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  • Matthieu MONNOT fait courir ensemble élèves ingénieurs et recruteurs

    Matthieu MONNOT fait courir ensemble élèves ingénieurs et recruteurs

    Bike and Run 2019

    Matthieu MONNOT fait courir ensemble élèves ingénieurs et recruteurs

    Matthieu, élève-ingénieur à Télécom SudParis, s’est lancé dans l’organisation de l’épreuve du Bike&Run Grandes écoles et Universités 2021. Pendant des mois, il a préparé avec d’autres camarades cette course qui mêlera, en octobre, 500 étudiants et recruteurs en forêt de Sénart (Essonne). Portrait d’un jeune homme, qui associe sport et rencontres professionnelles.

    Le soleil a fait son grand retour en ce début de rentrée scolaire, ses rayons s’entremêlent avec la quiétude du parc d’Évry. La fraîcheur estivale a laissé place à la chaleur. En cette matinée, sur les bords de seine, la mélodie des péniches répond à celle des oiseaux.

    Une silhouette fine et longue s’avance. Cheveux courts sur les côtés et brossés sur le haut. Des épaules larges et taillées, laissant deviner un goût pour les activités physiques. D’un pas assuré et déterminé, Matthieu Monnot apparaît sur les quais de Seine jouxtant la passerelle entre Evry et Soisy. Étudiant en deuxième année à Télécom SudParis, le jeune homme âgé de 21 ans, aime les responsabilités. Très sportif, il est membre et président du club Raid Xtreme, en charge de l’organisation du Bike&Run, un événement qu’il affectionne « Ce qui est intéressant dans cette épreuve, c’est qu’elle permet d’allier la vie sportive et la vie professionnelle. C’est l’opportunité de découvrir les entreprises et leurs managers autrement qu’en entretien, ou par CV et lettre de motivation interposés. C’est un moment privilégié, informel et dans un contexte de compétition sportive, avec un manager pour qu’il nous parle de son expérience. C’est ce que j’apprécie tout particulièrement. »

    500 sportifs pour une campagne de recrutement par le sport

    Lancée en 2019, annulée en 2020 du fait de la crise sanitaire, l’édition 2021 du Bike & Run promet d’être exquise. Prévue le 21 octobre, l’épreuve partira du campus commun aux écoles Télécom SudParis et IMT-BS situé à Evry-Courcouronnes. Matthieu nous fait part des objectifs de l’événement. « Il s’agit d’organiser une campagne de recrutement par le sport […] Des binômes sont créés entre des managers d’entreprises partenaires et des étudiants de différents campus de France. Le but est simple, créer des liens et nouer des contacts entre les deux parties pour des stages ou une éventuelle collaboration professionnelle dans le futur ».

     

    Course à pied et VTT pour tous les niveaux

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    Matthieu Monnot et Pierre-Antoine Arsaguet sont également membres de l’association multi-tech Kryptosphère®

    Matthieu pratique la course à pied depuis de nombreuses années. Son club étudiant, Xtreme*, est spécialisé dans les sports d’extérieur. Ainsi, lors de la compétition leurs disciplines de prédilection seront mises en avant. « Il y en aura pour tout le monde » rassure Matthieu. « Deux parcours sont au choix, l’un de 6 km et l’autre de 13 km. Les deux se déroulent en forêt de Sénart et sur les quais de Seine à Évry. Les binômes se partagent un vélo. Celui qui peut courir, courra et celui qui se sent plus à l’aise pour pédaler à certains endroits, pédalera. L’objectif de notre club Xtreme à travers cette compétition est d’initier le plus grand nombre de participants aux différentes disciplines que nous proposons, c’est-à-dire running, VTT, et tous les autres sports en nature… ».

    Peu importe les qualités physiques des uns et des autres, seuls comptent le sport et la rencontre étudiants/managers. « On a décidé de proposer deux parcours afin que tout le monde puisse prendre part à l’épreuve. Nous sommes conscients que tout le monde ne peut pas courir 13 km, sans entraînement. Notre objectif est d’attirer les étudiants qui veulent faire du sport, mais aussi ceux qui veulent simplement découvrir les entreprises. […] on sait que beaucoup viennent principalement pour découvrir les partenaires présents. Notre but est que cette journée profite à tous… ».

