J’ai vécu des moments inoubliables lors des projets de première année. Nous avions choisi de faire découvrir les sciences aux élèves du collège voisin à Télécom SudParis, pour les encourager à suivre des voies scientifiques. Cela m’a montré à quel point il est important de transmettre son savoir, de le partager.

    Et aujourd’hui cela me sert au quotidien dans le monde professionnel car les équipes changent souvent et qu’il faut donc très régulièrement faire des passages de connaissances.

    Mon rôle actuel m’amène aussi à aider les nouveaux développeurs à monter en compétence, ce qui est à la fois passionnant et très enrichissant.

    Etre architecte est à la fois passionnant et exigent

    Après mon stage à Steria en tant que développeuse, j’ai été embauchée en tant que responsable technique de l’équipe que j’avais rejoint. J’ai travaillé depuis sur de nombreux projets différents et je suis aujourd’hui architecte.

    L’architecture me permets d’aborder des sujets transverses et variés. J’aborde autant des problématiques liées à l’infrastructure qu’au code applicatif, et au cycle de vie complet d’un projet informatique (développement, déploiement sur les différents environnements, maintenance opérationnelle).

    Un architecte est également capable de recueillir le besoin du client et de proposer les solutions techniques les plus adéquates en prenant en compte des contraintes diverses. En particulier, les aspects sécurité et performances sont deux notions essentielles qui doivent être systématiquement prises en compte.

    J’interviens également en support aux développeurs, pour les aider à monter en compétences.

    Etre architecte est à la fois passionnant et exigent, car il faut sans cesse s’adapter aux nouvelles technologies. Mais heureusement, dans un grand groupe comme Sopra Steria, on n’est jamais seuls ! La communauté des architectes est d’une grande aide.

    Ce dont je suis la plus fière aujourd’hui c’est notre projet de 1ère année

    Je suis fière de tous les projets que j’ai réalisé en équipe, en particulier de ceux pour lesquels nous pouvions faire preuve de créativité et où nous étions un peu libres de ce que nous pouvions proposer. Le plus marquant reste sans doute celui de première année, où nous avions choisi de transmettre notre gout des sciences aux collégiens à travers des petites expériences.

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  • Chaire Data Science pour le e-commerce

    Chaire Data Science pour le e-commerce

    Inauguration chaire VeePee

    La chaire « Data Science pour le e-commerce »

    Chaire Data Science pour le e-commerce

    La chaire Data Science pour le e-commerce répond à une demande grandissante des étudiants désireux d’élargir leurs compétences en se formant aux technologies et aux grands enjeux de l’intelligence artificielle qui touchent tous les domaines d’activité, dans le monde entier.

     

    Objectifs de chaire Data Science pour le e-commerce

     

    • Développer les enseignements dans les domaines des sciences des données et de l’ intelligence artificielle auprès des étudiants ingénieurs en voie d’approfondissement Modélisations Statistiques et Applications à Télécom SudParis et auprès des étudiants ingénieurs (filières Sciences des données et Traitement du signal pour l’intelligence Artificielle) et étudiants en Mastère Spécialisé (Big Data par exemple) à Télécom ParisTech.
    • Étudier l’impact des sciences des données et leur utilisation dans le contexte du e-commerce.
    • Exposer et sensibiliser les étudiants à l’intérêt des métiers de la science des données.
    • Proposer la réalisation d’études de cas avec la collaboration mécènes de la Chaire.

    Actions menées dans le cadre de la chaire

     

    • L’organisation de séminaires thématiques impliquant le Mécène, les corps professoraux et les élèves.
    • La visite des locaux de VEEPEE pour sensibiliser les élèves au sujet du e-commerce et au besoin de données.
    • La réalisation par les étudiants d’études de cas liées aux métiers de VEEPEE.
    • La réalisation de projets de fin d’études dans le laboratoire commun situé dans les locaux de VEEPEE.
    • Le co-encadrement des projets d’élèves.
    • Des interventions pédagogiques dans les cours.

