Auteur/autrice : David Keita Martinez

  • Les projets Cassiopée

    Les projets Cassiopée

    Découvrez les projets Cassiopée

    Les projets, qui jalonnent les trois années du cursus, cultivent chez nos élèves ingénieurs la capacité à créer, à innover, à initier le changement dans le monde numérique. En ce sens, la deuxième année est charnière dans leur formation. L’élève commence à se spécialiser en construisant son propre parcours. Les projets l’accompagnent ainsi vers une montée progressive en compétences. Les projets GATE® (Gestion et de l’Apprentissage du Travail en Équipe) invite nos élèves ingénieurs de 1ère année à participer au développement d’un événement dans toutes ses composantes professionnelles. Le Challenge projets d’entreprendre les amène à créer leur start-up ensemble. Enfin le projet Cassiopée voit l’élève ingénieur s’investir dans un projet long, débouchant sur des résultats concrets ayant vocation à être exploités.

    Dans le cadre des projets Cassiopée et en l’espace de cinq mois, environ 200 élèves en 2e année de cycle ingénieur à Télécom SudParis travaillent sur une centaine de projets, par équipe de deux ou trois, dans les domaines suivant : Informatique, Réseaux, Multimédia, Web, Gestion, Management, Signal, Image, Sciences humaines et sociales, Physique, Spatial…

    Proposés initialement par des enseignants-chercheurs de l’École ou des entreprises partenaires, ils peuvent être de trois types : recherche, développement ou industriel.

     

     

    Projets industriels

    Les projets industriels, en partenariat avec les PME/PMI, grands groupes et associations, matérialisent des développements innovants dans les domaines des réseaux fixes et mobiles, des systèmes d’informations, de l’informatique, du multimédia, de la physique, du spatial, etc. Cette collaboration porte sur des problématiques réelles et pratiques des entreprises.

    Zoom sur le projet industriel de Soukaina et Amine

    • Partenaire industriel : LVMH.

    • Projet : Exploiter l’intelligence artificielle pour sa nouvelle méthode de prédiction des ventes de ses produits de luxe.

    « Pour pouvoir faire ses prédictions, nous avons dû récolter beaucoup de données de LVMH, ajouter d’autres données, traiter des données hétérogènes et après, définir un modèle de prédiction ». « Nous avons aussi eu l’opportunité d’améliorer nos compétences en machine learning et nos connaissances sur l’IA ».

    Zoom sur le projet industriel de Gaétan, Tsimafei, Victor

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    © Déclic Club Photo

    • Partenaire association : INTech.

    Projet : Développement d’un système automatisé.

    « Nous avons pour objectif de construire et coder un robot répondant parfaitement à un cahier des charges très précis dans l’objectif de participer (et gagner)  la coupe de France de robotique 2022. Ce projet s’inscrit dans une lignée de projets Cassiopée participant à la coupe de France de robotique qui chaque année, explorent, implémentent voire même développent les technologies qui sont à la pointe des systèmes embarqués« .

     

    Projets de recherche

    Les projets de recherche permettent aux étudiants de toucher à des sujets tels que : séparation aveugle de sources, implémentation et démonstration de multi-homing avec le protocole mSCTP, étudier la capacité d’innovation des entreprises françaises, etc.  Ces travaux permettent aux étudiants d’entrer en contact avec le monde de la recherche, fondamentale ou appliquée, qui se pratique dans les laboratoires de l’école.

    casiopee 1 e1654263670569Zoom sur le projet de recherche de Bastien, Alexandre, Théo et Grégoire

    • Partenaire entreprise : start-up ITMP.

    • Projet : développement d’une application mobile.

    « On souhaitait vraiment développer une application dans un contexte réel, réaliser quelque chose qu’on n’avait jamais eu l’occasion de faire en cours. Dans ce contexte réel et actuel, on pouvait voir clairement ce que notre travail pouvait apporter« .