    Un avenir à construire …

    Le bike & Run est un événement sportif, mais il a aussi pour but de créer des relations professionnelles entre les étudiants et les managers présents. Matthieu, étudiant lui aussi, compte bien tirer profit de cette compétition afin d’étoffer son carnet d’adresses professionnels « Je pourrai mettre en avant sur mon CV toutes les compétences que j’ai acquises, comme le management d’équipe, la création d’événement. […] Bien sûr, les liens ainsi créés avec les entreprises, tous les membres du club Xtreme pourront les garder et les faire prospérer. ».

    Les étudiants sont invités à s’inscrire en ligne et choisir leur binôme entreprise parmi les managers de Sopra Steria, Naval Group, GE Healthcare, MBDA, Elior, Egis ou encore du CEA. Un moyen simple et décomplexé de se rendre visible aux yeux des potentiels recruteurs. Et pour Matthieu, un atout fort pour se lancer dans la compétition dans son avenir professionnel.

     

    *Le club Raid Xtreme est un club étudiant commun aux écoles Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School.

  • Parrainage entreprise : Sopra Stéria nouveau parrain des étudiants de Télécom SudParis

    Parrainage entreprise : Sopra Stéria nouveau parrain des étudiants de Télécom SudParis

    Parrainage entreprise : Sopra Stéria nouveau parrain des étudiants de Télécom SudParis

     

    A la rentrée 2021, la société Sopra Stéria sera le parrain de la nouvelle promotion d’élèves-ingénieurs de l’école d’ingénieur Télécom SudParis. Durant les trois années de la scolarité, l’entreprise accompagnera les étudiants afin de les aider à préciser leur projet professionnel.

    Le parrainage d’entreprise à Télécom SudParis

    Sylvie Dumas, Responsable des Relations entreprises et Stages à Télécom SudParis nous donne sa définition : « Un parrain est une entreprise présente tout au long des 3 années de la scolarité de nos ingénieurs. Il les accompagne et les conseille sur leur avenir professionnel que ce soit au niveau des stages, de leur voie d’approfondissement (VAP), de la sortie de l’école et bien entendu du premier emploi. Il se comporte comme un parrain dans la vie de tous les jours : il s’engage à guider, soutenir et aider les élèves à aborder leur carrière professionnelle « .

     

    Quel est le rôle de l’entreprise ?

    Les actions du parrain sont multiples. Pour l’entreprise, toutes visent à amener l’étudiant à découvrir un secteur d’activité, des métiers, à partir à la découverte d’un environnement de travail et de collaborateurs ainsi que d’une culture d’entreprise. Cette ouverture et connaissance constituent un premier pas vers l’embauche en stage ou en emploi.

    Comme l’indique Fabrice Losson, directeur des relations avec l’enseignement supérieur chez Sopra Stéria, dans son billet sur La Tribune  « Les entreprises administrant des cours, soutenant des chaires, proposant aux étudiants de participer à des cas pratiques ou autres formats participatifs, apportent leur savoir-faire aux talents de demain. (…) l’entreprise amène du concret dans le quotidien éducatif des étudiants, leur permet de découvrir un métier et des expertises qui les aideront dans leur orientation professionnelle.« 

    Bike And Run
    Organisé chaque année sur notre campus, le « Bike & Run Grandes écoles et Universités » est une opération originale de recrutement

    « L’idée est de mettre en contact nos élèves-ingénieurs avec des collaborateurs de Sopra-Stéria qui, pour certains seront des modèles, pour d’autres les éclaireront sur la voie qu’ils veulent suivre. » explique Sylvie Dumas. « C’est aussi créer un lien avec une société qui a des valeurs « .

    Sur le terrain, chaque parrain définit avec l’école les modalités de ce parrainage : participation à des cours, implication dans des chaires, recrutement lors de salons dédiés, cas pratiques d’entreprises, concours, … les entreprises apportent du concret à la formation des élèves.

     

    Le choix d’un parrain entreprise

    farmia
    Farmia, un projet étudiant récompensé par la Fondation Sopra Steria-Institut de France

    « Sopra Stéria est une entreprise avec laquelle nous partageons une histoire de partenariats longue de 20 ans. » raconte Sylvie Dumas. « Avant le regroupement de Sopra et Stéria en 2015, l’entreprise Stéria fut parrain de promotion de 2006 à 2009. » poursuit Sylvie Dumas. On la retrouve partenaire de la chaire « Valeurs et politiques des informations personnelles », récompensant le projet numérique FarmIA en faveur de l’environnement porté par nos étudiants, ou encore partenaire de notre VAP « Intégration et déploiement de systèmes d’information« , par exemple.

