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  • Ma thèse en 180 secondes – Finale du Concours IP Paris

    Ma thèse en 180 secondes – Finale du Concours IP Paris

    Ma thèse en 180 secondes – Finale du Concours IP Paris

    Le mercredi 13 mars 2024 de 18h30 à 20h30, dix doctorants issus de domaines scientifiques variés exposeront leurs sujets de recherche à l’École Polytechnique de Palaiseau.

    Ma thèse en 180 secondes est un concours de vulgarisation scientifique organisé en France depuis 2014 par France Universités et le CNRS. À l’occasion, nos doctorants et doctorantes auront 180 secondes pour vous convaincre. Vous aurez ensuite quelques minutes pour voter pour votre thèse favorite.

    Les deux lauréats IP Paris accèderont à la demi-finale nationale grâce au 1ᵉʳ Prix du Jury et au 1ᵉʳ Prix du public.

    Programme et infos pratiques :

    Date : mercredi 13 mars 2024
    Lieu : École Polytechnique, route de Saclay, 91120 PALAISEAU (amphithéâtre Poincaré)
    Format : Présentiel
    Horaires : 18 h 30 – 20 h 30 (ouverture des portes au public à partir de 18h)

  • IA, Cyber, SI, les nouvelles formations d’ingénieur proposées en alternance à Télécom SudParis

    IA, Cyber, SI, les nouvelles formations d’ingénieur proposées en alternance à Télécom SudParis

    IA, Cyber, SI, les nouvelles formations d’ingénieur proposées en alternance à Télécom SudParis

    Les formations d’ingénieur proposées en alternance à Télécom SudParis évoluent. En plus de la formation Ingénieur Informatique et Réseaux en apprentissage, elles s’élargissent désormais à d’autres domaines du numérique : Cybersécurité, Systèmes d’information et Intelligence artificielle. Cette évolution répond à la fois à la demande croissante de jeunes talents du numérique et au souhait croissant des candidats aux écoles d’ingénieurs de se former en alternance. Cécile Narce, directrice adjointe des formations, et Cécile Delafont, responsable administrative de la formation par apprentissage, nous parlent de ce changement.

    Pourquoi l’école a-t-elle élargi sa formation d’ingénieur en apprentissage à d’autres domaines du numérique ?

    Cécile Narce : Trois principales raisons expliquent cette décision.

    Tout d’abord, la demande croissante d’un public souhaitant se former dans des domaines du numérique autres que les réseaux par la voie de l’apprentissage. De nombreux élèves ingénieurs en formation initiale généraliste expriment également le désir de renforcer leur formation par une expérience professionnelle en alternance, notamment en systèmes d’information ou en intelligence artificielle. L’école a donc décidé d’articuler ses formations d’ingénieurs, en troisième année, élargissant ainsi son offre de formation.

    Par ailleurs, cette initiative répond à l’objectif de massification de l’appel à manifestation d’intérêt (AMI)  » Compétences et Métiers d’Avenir  » (CMA) du gouvernement français, visant à répondre aux grands enjeux stratégiques nationaux et internationaux, et aux besoins des entreprises françaises, notamment dans les secteurs émergents du numérique. L’école, avec ses partenaires, a remporté des AMI CMA en Intelligence Artificielle, Cyber, 5G et Cloud, qui visent la formation d’un plus grand nombre de professionnels dans ces secteurs stratégiques. Dans la mesure où le vivier de candidats issus de la formation initiale, généralement recrutés à l’issue les classes préparatoires aux grandes écoles, tend à se limiter, nous privilégions le recrutement de nouveaux étudiants, issus d’horizons plus larges et plus divers, par la voie de l’apprentissage.

    Enfin, la demande du monde professionnel et des partenaires de l’école, qui accueillent déjà des apprentis, a conduit à élargir la formation en « Réseaux » à « Informatique et Réseaux ». Cette extension permet de maintenir notre spécialisation de base en réseaux, tout en répondant à une demande croissante dans des domaines tels que les systèmes d’information, la cybersécurité et l’informatique pour les réseaux. L’accent mis sur la cybersécurité, particulièrement attendue par l’école, est renforcé par la nécessité de former davantage d’ingénieurs dans ce domaine, justifiant ainsi le recours à l’apprentissage pour élargir le vivier de candidats.

    Quels sont les avantages pour les étudiants qui optent pour cette nouvelle formation ?

    Formations ingénieur alternance - Cécile Narce et Cécile Delafont
    Cécile Narce et Cécile Delafont

    Cécile Delafont : Tout d’abord, il y a l’avantage de la formule de l’alternance courte, qui se caractérise par une progression continue en cours, permettant aux étudiants de monter en compétences progressivement. De plus, les étudiants bénéficient de la possibilité de travailler sur des projets d’envergure en entreprise, une opportunité moins fréquente dans d’autres formations où le rythme peut-être, par exemple, de trois semaines de cours pour une semaine en entreprise. Dans notre cas, le rythme est de 2 jours de cours pour 3 jours en entreprise.