     

    Contact : Randal DOUC, Professeur, Adjoint au directeur du département CITI (Communications, Images et Traitement de l’information) de Télécom SudParis.

     

    La chaire est soutenue par la Fondation Mines-Télécom.

     

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  • Fresqu’it, l’écologie vue par les élèves du campus et des enfants de quartier

    Fresqu’it, l’écologie vue par les élèves du campus et des enfants de quartier

    Fresqu’it, l’écologie vue par les élèves du campus et des enfants de quartier

     

     

    Lundi 28 et mardi 29 mars, dans le tunnel qui relie la rue Charles Fourier et le RER, le projet Gestion et Apprentissage du Travail en Equipe (GATE) Fresqu’it prenait forme. C’est le fruit d’un long travail en amont, commandé et accompagné par l’association BDA, pour relier art, écologie et urbanisme. Reportage.

     

     

    UNE GATE

    Fresqu’it, l’écologie vue par les élèves du campus et des enfants de quartier

    Avant 10h du matin, mardi 29 mars, une voiture se gare près de l’entrée du pont qui borde la rue Charles Fourier, au pied du campus. Des pots de peinture ouverts sont entassés près du coffre. Sur l’un d’eux reposent une dizaine de rouleaux prêts à servir.

    Pendant ce temps, alors que des enfants de la maison de quartier du Parc aux Lièvres d’Evry jouent dans l’herbe avec un filet à bulles de savon, d’autres se mélangent avec des élèves des écoles Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School.

    Un symbole fort

    Sur les murs blancs du tunnel long de trente-six mètres, par binômes élève-enfant, ils y peignent une fresque haute en couleur. Au milieu, une fille peinte en vert est occupée à effeuiller un à un les pétales d’une fleur. Son regard est résolument tourné vers l’hippopotame bleu qui la fixe, et vers l’avenir.

    « Il s’agit d’un projet GATE®, que nous avons appelé Fresqu’it, explique Carla, élève de l’école et cheffe du projet. La fresque a une portée écologique et symbolise l’empreinte de l’homme sur la faune naturelle ».

    Fresqu’it est l’un des 25 projets GATE® de 2019 pilotés par Corinne Truche, avec comme objectif de développer des compétences transversales d’autonomie, d’épanouissement au sein d’une équipe et la promesse de vivre une aventure humaine.

    Fresquit

    Une rencontre de plusieurs mondes

    « Nous avons d’abord fait un brainstorming au sein de l’école, commun entre les élèves et les enfants de la maison de quartier, raconte Carla. L’objectif était de trouver ce qu’on allait exposer. Puis nous avons envoyé nos idées à Vince pour qu’il dessine un croquis de la fresque ».

    Vince, de son vrai nom Vincent, est le grapheur contacté par Carla pour participer au projet. Repéré grâce à ses précédents travaux – parfois produits avec des jeunes présents pour le projet – il a été emballé par l’idée de Carla.

    Le grapheur, barbouillé de peinture, se dévoile : « il y a plusieurs portes d’entrée environnementales, et l’art en est une. Par exemple, je ne peins plus qu’à la peinture acrylique, beaucoup moins toxique que la peinture aérosol. »

    Associer urbanisme, art et écologie, pour lui, c’est une manière d’exprimer que « la nature devrait s’intégrer davantage dans la ville ». Mais surtout, ajoute-t-il, « au-delà de l’aspect fresque, ce projet est une rencontre entre des enfants de quartier et des élèves de l’école. »

    Rédacteur : Mathieu Gallais

  • Intelligence artificielle : la plateforme TeraLab labellisée « Digital innovation hub »

    Intelligence artificielle : la plateforme TeraLab labellisée « Digital innovation hub »

    Intelligence artificielle : la plateforme TeraLab labellisée « Digital innovation hub »

    TeraLab devient l’un des 30 Digital Innovation Hubs (DIH) sélectionnés par l’Union européenne. Cette nouvelle reconnaissance vient consolider la place de la plateforme TeraLab de l’IMT dans le paysage de l’Intelligence artificielle et de ses impacts dans la transformation des entreprises.