    Le groupe français, qui compte 46 000 salariés dans le monde, porte des valeurs autour de la personne et du développement durable. « C’est ce que je recherchais aujourd’hui pour nos étudiants » explique Sylvie Dumas.

    La stratégie de Sopra Stéria en faveur de l’environnement, de la solidarité et d’un numérique responsable dans la gestion des activités, a pour l’objectif de faire du numérique non seulement « un accélérateur, mais aussi une source d’opportunités et de progrès pour tous« . Son action en faveur d’un numérique responsable a valu à Sopra Stéria en 2021, la certification Carbone Neutre délivrée par One Carbon World, partenaire officiel de l’ONU.

    De son côté, Télécom SudParis enrichit à la rentrée 2021, son cursus ingénieur pour y intégrer pleinement les problématiques de transition écologique.

     

    Des exemples de projets de parrainage réussis

    « Celui qui me vient à l’esprit, est le parrainage de NetXP, par deux fois, de nos étudiants » commente Sylvie Dumas. A l’époque la société, inconnue des étudiants, ne compte que trente salariés. « Ils se sont tant investis durant ces trois années, que NetXP a recruté par moins de 20 jeunes diplômés« .

    Autre exemple, celui du Groupe TF1. « Le parrainage de la promotion 2013 par TF1 semblait couler de source. Mais après quelques conférences, les étudiants se sont rendu compte de ce qu’était véritablement TF1, au-delà de ce que chacun connaît.  » explique Sylvie Dumas avant de conclure « Les élèves-ingénieurs ont vraiment été intéressés par la diversité des expertises développées au sein du groupe. »

    L’implication des entreprises favorise l’acquisition du « savoir-être » et « savoir agir » nécessaire aux élèves-ingénieurs. Un partenariat « gagnant-gagnant » !

  • Face à l’urgence climatique, Télécom SudParis renforce sa formation d’ingénieurs, pour un numérique durable et responsable

    Face à l’urgence climatique, Télécom SudParis renforce sa formation d’ingénieurs, pour un numérique durable et responsable

    Face à l’urgence climatique, Télécom SudParis renforce sa formation d’ingénieurs, pour un numérique durable et responsable

    Dès la rentrée, Télécom SudParis enrichit son cursus pour y intégrer pleinement les problématiques de transition écologique. L’enjeu ? Former des ingénieurs « cybersécurité », « jeux vidéo » ou « IA », … conscients des implications environnementales de leurs innovations, mais aussi mieux répondre aux besoins urgents en compétences environnementales sur le marché du travail.

     

    Pollution générée par les serveurs informatiques, course aux derniers modèles de téléphones portables, dangers réels et hypothétiques de la 5 G… : le numérique est régulièrement montré du doigt en matière d’environnement. Avec un immense potentiel de transformation écologique, il constitue pourtant une partie de la solution. Selon plusieurs rapports*, le numérique pourrait réduire les émissions mondiales de CO2 de 15 à 20% d’ici 2030.

     

    Ingénieur du numérique responsable : un métier innovant pour relever le défi climatique

    Formant chaque année des centaines d’ingénieurs spécialistes du numérique, Télécom SudParis a un rôle essentiel à jouer dans la construction d’un numérique responsable. C’est pourquoi, dès la rentrée, l’école d’ingénieurs a décidé d’introduire 120 heures dédiées au développement durable dans le tronc commun obligatoire de la première année, soit 4 ECTS – système de points permettant la reconnaissance des diplômes dans l’Union Européenne – sur les 60 obligatoires. Pour les étudiants souhaitant aller encore plus loin, un parcours spécifique « Environnement » est proposé en option.

     

    Derrière la notion de transition écologique, des outils scientifiques

    Conçue avec l’ensemble de l’équipe pédagogique, cette évolution, bien loin du greenwashing, répond à la volonté de rendre les étudiants acteurs en matière d’environnement.