    Cécile Narce : Par ailleurs, la situation avantageuse de l’école, au sud de la région parisienne, est un atout majeur par son bassin d’emploi riche et dynamique. Notre proximité avec de grandes entreprises qui accueillent un grand nombre d’apprentis est à souligner. En témoigne notre collaboration avec Bouygues qui a recruté 12 apprentis issus de notre formation. Nous disposons d’un vaste vivier d’entreprises de renom qui accueillent des apprentis. À cela s’ajoute tous les partenaires entreprises qui ont participé au montage des différents AMI CMA.

    Le Centre de Formation d’Apprentis (CFA) d’Évry – Val d’Essonne a été impressionné par la rapidité avec laquelle nous avons rempli et signé les 32 contrats d’apprentissage cette année, ce qui témoigne de la forte demande et de l’attrait important de notre programme pour les étudiants et les entreprises partenaires.

    Comment se déroule le processus de sélection et quels sont les critères d’admission ?

    Cécile Delafont : Le processus d’admission commence par l’évaluation du dossier de candidature par des examinateurs, qui se concentrent sur les résultats académiques, en particulier en mathématiques, en informatique et en traitement du signal. Les candidats passent ensuite un entretien de motivation, ainsi qu’un certain nombre de tests, tels que des tests d’anglais et éventuellement des tests probatoires en mathématiques et/ou en réseaux.

    Cécile Narce : Quant aux voies d’accès, elles sont désormais importantes. L’école a élargi ses critères d’admission aux étudiants de BUT, de Licence et même de classes préparatoires. Cela répond à une demande croissante des élèves de classes préparatoires qui souhaitent se former par la voie de l’apprentissage. Certains estiment que l’entrée directe en entreprise offre une formation plus complète, et cette tendance existe aussi chez les élèves des classes préparatoires.

    Pouvez-vous expliquer le modèle de formation proposé ?

    Cécile Narce : La structure de formation comprend un tronc commun IT en première année pour tous les étudiants, englobant des fondamentaux tels que les bases des réseaux, des mathématiques et de l’informatique, ainsi que les principes du traitement du signal. À la fin de ce tronc commun, les attentes seront plus élevées, marquant une progression significative.

    À partir de la fin de la deuxième année, un certain nombre de cours sont proposés qui permettent à l’élève de choisir d’approfondir un domaine : Système d’information (SI), Intelligence artificielle (IA), Réseaux ou Cybersécurité. Certains de ces cours sont mutualisés avec les voies d’approfondissement (VAP) du programme Ingénieur généraliste sous statut étudiant (FISE).

    En résumé, le modèle de formation sera équivalent à celui de la FISE, avec un tronc commun offrant un socle scientifique de haut niveau, permettant ensuite aux étudiants de se spécialiser à partir de la fin de la deuxième année, en choisissant un approfondissement en fonction de leurs préférences.*

    Cécile Delafont : La mobilité internationale est actuellement de 9 semaines, et passera à 12 semaines à partir de la rentrée prochaine.

    Quels sont les avantages spécifiques de Télécom SudParis ?

    Cécile Narce : Je dirais que l’un des principaux avantages réside dans l’importance que nous accordons à l’accompagnement individualisé. Chaque étudiant bénéficie d’un suivi personnalisé avec un tuteur dédié. Cet accompagnement commence dès l’admission et se poursuit jusqu’à l’obtention du diplôme. Dès son admission, chaque étudiant est accompagné par un conseiller pour l’aider à trouver son contrat d’alternance, puis d’un tuteur académique tout au long de son cursus, et enfin de son maître d’apprentissage en entreprise qui prend en charge la dimension professionnelle de son cursus.

    Cécile Delafont : En effet, nous avons constitué une task force ad hoc pour aider nos étudiants à trouver leur contrat d’alternance. C’est une initiative que j’ai lancée il y a deux ans avec nos anciens élèves et les enseignants impliqués dans le programme de formation. L’objectif principal de ce groupe est d’évaluer la motivation des candidats dès leur première approche. Si le candidat démontre une réelle motivation à rejoindre Télécom SudParis, nous mettons en place un programme d’accompagnement hebdomadaire pour maximiser ses chances de réussite. Le suivi se concentre sur la recherche d’apprentissage, en offrant des conseils et un coaching. Cela comprend la révision du CV et une liste de contacts pour élargir et optimiser l’insertion professionnelle. En bref, les contributeurs jouent un rôle crucial dans le suivi et l’accompagnement des candidats.

    Quelle est la première étape pour postuler ?

    Cécile Delafont : La première étape de la candidature consiste à se rendre sur le site « IMT Apprentissage« , commun à toutes les écoles de l’IMT. Cette étape peut être effectuée dès le 1ᵉʳ février pour les étudiants en BUT, CPGE, licences et licences professionnelles.