    Le 28 février dernier, la Commission européenne, via le projet AI DIH Network, a reconnu TeraLab comme faisant partie des 30 DIH spécialisés en Intelligence artificielle en Europe (avec DigiHall –dont Télécom SudParis et Télécom ParisTech font parties -et DigiWesten France).

    Qu’est-ce qu’un DIH ?

    Les DIH sont des points d’entrée uniques qui aident les entreprises à devenir plus compétitives dans leurs processus métier / production, leurs produits ou leurs services utilisant des technologies numériques. Ils offrent un accès direct aux connaissances, à l’expertise et aux technologies les plus récentes pour aider leurs clients à piloter, tester et expérimenter des innovations numériques.

    TeraLab, plus de 60 projets en recherche, innovation et enseignement

    TeraLabest une plateforme « tiers de confiance » développée au sein de l’Institut Mines-Télécom, proposant des outils à l’état de l’art pour la collaboration entre entreprises, start-up, PME et chercheurs destinée à l’accélération de projets IA et Big Data.

    Depuis janvier 2014, TeraLab est impliqué dans plus de 60 projets en recherche, innovation et enseignement. Sa reconnaissance européenne est forte avec le label iSpace du BDVA mais aussi avec des projets européens comme BOOST 4.0 (Usines connectées), MIDIH (Manufacturing Industry Digital Innovation Hubs) ou encore AI4EU (plateforme européenne d’AI on Demand).

    En savoir + sur TeraLab

    Contact : Anne-Sophie Taillandier

     

  • Wael LABIDI soutient sa thèse de doctorat

    Wael LABIDI soutient sa thèse de doctorat

    Wael LABIDI soutient sa thèse de doctorat

    L’Ecole doctorale « Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication » (STIC) et le Laboratoire de recherche SAMOVAR (« Services répartis, Architectures, MOdélisation, Validation, Administration des Réseaux ») présentent l’avis de soutenance de Monsieur Wael LABIDI, autorisé à présenter ses travaux en vue de l’obtention du Doctorat de l’Université Paris-Saclay, préparé à Télécom SudParis en « Réseaux, information et communications » :

    « Ingénierie radio orientée smart grids dans les réseaux mobiles 5G »

    le JEUDI 21 MARS 2019 à 14h00 à EIT digitale, LINCS 23 avenue d’Italie, 75013 Paris.

    Membres du jury :

    • M. Tijani CHAHED, PR2, Télécom SudParis, FRANCE – Directeur de thèse
    • M. Bruno TUFFIN, Directeur de Recherche, INRIA Rennes Bretagne-Atlantique, FRANCE – Rapporteur
    • M. Jukka K. NURMINEN, Directeur de Recherche, Aalto University Department of Computer Science, FINLANDE – Rapporteur
    • M. Salah Eddine EL AYOUBI, Professeur, CentraleSupelec, FRANCE – CoDirecteur de thèse
    • Mme Sana BEN JEMAA, Ingénieur de Recherche, Orange labs, FRANCE – Examinateur
    • M. Samson LASAULCE, Directeur de Recherche, CentraleSupélec, FRANCE – Examinateur

    Résumé :

    La demande en énergie dans les réseaux de téléphonie mobile augmente en raison de l’émergence de nouvelles technologies et de nouveaux services aux exigences de plus en plus élevées (débits de données, délais, etc.).

    Dans ce contexte, l’opérateur de réseau mobile (ORM) doit fournir d’avantage de ressources radio et de capacité de traitement dans son réseau, entraînant ainsi des coûts financiers plus élevés. L’ORM n’a pas d’autre choix que de mettre en œuvre des stratégies d’économie d’énergie sur plusieurs niveaux de son infrastructure, notamment au niveau du réseau d’accès radio (RAN).