    A quoi sert l’étude des réseaux dans une dynamique environnementale ? En quoi les probabilités peuvent-elles contribuer au développement durable ? Quelles règles pour une programmation sobre, moins énergivore ? A travers des jeux sérieux et des approches imagées telles que la fresque du climat, les élèves aborderont ces questions dès leur entrée à l’école à travers deux modules, « Climat et énergie » (60h) et « Responsabilité, éthique et controverses autour des transitions » (30h). Ces enseignements seront complétés, tout au long de la première année, par une formation à la recherche responsable (30h).

    « Notre ancien cursus comportait déjà une UV consacrée aux aspects philosophiques et sociologiques du développement durable. Aujourd’hui, nous renforçons cette approche en introduisant des modules sur les enjeux énergie/climat« , explique Emmanuel Monfrini, directeur-adjoint des formations.

     

    Accélérer la transition environnementale grâce au parcours « Environnement » de la chaire Integrate

    Le parcours optionnel « Environnement » s’organise quant à lui autour d’une formation d’ingénieur de haut niveau, spécialiste du numérique, associant une expertise en informatique, réseau, data science, physique ou image à une approche « environnement ». Celle-ci va de l’optimisation écologique (« smart« ) au changement de pratiques individuelles. Des projets concrets, ainsi que 9 à 10 mois de stage, viendront compléter deux modules, « Numérique et consommation énergétique : agir du processeur au logiciel » et « Le risque environnemental« .

     

    La transition écologique au cœur du nouveau cursus

    Selon Emmanuel Monfrini, « Les élèves doivent pouvoir se forger leur propre éthique personnelle face aux problématiques environnementales. C’est pourquoi nous avons rédigé une charte de construction de l’ingénieur du numérique responsable, autour de dix engagements, y compris celui de renoncer au numérique si celui-ci a des conséquences trop négatives sur l’environnement. « 

    L’entreprise et le marché de l’emploi sont bien sûr aussi au cœur du virage pédagogique de Télécom SudParis. « Aujourd’hui, les étudiants doivent impérativement faire apparaître des compétences en matière d’environnement sur leur cv. »

    *Global e-Sustainability Initiative (GeSI)

    Digital technology can cut global emissions by 15%

     

    A lire aussi : Comment former en trois ans l’ingénieur d’un numérique responsable ? Entretien avec Emmanuel Monfrini, Directeur adjoint des formations de Télécom SudParis.

  • Live Discord : cursus, débouchés et vie étudiante à Télécom SudParis

    Live Discord : cursus, débouchés et vie étudiante à Télécom SudParis

    Pose tes questions durant nos Live sur Discord

    Cet été, Télécom SudParis organise 2 sessions Live d’1h30 sur la plateforme Discord pour permettre aux étudiants et parents d’élèves d’échanger avec nos équipes. Le premier événement aura pour objets le cursus, les débouchés et la vie étudiante dans notre école. Le deuxième live portera sur les admissions, les bourses et les informations pratiques.

    RDV dans notre salon sur Discord avec notre équipe le jeudi 8 juillet 2021 de 17h30 à 19h00 pour poser vos questions sur les thèmes :

    Cursus, débouchés

    Vie étudiante

    Nos intervenants :

    • Claude VILLARD, Directeur des formations
    • Emmanuel MONFRINI, Directeur adjoint des formations
    • Nel SAMAMA, Directeur adjoint du département Eléctronique et Physique
    • Robin THYWISSEN, Président de T&MA
    • François TRAHAY, Professeur associé à Télécom SudParis
    • Elisabeth NIGAGLIONI, Responsable de la vie étudiante
    • Stéphane DEHORS, Responsable des sports
    • Ulysse AUBIN, Président du Bureau des Elèves (BDE)
    • Mériane MENDY, Présidente de Promo2Tel et Ambassadeur Télécom SudParis
    • Tom FIETTE, élève-ingénieur en 1ere année et Ambassadeur Télécom SudParis

     

  • Partenariat DGSE, Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom

    Partenariat DGSE, Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom

    Partenariat DGSE, Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom

    Le 18 juin, pendant VivaTech 2021, Patrick Pailloux, directeur technique de la DGSE – Direction Générale de la Sécurité Extérieure – François Dellacherie, directeur de Télécom SudParis et la Odile Gauthier, directrice générale de l’IMT ont signé une convention de partenariat. Cette signature a été ponctuée par la visite de Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques.

    L’enjeu de cette convention est la souveraineté numérique.