    Pour les excellents étudiants en deuxième année de BUT, nous avons des conventions renouvelées chaque année avec des IUT partenaires, qui leur permettent de nous proposer les dossiers de leurs meilleurs étudiants. Ces derniers sont automatiquement invités à participer à nos épreuves d’admission. D’autres accords sont en cours pour proposer un double cursus entre la troisième année de BUT et la première année à Télécom SudParis.

    Quels conseils donneriez-vous aux candidats potentiels pour rejoindre la formation ?

    Cécile Delafont : Je recommanderais de se concentrer particulièrement sur les mathématiques, car le niveau requis est de plus en plus élevé. De même, une attention particulière doit être portée à l’informatique.

    Cécile Narce : Il est essentiel de définir son projet professionnel avant de s’inscrire. Il faut bien vérifier que l’offre de l’école correspond au projet professionnel du candidat. Il n’est pas conseillé de choisir une école uniquement pour la réputation de son diplôme. Ces trois années seront une période intensive, marquant le début de leur carrière. Si les candidats ne sont pas encore sûrs que ce soit le métier qu’ils veulent exercer, il peut être préférable d’envisager d’autres options moins engageantes professionnellement.

    Nous veillons à ce que nos étudiants soient orientés vers un avenir qui leur convienne et dans lequel ils se sentent épanouis. Il est essentiel qu’ils soient convaincus que c’est la voie qu’ils veulent suivre, pour s’y investir pleinement.

     

     

  • Open IMT 2024

    Open IMT 2024

    Open IMT 2024

    La 21e édition du tournoi de tennis Open IMT se déroule sur notre campus d’Evry-Courcouronnes du 22 avril au 16 mai 2024. Cette compétition est organisée par les élèves 1A de Télécom SudParis dans le cadre du Programme pédagogique GATE®.

    Au fil du temps, l’Open IMT a su s’imposer comme le plus grand tournoi organisé par des étudiants et le mieux doté d’Ile-de-France (11 000€ en 2024). Homologué par la Fédération Française de Tennis, il accueille chaque année environ 200 participants, parmi lesquels des joueurs classés entre la 300e et la 500e place du classement mondial des joueurs professionnels (ATP).

     

  • Semaine IMaGIn’

    Semaine IMaGIn’

    Semaine IMaGIn’

    Du 22 au 26 avril 2024 se déroule la semaine IMaGIn’ à Télécom SudParis, organisée en partenariat avec Davidson, spécialiste dans l’expertise et le management de projets technologiques.

    Télécom SudParis propose à ses étudiants d’apprendre à se connaître pendant cinq jours pour être à l’aise avec leurs appuis, davantage comprendre les autres afin de mieux travailler ensemble.

    Pour cela, l’école organise divers ateliers, expériences de groupes, conférences, séances de team-building, questionnaires personnels.

    Le thème principal de cette édition 2024 est : “Libérer les imaginaires pour un usage collectif du numérique au service de l’intérêt général”

    Les conférences

    Lundi 22 avril de 9h15 à 10h45
    Laurent Marseault : Formateur, pompier et consultant spécialiste de la gestion des groupes et de l’animation de collectifs coopératifs, conférencier inoubliable surnommé le secoueur de cocotiers !

    Lundi 22 avril de 16h à 17h15
    Maxime Blondeau : Cosmographe, auteur et conférencier, cofondateur du Printemps écologique, de Sailcoop et d’Alma Mater, Classé #1 des créateurs Linkedin France en 2023. Exposition « Géoconscience » sur la thématique « Territoire. Technologie. Imaginaire. »

    Mardi 23 avril de 9h45 à 10h45 – Intervention « Entreprises engagées »
    Bertrand Bailly : CEO et cofondateur de Davidson consulting, la plus grande entreprise française certifiée B-corp, aussi ancien étudiant de Télécom SudParis.

     

  • Demo Day 2024

    Demo Day 2024

    Demo Day 2024

    Le 8 février 2024 de 14h à 18h à Station F, une dizaine de start-up issues de l’incubateur de Télécom SudParis, IMT Starter, participeront au premier Demo Day de l’Institut Polytechnique de Paris. IP Paris présentera environ quarante pépites issues de ses trois incubateurs, avec celles issues de Drahi-X Novation Center et Incubateur Télécom Paris. Cet événement d’envergure réunira un public composé d’investisseurs, de partenaires et d’acteurs majeurs de l’écosystème French Tech.

     

    L’événement ne se limitera pas aux présentations de pitchs et aux rencontres BtoB avec les investisseurs. Une série de conférences mettront en lumière les enjeux stratégiques liés à l’entrepreneuriat et à l’innovation au sein d’IP Paris. Les thèmes abordés incluront la DeepTech, l’intelligence artificielle, l’industrie 4.0 et le quantique, soulignant ainsi l’engagement de l’Institut dans des domaines à la pointe de la recherche et de l’innovation.