    En parallèle, le réseau électrique devient plus intelligent, avec de nouvelles fonctionnalités pour équilibrer l’offre et la demande en faisant varier les prix de l’électricité, permettant ainsi à certains agrégateurs d’énergie de faire partie du processus d’approvisionnement et en signant des accords de réponse à la demande avec ses clients les plus important. Dans le contexte d’un réseau électrique intelligent et fiable, l’ORM, qui compte des milliers de evolved NodeB (eNB) répartis sur tout le pays, doit jouer un rôle majeur dans le réseau en agissant en tant que consommateur potentiel capable de vendre de l’électricité. Toutefois, dans les pays d’Afrique subsaharienne, le réseau peut ne pas être fiable, voire même inexistant, l’ORM n’a d’autre choix que de déployer une centrale électrique virtuelle (VPP) qui l’alimente partiellement ou totalement.

    Dans cette thèse, nous étudions les interactions entre l’opérateur de réseau et le réseau électrique, qu’il soit fiable ou non, dans les pays développés comme dans les pays en cours de développement. Nous étudions la gestion optimale de l’énergie à long et à court terme, dans le but de minimiser le coût total de possession (TCO) en énergie de l’opérateur par station de base, qui correspond à la somme de ses dépenses d’investissement (CAPEX) et de ses dépenses opérationnelles (OPEX), en assurant la satisfaction des besoins croissants en trafic de ses utilisateurs dans la cellule.

    L’étude à long terme nous permet de prendre des décisions d’investissement semestrielles pour le dimensionnement de la batterie et des sources énergies renouvelables, en tenant compte de la dégradation des performances des équipements, des prévisions de la croissance du trafic des utilisateurs et de l’évolution du marché de l’électricité sur une longue période de temps comptée en années.

    Dans le cas où elle est alimentée par un réseau intelligent fiable, la politique à court terme aide l’opérateur à définir quotidiennement une stratégie de gestion optimale de la batterie assurant l’arbitrage ou à le trading d’électricité tout en exploitant les fluctuations horaires des prix de l’électricité afin de minimiser la facture énergétique journalière de l’ORM tout en respectant certaines règles d’utilisation de ces équipements.

    Dans le cas d’un réseau électrique non fiable ou complètement inexistant, l’opérateur est alimenté par des sources hybrides couplant stockage (batteries), générateurs diesel, énergie solaire et le réseau électrique si ce dernier est opérationnel. Ici, nous définissons un ordre de priorité fixe sur l’utilisation de ces sources qui vise à étendre la durée de vie de la batterie et maintenir ses performances.

  • Élève ingénieur : quel manager serez-vous ?

    Élève ingénieur : quel manager serez-vous ?

    Élève ingénieur : quel manager serez-vous ?

    Chaque année, les élèves ingénieurs de Télécom SudParis sont invités à s’interroger sur le rôle de manager, lors de la semaine IMaGIn’ (Illustration du MAnagement, Gestion d’équipe pour les Ingénieurs). Du 28 janvier au 1er février 2019, l’entreprise Davidson Consulting, élue 4 fois consécutives Great place to work, est venue challenger les élèves ingénieurs de deuxième année sur leur vision du management.

    Le management de demain : quels changements ?

    Les diplômés de l’École sont les acteurs de cette transformation de la société par le numérique, tant par leur maitrise des domaines scientifiques et techniques, que par leur compréhension et leur accompagnement des mutations profondes : changement dans les usages du numérique, transformation des relations sociales, (r)évolution des organisations des entreprises et des modes de management.

    Dans ce contexte, le management se réinvente lui aussi. Mais de quoi s’agit-il concrètement ? La mondialisation rapproche les peuples et les cultures mais les différences culturelles entre les villes et les villages n’ont jamais été aussi importantes. Le numérique transforme en continu nos vies, change nos usages et transforme nos outils de travail.