    « Dans ce contexte stimulant de VivaTech, le rendez-vous des hautes technologies et des grands enjeux pour demain dans la transition numérique, écologique et productive, je suis particulièrement heureuse de pouvoir lancer entre l’Institut Mines-Télécom et la DGSE un projet de grand partenariat à l’initiative et porté par notre école Télécom SudParis.

    « Les compétences de pointe dans ce domaine de Télécom SudParis en systèmes d’information et systèmes de sécurité associées aux expertises de vos équipes de la DGSE sont les atouts pour, ensemble, relever ces défis« , a notamment indiqué Odile Gauthier avant d’annoncer l’organisation commune d’un prochain challenge de cybersécurité.

     

     

    De gauche à droite : François Dellacherie, directeur Télécom SudParis ; Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques ; Odile Gauthier, directrice générale Institut Mines-Télécom et Patrick Pailloux, directeur technique de la DGSE.
    De gauche à droite : François Dellacherie, directeur Télécom SudParis ; Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques ; Odile Gauthier, directrice générale Institut Mines-Télécom et Patrick Pailloux, directeur technique de la DGSE.

     

  • Viens discuter en live avec les Télécomiens

    Viens discuter en live avec les Télécomiens

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    Viens discuter en live avec les Télécomiens

    En chat, call ou visio, rejoins-nous bientôt sur notre forum Discord. En plus de ce salon virtuel principal, nous organisons 2 rendez-vous dédiés sur Discord. Nous y aborderons tes questions sur la formation et débouchés, la vie étudiante, admission et bourses ainsi que les infos pratiques :

     

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    17 juin 2021

    Campus Channel spécial admissibles

    17:30
    Français

    18 juin 2021

    Live YouTube : Réussir son oral d’entretien au Concours

    18:00
    Français

    23 juin 2021

    Live YouTube : Réussir son oral d’entretien au Concours

    18:00
    Français

    8 juillet 2021

    Live Discord : cursus, débouchés et vie étudiante à Télécom SudParis

    17:30
    Français

    16 juillet 2021

    Live Discord : admission, bourses et informations pratiques à Télécom SudParis

    17:30
    Français

    Une question ? Viens chatter sur Facebook admissibles, Instagram, Twitter ou Discord !

    Échange avec nos étudiants ambassadeurs. De la diversité des options à la vie associative, en passant par les bourses et le goût des frites au restaurant, tu dois avoir des centaines de questions sur ta future vie d’étudiant.e.

    Quoi de mieux qu’une équipe d’élèves-ingénieurs de première année à ta disposition pour répondre à toutes tes questions ?

     

  • Les atouts d’une thèse en entreprise à l’étranger

    Les atouts d’une thèse en entreprise à l’étranger

    thèse en entreprise à l'étranger

    Les atouts d’une thèse en entreprise à l’étranger

    La recherche partenariale peut revêtir plusieurs formes. Télécom SudParis et TriaGnoSys, une petite entreprise allemande, ont mis en place un projet de thèse de doctorat à l’international. Un choix qui permet aux laboratoires académiques de mener de la R&D conjointement avec l’entreprise et à celle-ci de rester à la pointe de l’innovation. Retour sur une recherche partenariale réussie, qui porte sur l’intelligence artificielle appliquée à la maintenance prédictive dans l’aéronautique.

    Le stage, point de départ vers une autre collaboration 

    Un étudiant de Télécom SudParis – une école qui bénéficie du label Carnot Télécom & Société numérique pour sa recherche – effectue son stage de master à l’international pour valider son diplôme. Il choisit TriaGnoSys, une petite entreprise allemande (rachetée par Zodiac Aerospace), spécialiste des liaisons par satellite pour les avions et des systèmes informatiques des cabines.

    A l’issue de son stage, l’étudiant envisage de poursuivre son parcours par une thèse, dans le cadre d’un contrat de mission pour la durée du projet. Il se tourne alors naturellement vers Télécom SudParis pour l’encadrement de la thèse. L’idée intéresse les deux parties. Le sujet envisagé porte sur la maintenance prédictive dans l’aéronautique. « Lorsqu’un avion est en vol, des capteurs récupèrent des données qui sont traitées afin d’anticiper les pièces à changer lors de l’escale » explique Sophie Chabridon, enseignante-chercheure en informatique à Télécom SudParis, spécialisée dans les systèmes répartis. « Nous voulions explorer le traitement des anomalies en temps réel. Pour faire les calculs nécessaires à la maintenance prédictive, on utilise à la fois les ressources de calcul disponibles à bord des avions et celles d’ordinateurs plus puissants au sol. Les liaisons satellites entre les machines à bord et au sol n’étant pas toujours d’une qualité suffisante (temps de communication parfois important, interruptions des communications, etc.) l’idée est d’optimiser les calculs sur ces systèmes répartis »