     

    Nos start-up présentes :

     

    33TRUCS est à la croisée des HRtech et des médias. C’est une application de collaborative learning permettant de construire et d’engager des communautés professionnelles. Cette nouvelle expérience de l’apprentissage a été conçue à partir des codes digitaux de notre époque pour faciliter la création et le partage de savoirs.
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    Brandeploy est une plateforme SaaS de contenus qui permet aux marketeurs de déployer mondialement des contenus localisés sans connaissance technique.
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    Dusa Labs est une application décentralisée proposant une expérience 100% on-chain aux utilisateurs grâce à une infrastructure unique. Elle vient optimiser les principaux mécanismes de la finance décentralisée (DeFi) avec l’utilisation des Smart Contracts autonomes et d’un front-end hébergé directement sur la blockchain.
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    EX9 est une startup dont la mission est de faciliter le déploiement de véhicules autonomes sur sites logistiques et industriels (entrepôts, terminaux multimodaux, sites de fabrication, zones de stockage et de redistribution).
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    ICONO est un moteur de recherche vidéo par Intelligence Artificielle pour les créatifs. Grâce à ses modèles d’IA propriétaires, la solution est capable d’ingérer des millions de vidéos chaque jour et de permettre la recherche en langage naturel.
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    Lium est une start-up dont la mission est d’aider les sites sensibles à améliorer la sécurité et la sûreté des infrastructures et du personnel. La solution propose un système de ballon captif autonome et fiable qui leur offre une vision globale du site afin de détecter le plus tôt possible tout incident.
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    Nabook est une application sous forme de bibliothèque numérique destinée aux 7-14 ans. Elle propose de lire des séries jeunesse autrement  grâce à une solution ludique et interactive.
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    Mobicrawl a développé une plateforme Saas B2B Deeptech pour permettre aux entreprises de sécuriser leurs flottes mobiles en poussant les dernières mises à jour et patchs de sécurité à distance.
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    VALUECO collecte les scores ESG propriétaires finaux de différents gestionnaires d’actifs, banques privées et investisseurs institutionnels. ValueCo anonymise, normalise les scores et reconstitue la distribution ESG pour un émetteur.
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  • Certification professionnelle Sécurité des systèmes d’information et des réseaux

    Certification professionnelle Sécurité des systèmes d’information et des réseaux

    Certification professionnelle Sécurité des systèmes d’information et des réseaux

    Se spécialiser en cybersécurité en suivant une formation reconnue sur le marché

    • Créée en 2004 pour répondre aux besoins de formation interne des personnels de notre partenaire historique Orange, la certification a ensuite été choisie par de grandes entreprises d’autres secteurs, comme Renault et BNP Paribas.

    • La formation est labellisée par l’ANSSI, l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information

    • La certification est référencée au répertoire de France Compétences

     

    La certification est référencée par France Compétences sous le numéro RNCP36855 BLOC 02 , anciennement RS5053 (éligible au CPF)
    La certification est référencée France Compétences sous le n° RS5053 (éligible au CPF)
    label SecNUmEdu-FC
    Label SecNUmEdu-FC (en cours de renouvellement)

    PRÉSENTATION GÉNÉRALE

    Le marché de  l’emploi cyber est en plein essor : les entreprises, les administrations, les collectivités et les ESN cherchent des professionnels qualifiés pour faire face à leurs besoins croissants.

    La sécurité dans les systèmes d’information et les réseaux constitue aujourd’hui un enjeu stratégique pour tous les responsables de réseaux, de SI, de services web, de paiements sécurisés… qui doivent ouvrir leurs SI à leurs fournisseurs et partenaires mais aussi aux utilisateurs de leurs produits et services.

    Notre formation à la gouvernance de la sécurité des systèmes d’information et des réseaux permet par une approche globale d’acquérir les compétences nécessaires pour définir, déployer et gérer une architecture de sécurité dans les différents contextes professionnels auxquels les participants seront confrontés.

    Elle est organisée à temps partiel,  pour être compatible avec la continuité d’une activité professionnelle. Elle est proposée en blended : un mix de sessions à distance et de regroupements en présentiel.

     

    POCHAINE SESSION

    • Dates : début 2025 (2-3 jours toutes les deux semaines), soutenance du automne 2025

    • Lieux : 3 séances en présentiel à Paris ou sur notre campus, 7 à distance, soutenance en présentiel

    • Prix : 9000€ nets de taxe (certification incluse)

    • Formation éligible à un financement avec CPF (via MonCompteFormation).
    Consultez en cliquant ici

    OBJECTIFS ET COMPÉTENCE VISÉES

    Cette formation permet d’acquérir les compétences nécessaires à l’élaboration et la mise en place d’un projet de cybersécurité destiné à la protection des ressources vitales, contre les attaques internes et externes.