    Suivre ces évolutions est un défi permanent d’autant que la durée de vie au travail s’allonge. Les grands groupes fusionnent et donnent naissance à des structures gigantesques où l’organisation hiérarchique est discutée. Dans le même temps, une multitude de petites entreprises, innovantes, agiles proposent des modèles de management, en totale rupture avec les modèles traditionnels, qui cherchent encore une légitimité. Dans ce contexte, il revient aux jeunes diplômés, qui intègrent le monde du travail, d’insuffler de nouveaux modes de management.

    Pédagogie innovante pour penser le rôle de l’ingénieur-manager

    L’École adopte résolument une pédagogie innovante : après quelques conférences réalisées par des acteurs reconnus de la transformation du management dans nos entreprises, les étudiants se constituent en groupes-projets de 8-9 personnes et choisissent une problématique parmi une liste de thèmes.

    Comment intégrer les nouvelles technologies dans un environnement humain ? Comment concilier le bien-être des nouvelles générations et l’épanouissement professionnel ? Comment mieux valoriser et développer la performance et le feed-back ? Comment donner du sens aux outils et process dans l’entreprise de demain ? Comment l’équipe de demain devrait-elle fonctionner ? Quelle serai(en)t la hiérarchie / les fonctions de chacun dans l’entreprise idéale de demain ?

    Ils sont accompagnés pour imaginer de nouvelles réponses lors d’un hackaton du management. Des coachs en design thinking, gamification, pitch apportent aux équipes des outils et méthodes pour favoriser le travail collaboratif, la valorisation de contributions « originales » et la pensée « out of the box ».

    A l’issue de la semaine, chaque équipe présente trois réalisations portant les réponses à la problématique choisie : un visuel, un objet réalisé avec des matériaux de récupération mobilisant 3 des 5 sens (ouïe, vue, odorat, toucher, goût) et un jeu d’entreprise.

    Confronter des points de vue différents pour réfléchir et avancer

    IMaGin’ c’est d’abord une série de conférences passionnantes, animées par des acteurs inventant le management de demain :

    • Clair MICHALON, consultant en gestion de la diversité culturelle, propose un voyage dans le management interculturel ;
    • Bertrand BAILLY, Fondateur de Davidson Consulting, CEO et CIO, décrypte l’entreprise horizontale et le management tribal ;
    • Isabelle REY-MILLET, CEO Ethikonsulting, Hacker du Management, apporte des clés pour la motivation et l’implication ;
    • Martin MEISSONIER, journaliste, auteur, producteur et compositeur français, présente son documentaire « le bonheur au travail » et participe à un débat.

    Temps fort de cette semaine, le Hackathon du management invitent les étudiants à s’approprier des outils de Design Thinking, de créativité et de gamification, grâce à l’accompagnement de coachs :

    • Charles STREICHER, consultant en transformations des organisations et facilitateur en Design Thinking et en LEGO® SERIOUS PLAY®, les initie au design thinking ;
    • Jules ZIMMERMAN, conférencier en créativité et enseignant, aborde les ressorts cognitifs de la créativité et
    • Nathan SCHEIRE, spécialiste gamification et Design Thinking chez Le Groupe La Poste établit les principes de la gamification.

    Télécom SudParis remercie vivement son partenaire, Davidson consulting, pour sa présence tout au long de la semaine, lors des conférences, pour son aide pour guider la génération de demain dans la réalisation de son projet.