    Une valeur ajoutée pour l’école et l’entreprise

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    © Joe Ambrogio / Pexels

    Pour TriaGnoSys, accueillir un doctorant est une de façon de tester les résultats de la recherche et de monter en compétence dans le domaine de la maintenance prédictive. C’est aussi un moyen de montrer que l’entreprise est en pointe sur l’utilisation de travaux académiques et qu’elle contribue au transfert des connaissances. Pour Télécom SudParis, c’est une façon de mener des recherches avec l’entreprise et de voir si elles répondent aux besoins réels.

    Les capteurs restituent une importante quantité d’informations et leur pertinence est essentielle pour prendre les bonnes décisions. « J’ai travaillé sur la qualité des informations pour les objets connectés ; cela m’intéressait de comprendre les besoins précis de l’entreprise et de leur proposer des solutions en lien avec la réalité du terrain. En même temps, cela permet de valider nos résultats théoriques » poursuit Sophie Chabridon.

    Un partenariat gagnant-gagnant

     A l’issue des trois années de recherche, la thèse est publiée sous le titre « Détection des anomalies sur les données de vol en temps réel avec des agents communicants hétérogènes ». Elle répond aux objectifs fixés par les deux parties : la mise au point d’un système de maintenance en temps réel. Inédits, les travaux favorisent par ailleurs l’émulation dans l’entreprise qui a ensuite accueilli quatre nouveaux stagiaires sur ce sujet. De son côté, Télécom SudParis a publié les résultats et a ainsi rempli sa mission de confrontation des résultats théoriques aux besoins réels des entreprises. Depuis, Zodiac Aerospace été intégrée au Groupe Safran.

    Monter une thèse avec une entreprise à l’étranger

    etudiant telecom sudaparis L’accueil d’un thésard par une entreprise à l’étranger est comparable au dispositif CIFRE en France.  Seul le financement, assuré par l’entreprise, diffère. L’étudiant répartit de façon optimale son temps de travail entre le laboratoire et l’entreprise. Une équipe d’encadrement est mise en place sur mesure à télécom Sudparis en fonction du sujet du doctorant.

    Sophie Chabridon, spécialiste des systèmes répartis et de l’Internet des objets, dirige la thèse et Yohan Petetin, expert de l’apprentissage automatique encadre la thèse. L’objectif de la thèse est le même : renforcer les échanges entre les laboratoires de recherche et les entreprises. Les thèses en entreprise à l’étranger sont peu connues et devraient être encouragées. « Une thèse est toujours un pari pour les deux parties car on s’engage sur trois ans. L’idéal est de commencer par un stage avant de s’engager sur plusieurs années » explique Sophie Chabridon.

    Confronter les résultats de la recherche aux besoins des entreprises est essentiel pour les écoles d’ingénieur. Valider les résultats de la recherche est valorisant pour une entreprise et permet de se différencier de la concurrence. La thèse en entreprise à l’étranger est l’une des façons de tisser des partenariats fructueux entre l’école et le monde de l’entreprise.

     

    Contact Carnot TSN

    olivier 1 e1587135655594Olivier Martinot

    Directeur de l’innovation et des relations entreprises

    Télécom SudParis 

  • Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Les élèves de Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School se sont engagés dans la création d’une épicerie sociale et solidaire commune sur leur campus, Épicer’INT.

    Ce qui était à l’origine un projet étudiant d’un programme pédagogique GATE® (Gestion et Apprentissage du Travail en Equipe) est devenu un club rattaché à Intervenir, l’association humanitaire du campus. Une action forte en ces temps de précarité étudiante due à la crise sanitaire.

    1,3 milliards de tonnes de nourriture sont jetés par an dans le monde dont 1,3 millions de tonnes par la grande distribution. Partant de ce constat socio-environnemental,  Épicer’INT a donc souhaité récupérer les invendus de la grande distribution pour les partager gratuitement aux étudiants.