     

    À l’issue de la formation, les participants seront en mesure de :

    • Participer à l’ensemble du processus d’une étude de sécurité, du recensement des besoins et des risques à la mise en œuvre des mesures de sécurité  ;
    • Mettre en place des mécanismes de sécurité ;
    • Élaborer et mettre en œuvre un plan de sécurité destiné à la protection des ressources vitales de l’entreprise ;
    • Concevoir une architecture de sécurité.

     

    PARTICIPANTS CONCERNÉS ET PRÉREQUIS

    La formation s’adresse à tous les professionnels concernés par la cybersécurité :

    • les techniciens ou ingénieurs réseaux souhaitant s’initier à la cybersécurité
    • les chefs de projets ou responsables de solutions confrontés à des contraintes de sécurité
    • les consultants et architectes de systèmes
    • les responsables informatiques, responsables des SI, administrateurs systèmes et réseaux, intégrateurs, leurs équipes
    • les managers impliqués dans les accès sécurisés à l’entreprise

    Des bases techniques sur les réseaux (TCP/IP) et les systèmes informatiques sont recommandées pour cette formation.

     

    ORGANISATION PÉDAGOGIQUE

    Le parcours comprend une formation suivie d’une période de 2 mois dédiée à l’élaboration d’une réponse à appel d’offres.

    La formation totalise 20 jours, à temps partiel sur 4 à 6 mois. Elle comporte des cours, des études de cas, des études de cas, des travaux pratiques et des mises en situation professionnelle.

    les TP et le projet font l’objet d’un accompagnement/tutorat.

    Au cours des 2 mois suivant la formation, les participants regroupés en équipe élaborent une réponse à un besoin client présenté sous la forme d’un appel d’offres. Elle donne lieu à la rédaction d’un document présentant la solution proposée, puis à une soutenance orale devant jury.

     

    ÉVALUATION ET CERTIFICATION

    Un jury de certification évalue si les candidats ont acquis les compétences constituant la certification référencée au RNCP de France compétences 36855, bloc n°2 Conduire un projet de cybersécurité. Pour ce faire, ce jury étudie l’ensemble des résultats obtenus par chaque candidat à chaque épreuve d’évaluation :

    • Les Travaux pratiques notés et les études de cas
    • Le Projet professionnel d’architecture sécurisée (rapport et soutenance)

     

    Responsable pédagogique

     

    Badis Hammi
    Enseignant-chercheur au pôle cybersécurité de Télécom SudParis
    Membre de l’Institut Polytechnique de Paris et l’Institut Mines-Télécom.

    Il est titulaire d’un doctorat en réseaux informatiques de l’Université de Technologie de Troyes.

    Après sa thèse « Vers la détection à la source des activités malveillantes dans les clouds publics : application aux attaques de déni de service », il a effectué un post-doctorat portant sur la sécurité des véhicules connectés à Télécom ParisTech.

    Il a ensuite occupé un poste d’enseignant-chercheur en cybersécurité à l’EFREI puis à l’ÉPITA où il a également été responsable du Bachelor en Cybersécurité du Campus Cyber de la Défense.

     

    Comment intégrer la formation

     

    CANDIDATURE ET RENSEIGNEMENTS

     

    PROCÉDURE D’ADMISSION :

    • Étude du dossier de candidature
    • Test technique
    • Entretien

     

    CONDITIONS D’ACCÈS :

    • Être titulaire d’un diplôme bac+2 ou plus
    • Avoir une expérience en informatique
    • Posséder des bases techniques sur les réseaux (TCP/IP) et les SI
    • Maîtriser le français (niveau C1) et l’anglais technique (niveau B2)
  • L’ascension d’Aghilas Hached, l’entrepreneur passionné par l’éducation

    L’ascension d’Aghilas Hached, l’entrepreneur passionné par l’éducation

    L’ascension d’Aghilas Hached, l’entrepreneur passionné par l’éducation

    Diplômé de Télécom SudParis, Aghilas Hached est devenu un entrepreneur passionné par le monde de l’éducation. Issu d’une famille d’origine modeste, il a toujours fait preuve d’une volonté inébranlable de travailler, de progresser et de guider les jeunes tout au long de leur expérience éducative. Son cheminement, marqué par l’éducation comme un puissant levier d’émancipation, l’a conduit à créer sa propre plateforme de mise en relation pour des cours particuliers et des stages de vacances, le Groupe Réussite.