  • Chiffres clés

    Chiffres clés

    Chiffres clés

    École

    1979date de création de l’Institut National des Télécommunications (INT) et de sa section ingénieur
    2adresses :
    > 9 rue Charles Fourier – 91011 Evry Cedex – France (site principal)
    > 19 place Marguerite Perey – 91120 Palaiseau – France
    1068étudiantes/étudiants
    97enseignants-chercheurs
    EPEInstitut polytechnique de Paris (IP Paris)
    GroupeInstitut Mines-Télécom (IMT)
    8Réseaux : Institut Carnot Télécom & Société Numérique, Pôle de compétitivité Systematic, Pôle de compétitivité CapDigital, Pôle de compétitivité ASTech, Pôle de compétitivité Cosmetic Valley, IRT System-X, Association Opticsvalley, Labex DIGICOSME
    Ministère de tutelle Économie, Finances et Relance

    Etudiantes / Etudiants

    1068étudiantes/étudiants inscrits en 2023-2024
    756étudiantes/étudiants en formation ingénieurs
    220diplômées/diplômés ingénieurs en moyenne par an
    128doctorants encadrés par nos enseignants-chercheurs

    Diversité et parité

    23%d’étudiantes
    29%de boursiers sur critères sociaux
    7 K€d’aides sociales accordées par l’école à ses étudiants
    4% d’étudiants issus des filières d’admission parallèle
    11.5%d’étudiants en alternance

    Emploi

    Source : Enquête 1er emploi CGE 2023 auprès des diplômés de la promotion 2022

    80%des diplômées/diplômés ingénieurs généralistes sont embauchés avant d’être disponible
    89.5%sont embauchés directement pour leur premier emploi en CDI
    94%taux net d’emploi des diplômés
    43 760€Salaire moyen d’embauche 1er emploi (salaire brut annuel, France et International)
    13%signent un premier contrat de travail à
    l’étranger pour un salaire brut annuel moyen de 50 803€
    10 400diplômées/diplômés

    Campus

    2Sites : Evry-Courcouronnes et Palaiseau
    900hébergements
    1restaurant et 1 cafétéria
    Deslocaux pour les associations
    1salle de spectacle
    1centre de conférence
    1jardin potager
    1learning center
    1médiathèque (+ celle partagée avec Télécom Paris à Palaiseau)
    1salle de créativité
    1espace de co-working de 1400 m2

    Sport

    1gymnase de 1000 m2 pour les sports indoor (tennis, handball, volley, basket)
    3terrains de tennis
    1terrain de basket
    1terrain de beach volley
    1centre de musculation et de cardio-training
    1parc de Street Workout
    2terrains de pétanque
    A proximité : Golf, Centre nautique, terrain de Foot, terrain de Rugby, Escalade, Cricket, Capoeira, etc.

    Incubateur

    24ans d’existence
    2sites : Evry-Courcouronnes et Gentilly
    1000 m2de locaux
    15start-up incubées en moyenne par an
    250sociétés incubées depuis la création en 2000
    3000emplois créés
    18mois d’accompagnement réalisé par des spécialistes en IT, tous entrepreneurs (unique en IDF)

    Innovation

    1Label Carnot
    1incubateur de start-up
    1fabLab
    8plateformes d’expérimentation
    1créative lab
    1living lab
    3 000 m²d’espace dédiés à l’innovation

    International

    1Label trois étoiles Bienvenue en France attribué par Campus France
    32 %d’étudiants de nationalité étrangère sur le campus
    69nationalités différentes sur le campus
    +100accords de coopération signés avec des partenaires internationaux dans 41 pays sur les 5 continents
    21doubles diplômes internationaux
    10langues étrangères enseignées : anglais, allemand, espagnol, russe, italien, japonais, arabe, chinois, coréen et français langue étrangère.

     

  • Paroles de Chercheurs

    Paroles de Chercheurs

    Les éditions de Paroles de Chercheurs

    Grâce à une recherche de qualité établie par l’expertise de ses enseignants-chercheurs, Télécom SudParis se met au service de l’innovation. Son principal défi est de répondre aux enjeux majeurs de notre société numérique. Avec Paroles de Chercheurs, découvrez les différents projets scientifiques ambitieux que mène Télécom SudParis.

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    Contact Carnot TSN

    olivier 1 e1587135655594Olivier Martinot

    Directeur de l’innovation
    et des relations entreprises

    Télécom SudParis 

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