    Comme l’explique son président Antoine Klein, élève-ingénieur en 1ère année à Télécom SudParis : « La force de notre épicerie sociale est de proposer une offre alimentaire diversifiée et de qualité, donnant accès à des produits frais aux étudiants en situation de précarité ».

    Donner accès à des produits frais aux étudiants en situation de précarité

    GATE®, l’un des programmes de pédagogie par projet de la formation ingénieur de Télécom SudParis, vise à déployer un projet long, dans toutes ses composantes professionnelles, en équipe multiculturelle. Que ce projet soit technique, scientifique, artistique ou encore humanitaire.

    Dans le cas d’Épicer’INT, il s’agit pour nos élèves-ingénieurs Hugo, Eloi, Mathilde, Léonard, Antoine, Sophie, Imène et Capucine de conduire une étude de faisabilité, de nouer des partenariats avec des fournisseurs de denrées alimentaires, de produits d’hygiène et d’entretien et enfin de trouver un local afin de garantir la pérennité du projet. Ainsi, à la rentrée 2021, Épicer’INT emménagera dans des locaux partagés avec d’autres associations étudiantes, Cook’it et Epicurieux, et bénéficiera d’un réel espace de stockage proposé par la Maison des élèves (MAISEL).

    Sandrine Chapelet, en charge du social étudiant au Service Scolarité, Intégration Accompagnement des élèves, a encadré ce projet. Bien avant la crise, l’École a mis en place un certain nombre de solutions pour soutenir ses élèves, mais « l’épicerie s’adresse à tous les élèves, boursiers et non boursiers, car tous peuvent être touchés par les conséquences de la crise sanitaire« .

    « Les enjeux de cette association sont à la fois sociaux et environnementaux. Cette initiative permet de limiter le gaspillage alimentaire, tout en aidant les étudiants », rappelle encore Antoine. « Cette période est particulièrement difficile pour les élèves. Certains d’entre nous ne peuvent plus se permettre de manger trois repas par jour. Ce qui n’est pas acceptable ».

    Des besoins de financements

    Grâce au travail fourni par ses 30 membres bénévoles, Épicer’INT a pu commencer la distribution équitable de paniers repas en mars 2021. Chaque semaine, ce sont 150 paniers qui sont distribués. A ce jour, 920 sacs alimentaires ont été distribués, soit environ 3 000 repas.

    « Le nombre de demandes d’aide ne cessent d’augmenter. Certaines initiatives pour y répondre remportent le succès sur Evry, mais restent insuffisantes » explique Antoine. « Nous avons besoin d’environ 10 000 € pour acheter des frigos, des meubles et fournitures pour le local. Mais aussi des denrées sèches, des produits d’hygiène et quelques produits frais que nous ne pouvons donc pas obtenir gratuitement dans les enseignes. », insiste le président de l’association solidaire.

     

     

    L’épicerie a d’ores et déjà trouvé le soutien du Rotary Club de Mennecy, de l’association « Le sac solidaire étudiant du Val d’Essonne », de la Mairie d’Evry-Courcouronnes et dernièrement du Lions Club de Draveil et Generactions 77. Restait à trouver de quoi financer l’équipement de l’Épicerie – dont les conteneurs isothermes, l’achat de produits de première nécessité, sans oublier les frais liés au fonctionnement de l’Épicerie : produits d’entretien, location d’un utilitaire deux fois par semaine pendant un an.

    Les élèves de Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School, les Écoles, l’association des diplômés ainsi que la Fondation Mines-Télécom ont donc organisé une collecte de fonds du 20 avril au 20 mai 2021 pour soutenir l’Épicerie solidaire. « Même si quelques années ou une génération nous séparent, l’entraide et la solidarité sont des valeurs que nous portons tous ! Depuis toujours, nous nous serrons les coudes entre étudiants, entre promos, entre résidents d’une même Maison des élèves. »

     

    ABN

    Épicer’INT, l’épicerie sociale et solidaire

    Le Prix Coup de cœur collaborateurs du concours DIVALTO C.A.R.E.I.T 2020.21

    divalto epicerint
    DR

    Divalto, l’éditeur français de logiciels de gestion pour les PME et ETI, annonçait en septembre dernier la 3ème édition de son concours solidaire à destination des étudiants : le Divalto C.A.R.E I.T. Ce concours récompense les projets d’associations étudiantes incarnant au plus près les valeurs comme : Audacieux, Ensemble, Esprit d’Excellence, Responsable. En février 2021, un premier coup de projecteur est mis sur EpicerINT lorsque l’équipe est séléctionnée parmi les 6 finalistes.  Le 23 mars 2021, nos étudiants remportent le « Coup de cœur collaborateurs » du Jury.