    L’éducation comme levier d’émancipation

    Pour Aghilas, l’éducation a été un puissant levier d’émancipation. Arrivé en France à l’âge de huit ans sans maîtriser la langue française, il a surmonté bien des défis grâce à l’enseignement. Poussé par sa famille à s’investir dans les études, et après avoir effectué une prépa scientifique et passé le concours d’entrée aux écoles d’ingénieur, il intègre finalement Télécom SudParis.
    Pendant ses études à Télécom SudParis, Aghilas acquiert une première expérience de la pédagogie dans une position d’assistant des enseignants de prépa scientifique et de chargé des cours à Paris Dauphine. En devenant « colleur » en maths spé, il découvre, outre sa véritable passion pour l’enseignement, sa formidable capacité à révéler potentiel, motivation et goût pour les maths chez ses élèves.

    En parallèle de ses études, Aghilas a également donné de nombreux cours particuliers de maths à des élèves de collège, lycée et de CPGE (prépa scientifique et prépa HEC). Ce travail de prof de maths à domicile lui a permis, au-delà de financer ses études et d’être autonome financièrement, de rester en contact de la pédagogie et du monde de l’éducation.

    « Pour faire la différence sur le marché du travail, ma sœur m’avait dit qu’il fallait absolument que j’essaie de travailler pendant mes études ou de choisir des stages qui m’enrichissent tout en apportant aux autres. J’ai donc été colleur en prépa scientifique où j’intervenais à la fois en soutien et en examinateur de colles en mathématiques. »

    Le Challenge Projets d’Entreprendre© : un déclic pour l’entrepreneuriat

    Les années passées à Télécom SudParis ont façonné sa vision, mettant en avant le travail d’équipe et l’esprit entrepreneurial lors du Challenge Projets d’Entreprendre©, le programme pédagogique qui invite les élèves de Télécom SudParis et IMT-BS à monter une start-up. Ce fut un déclic comme le rappelle Aghilas :

    « Notre équipe a été finaliste et nous avons pu présenter notre projet au Sénat. Cette expérience m’a ouvert les yeux sur l’entrepreneuriat. Le challenge Projets d’Entreprendre s’est avéré être une véritable rampe de lancement : décomplexé et fort de la démonstration de création d’un projet d’entreprise en une semaine, j’étais prêt à me lancer pour de vrai. »

    Télécom SudParis : terreau de la genèse de Groupe Réussite

    En 2010, en parallèle de son poste de consultant chez Deloitte, où il évolue rapidement depuis son stage de fin d’année d’ingénieur, il décide de monter la structure du Groupe Réussite. « Workaholic* » dans l’âme, il consacre ainsi plus de 90 heures par semaine à ses deux responsabilités. Et c’est en 2016 que le projet prend véritablement naissance dans toutes ses dimensions.

    Son esprit entrepreneurial l’incite à quitter son poste de manager chez Deloitte pour cofonder Groupe Réussite, avec Jonathan Molon, son camarade à Télécom SudParis. Là encore, Aghilas capitalise sur le réseau qu’il s’est créé à Télécom SudParis et qu’il a entretenu depuis sa sortie de l’école. Ce sont ses anciens coreligionnaires qui lui apportent conseils et expertises. La communauté formée à l’école d’ingénieur contribue ainsi au démarrage du Groupe Réussite.

    Logo groupe réussite

    Combler le manque d’enseignement en ligne

    L’entreprise naît du constat que le monde de la prépa manque d’acteurs de l’enseignement en ligne. Groupe Réussite ambitionne de mettre en relation des professeurs qualifiés avec des parents d’élèves pour leur proposer des cours particuliers dans toute la France. La plateforme offre plus de 70 matières, des stages de vacances et des programmes en ligne.

    « Les enseignants se sont outillés. Dorénavant, on voit véritablement le professeur, il a une tablette et écrit simultanément ses intégrales, sigles mathématiques ou formules physiques. Globalement, il y a une meilleure et une véritable interaction. Quand le projet est bien outillé et quand l’élève est motivé ; sincèrement, la qualité est irréprochable ».

    Au-delà de l’enseignement : Groupe Réussite comme accompagnateur de projet de vie

    Aujourd’hui, après huit ans d’engagement, Groupe Réussite se distingue par sa transparence, permettant aux professeurs de fixer leurs tarifs tout en vérifiant rigoureusement leurs qualifications (diplômes, casier judiciaire…). L’algorithme au cœur de la plateforme évalue et classe les enseignants, garantissant une qualité d’enseignement optimale.

    Le Groupe Réussite va au-delà de l’éducation en intégrant également des conseillers d’orientation pour guider les parents dans les choix de cursus de formation. L’entreprise est habilitée par l’Urssaf, favorisant l’accès à des cours particuliers, même pour les familles modestes, va le crédit d’impôts immédiat permettant de payer les cours 50% moins chers. Aghilas souligne ce point : « Je pense que l’école et l’éducation de manière générale peuvent avoir un fort impact sur nos vies, c’est un réel facteur d’émancipation et d’ascenseur social ».