  • Charte graphique et logotype

    Charte graphique et logotype

    Charte graphique et logotype de Télécom SudParis

    Téléchargez le logotype et la charte graphique de Télécom SudParis qu’il est nécessaire de consulter pour la bonne utilisation de notre identité visuelle. Si toutefois vous souhaitez un format de fichier spécifique, merci de contacter la Direction de la Communication à l’adresse @communication.

     

    • Le nom de marque est « Télécom SudParis » .

    • Il est à utiliser dans tous les cas, à l’exception des contextes juridiques où le nom officiel de l’École reste « Télécom SudParis« . Notamment dans les titres professionnels du type « ingénieur de Télécom SudParis« , les diplômes, les documents contractuels ou les blocs adresse.

    • Par ailleurs, le « É » est accentué (touches ALT+144). On appose des capitales au T de « Télécom » et aux S et P de « SudParis » qui s’écrit en un seul mot : Télécom SudParis.

  • La Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom renouvellent leur partenariat pour soutenir nos étudiants

    La Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom renouvellent leur partenariat pour soutenir nos étudiants

    La Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom renouvellent leur partenariat pour soutenir nos étudiants

    Pour apporter leur soutien aux étudiants, particulièrement fragilisés par la crise actuelle, la Fondation groupe RATP et la Fondation Mines-Télécom ont renouvelé leur partenariat afin d’offrir 6 bourses Trajets d’Avenir par an à des élèves-ingénieurs des écoles Télécom Paris et Télécom SudParis.

    48 étudiants accompagnés depuis 2012

    Dans le cadre du dispositif Trajets d’Avenir de la Fondation du groupe RATP et du partenariat renouvelé, 6 étudiants des écoles d’ingénieurs Télécom Paris et Télécom SudParis bénéficient cette année du financement de leurs études grâce à une bourse. En plus, ces derniers seront accompagnés par des mentors, salariés volontaires du groupe RATP, qui ont à cœur de partager leurs valeurs et de transmettre leur expérience.

    En partenariat avec la Fondation Mines-Télécom, la Fondation groupe RATP s’engage depuis 2012 en accordant des bourses pour favoriser la réussite d’étudiants prometteurs dont la situation personnelle rend plus difficile la poursuite d’études dans des filières d’excellence. Les deux fondations ont ainsi pu soutenir 48 étudiants, l’occasion de découvrir les témoignages d’anciens bénéficiaires du dispositif et aujourd’hui diplômés.

     

    Témoignage de Romane, diplômée Télécom SudParis 2019

    romane gomesRomane Gomes, 24 ans, a été diplômée de Télécom SudParis en 2019. Elle travaille aujourd’hui dans le secteur de la finance à la Banque Postale. Elle revient pour nous sur son parcours et sur le soutien qu’elle a reçu grâce au dispositif « Trajets d’avenir ».

    « Après une prépa scientifique, j’ai choisi Télécom SudParis car il s’agissait d’une école généraliste qui avait en plus l’avantage de partager son campus et un certain nombre de ses cours avec IMT-BS, l’école de management de l’IMT. Je n’avais pas encore de projet professionnel concret, ce choix me permettait d’avoir des cours variés et d’affiner mes goûts pour certains domaines. J’ai vraiment apprécié les matières très scientifiques telles que les statistiques ou encore le cours sur les files d’attente. »

    « Ma situation financière était compliquée. Ma mère était seule pour m’assumer. J’étais boursière mais même avec des jobs étudiants, c’était vraiment dur de joindre les deux bouts. Cet accompagnement financier m’a apporté une vraie respiration au cours de mon cursus, il s’agissait d’une aide importante. Lorsque l’on est confronté à des problématiques financières à côté des cours, c’est un poids supplémentaire difficile à supporter au quotidien. Grâce à cette bourse, j’ai pu alléger le nombre d’heures de travail alimentaire à côté de mes études et me consacrer pleinement à ces dernières. Cela fait considérablement redescendre la pression. » 

     

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