    Pour Aghilas, sa vision est claire : promouvoir et sensibiliser à l’enseignement pour offrir des opportunités de formation de qualité à tous. Ayant lui-même bénéficié de l’impact de ses cursus de formation sur sa vie, il croit en son pouvoir émancipateur et poursuit son engagement passionné pour l’éducation, démontrant que l’enseignement peut être une force motrice positive.

    * Bourreau de travail

     

  • Une Chaire pour mettre le numérique au service de la transition écologique

    Une Chaire pour mettre le numérique au service de la transition écologique

    Une Chaire pour mettre le numérique au service de la transition écologique

    Cet article, publié dans digital Lovers #7 du mois de septembre 2023, est republié ici avec l’aimable autorisation de Sopra Steria.

    L’école d’ingénieurs Télécom SudParis a lancé à la rentrée 2022 la Chaire d’Enseignement INTEGRATE (Ingénierie Numérique et Transition Environnementale pour une Gestion Responsable et une Accélération de la Transformation Énergétique) en partenariat avec Sopra Steria, la Direction Générale de l’Aviation Civile, Log et Michelin.

    Emmanuel Monfrini, porteur du projet à Télécom SudParis, et Patrick Faure, Directeur de l’Intelligent Automation Factory chez Sopra Steria et encadrant de cette Chaire, nous racontent.

    Tout d’abord, parlez-nous du programme en quelques mots ?

    Emmanuel Monfrini : « Pendant longtemps l’impact de la technologie était jugé, dans l’imaginaire collectif, neutre sur le climat. Cependant, avec l’éveil écologique de la jeune génération, elle est rapidement devenue l’ennemi numéro 1 de la transition écologique. En tant que Directeur des Formations d’une grande école du numérique, il était donc indispensable que j’intègre cette réflexion dans les enseignements des étudiants.

    Convaincu que le numérique a un rôle immédiat et central à jouer dans les mécanismes de la transition écologique, Télécom SudParis s’est engagée dans la Chaire d’Enseignement INTEGRATE avec deux leitmotivs : réconcilier numérique et transition écologique, mais aussi mobiliser l’intérêt des jeunes générations autour du développement d’un numérique vertueux.

    Dans le cadre de sa dimension industrielle, nous nous sommes donnés pour mission de former des ingénieurs en les préparant aux défis environnementaux, et de construire avec les entreprises partenaires l’écosystème pouvant les accueillir.»

    Est-ce que cet intérêt pour le numérique durable se retrouve dans les équipes Sopra Steria ? Au sein de nos projets ?

    Patrick Faure : «La considération des enjeux environnementaux devient un réflexe pour de plus en plus de collaborateurs. Par exemple, nous sommes collectivement attentifs à l’amélioration de l’efficience des applications produites en intégrant ces préoccupations le plus possible dans le cycle de leur projet, mais aussi de la consommation en énergie sur nos serveurs par exemple, en les éteignant le soir et le week-end pour ceux de développement. Nous accompagnons aussi nos clients dans cette transition avec notamment la prise en considération du calcul d’impact des systèmes d’information.»

    Concrètement, quels sont les travaux menés dans le cadre de la Chaire ?

    EF : «La Chaire est avant tout un lieu d’échange autour duquel se retrouvent étudiants, entreprises et enseignants-chercheurs. Nous agissons à plusieurs niveaux :

    • Inventer collectivement le numérique sobre et durable que nous appelons de nos vœux.
    • Construire le contenu pédagogique et les moyens pour devenir un ingénieur prêt à relever les défis d’aujourd’hui et de demain dans la mise en œuvre de technologies numériques.
    • Former aux enjeux, méthodes et techniques tout au long du cycle de formation d’ingénieur.
    • Transmettre les connaissances et accompagner à leur application.»

    Sur quels sujets les étudiants de Télécom SudParis et les ingénieurs Sopra Steria travaillent-ils actuellement ?

    PF : «L’un des premiers sujets communs a été FarmIA, l’un des projets lauréats du Prix Entreprendre pour demain. Ce projet porte sur l’agriculture durable à l’aide d’un FarmBot et en utilisant l’intelligence artificielle pour identifier au plus tôt les risques de maladie des plantes cultivées.

    Ce projet évolue depuis maintenant trois ans, chaque année avec une nouvelle équipe d’étudiants. Il est devenu l’élément central du «Lab» commun avec Télécom SudParis, qui se monte cette année, et autour duquel de nombreux projets vont venir s’agréger et expérimenter pour apporter plus d’autonomie, à la fois en énergie, en eau, en intrants.»

    Comment décririez-vous le portrait d’un ingénieur numérique responsable ?

    PF : «Je pense qu’il faut qu’il soit ouvert au monde et aux différences de points de vue sur ces sujets pouvant être clivants, mais aussi rationnel et capable de sortir du cadre pour innover. La curiosité pour les solutions existantes et émergentes de tout type est aussi essentielle !»

     

     

  • Participez au Global Game Jam 2024

    Participez au Global Game Jam 2024

    Participez au Global Game Jam 2024

    Du vendredi 26 au dimanche 28 janvier 2024, le C19 organise la Global Game Jam. Chaque année, des élèves ingénieurs de Télécom SudParis, IMT-BS, ENSIIE, Université d’Évry, École polytechnique participent à cette événement avec des entreprises hébergées par le C-19, sur le territoire essonnien. Le C19 fait partie des 45 partenaires français de la Global Game Jam, plus grande Game jam du monde.

    Durant 48 heures, il accueillera des développeurs qui devront concevoir un jeu-vidéo à partir d’un thème partagé par tous les participants.

    Hébergé par l’ENSIIE, le C-19 est le cluster Jeux Vidéo et interactions numériques partenaire de notre incubateur IMT Starter. Il propose un ecosystème regroupant l’entrepreneuriat, la formation et la recherche.

     

  • Inauguration du Bâtiment d’Enseignement Mutualisé à Palaiseau

    Inauguration du Bâtiment d’Enseignement Mutualisé à Palaiseau

    Inauguration du Bâtiment d’Enseignement Mutualisé à Palaiseau

    Joyau architectural, le BEM pour Bâtiment d’Enseignement Mutualisé à Palaiseau sort de terre. Il accueillera les enseignements de 7 grandes écoles d’ingénieur : École polytechnique, AgroParisTech, Télécom Paris, Télécom SudParis, ENSTA Paris, ENSAE Paris, et Institut d’Optique Graduate School. Situé en proximité immédiate d’une future station de la ligne 18 du métro, sa large façade transparente en fait déjà une nouvelle porte d’entrée vers le campus de l’Institut Polytechnique de Paris.

    Ce projet fédérateur a été financé par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR), le Ministère des Armées, le Ministère de l’Économie et des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, l’Établissement Public d’Aménagement Paris-Saclay (EPA-PS), l’Institut Mines-Télécom ainsi que les écoles partenaires.

    Une initiative responsable pour un lieu emblématique

    Le BEM incarne l’ambition commune des sept écoles d’ingénieurs du quartier de l’École Polytechnique de partager un espace d’enseignement afin d’optimiser les espaces construits et de rationaliser l’utilisation des salles. Cette initiative responsable aboutit à un bâtiment moderne et lumineux, lieu de rassemblement au cœur du campus de l’Institut Polytechnique de Paris, renforçant ainsi l’attractivité du campus et servant de vitrine exceptionnelle pour les établissements.

    Son concepteur, l’architecte japonais contemporain Sou Fujimoto, indique : « Je crois que l’espace d’apprentissage du futur est un espace ouvert et interactif où les étudiants, les enseignants, les professeurs, chacun d’entre nous peut trouver sa propre place. Nous devons trouver de nouvelles idées et les diffuser, et notre avenir doit être créé grâce à ce type de relations interactives, comme une sorte de co-création. »

    Organisé autour d’un vaste atrium et d’une capacité totale d’accueil de 1470 étudiants, le BEM offre un grand amphithéâtre de 250 places, trois amphithéâtres de 80 places, ainsi qu’une cinquantaine de salles réparties sur 3 étages. Des espaces pédagogiques innovants, des salles de télé-enseignement, de visioconférence et des espaces de travail collaboratifs complètent les espaces de travail calmes et spacieux disponibles.

    L’enjeu du projet architectural : favoriser les rapprochements

    D’une surface de 10 000m², dont un atrium de 1 000m² ouvert sur 4 niveaux, son volume fluide s’articule entre réseaux de passerelles, jeux d’escaliers et larges gradins en bois, créant un lieu à la hauteur de l’excellence pédagogique des sept écoles.

    L’enjeu était de créer un bâtiment catalyseur favorisant les rapprochements tout en restant cohérent avec le paysage environnant. Organisé comme un prolongement du parc à proximité, la nature reste au cœur de sa conception. Sa grande façade transparente, sa végétation intérieure et son ouverture sur le paysage environnant l’intègrent parfaitement dans son environnement.

    Enfin, les escaliers et la toiture en origami, associés à des espaces tout en transparence, confèrent au BEM une atmosphère empreinte de minimalisme et de poésie, faisant de ce bâtiment un lieu de transmission unique.

    Cet espace généreux et singulier qui brouille les frontières entre intérieur et extérieur a été conçu par Sou Fujimoto Architects (mandataire), OXO architectes – Manal Rachdi, Nicolas Laisné architectes et DREAM – Dimitri Roussel. Le pilotage des études de conception et la maîtrise d’ouvrage ont été confiées à l’EPAURIF (Établissement Public d’Aménagement Universitaire de la Région Ile-De-France) et la maîtrise d’œuvre au cabinet Sou Fujimoto Architects.

     

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