     

    Projets de développement

    Les projets de développement visent à accroître chez les étudiants de nouvelles connaissances techniques. Les études peuvent porter sur des sujets tels que : étudier une solution de fédération d’identité open source, réaliser des prototypes de services, concevoir des études de cas, créer des applications de communication Bluetooth pour une plateforme Android, etc.

    Zoom sur le projet de développement de Baptiste et Alexis

    • Partenaire industriel : IBM.

    • Projet : mise en œuvre d’un modèle de maturité de la transformation numérique des entreprise.

    « La transformation numérique d’une entreprise, ce n’est pas juste avoir les meilleurs ordinateurs et des objets connectés partoutElle existe seulement si la technologie sert à mettre en avant le travail de ses employés et libère leur potentiel ».

    Zoom sur le projet de développement de Quentin, Matthieu, Mathieu

    cassiopee hackademint• Partenaires : DGSE, OVHcloud et VivaTech

    • Projet : Participation à la conception et mise en oeuvre d’un challenge de cybersécurité

    « Le 404 CTF est une compétition de cybersécurité organisée en partenariat avec le Ministère des Armées et Télécom SudParis, dont l’organisation technique a été confiée à HackademINT. Au sein du club, le projet Cassiopée nous permet de travailler sur la mise en place et la gestion de l’infrastructure nécessaire pour ce challenge en ligne. C’est un défi technique car nous devons mettre à disposition des participants des applications intentionnellement vulnérables mais de manière sécurisée« .

     

     

    Louis, Emilien, Riad et Léandre, vainqueurs de l’édition 2021

    201768352 10159274838618158 3802087245446433428 nLouis Grenioux, Emilien Roux, Riad El Otmani et Léandre Adam-Cuvillier ont remporté le 1er prix Cassiopée 2021 en ayant travaillé sur l’utilisation d’outils de machine learning sur le trading des contrats futures européens.

    Grâce à deux encadrants, Laurent Abril, trader en compte propre et Sylvain Le Corff, enseignant-chercheur en statistiques à Télécom SudParis, ils ont conçu une solution inédite, sans utiliser de réseaux de neurones jugés trop gourmands en calculs et peu interprétables :

    Le but de ce projet Cassiopée est de pouvoir prédire des cours boursiers à court terme via l’utilisation d’outils de la science des données. Plusieurs équipes d’étudiants (venant de Télécom SudParis ou d’autres membres de l’Institut Polytechnique de Paris) se sont déjà penchées sur ce problème, mais aucune solution déployable en production n’a été déterminée : ce projet est donc véritablement un projet de recherche.”

     

    Découvrez l’intégralité des posters de l’édition 2021

    Les projets Cassiopée

    Pour plus d’informations, contactez :

    Dr Ing Joséphine KOHLENBERG

    Directeur d’Etudes – Responsable des Formations Professionnelles 

    E-mail : @josephine.kohlenberg

  • Karolina Gorna au cœur des données spatiales

    Karolina Gorna au cœur des données spatiales

    Karolina Gorna au cœur des données spatiales

    Elève ingénieure en 2e année à Télécom SudParis, Karolina Gorna est depuis un an à la tête de Kryptosphere, la première association étudiante spécialisée sur la blockchain et les nouvelles technologies. Passionnée par l’espace et plus particulièrement l’économie spatiale, elle a été choisie par la NASA comme community lead du Space Apps Challenge Paris 2020.

    5Qu’est-ce que le NASA International Space Apps Challenge ?

    Il s’agit du plus grand hackathon international, qui fait partie d’un programme d’incubation de la NASA. Celui-ci convie des participants du monde entier le temps d’un week-end pour créer des applications informatiques. Cette année, il a rassemblé 26 000 participants à travers 150 pays et territoires. Ce challenge a pour but d’exploiter les données collectées par des satellites pour résoudre des problèmes concrets rencontrés sur terre ou dans l’espace.

    La spécificité est que les données des cinq agences spatiales partenaires – NASA, CSA, CNES, ESA et JAXA – sont open source, et donc accessibles à tous. Au regard de leur nombre, il est difficile de les traiter toutes ; le NASA International Space Apps Challenge est l’opportunité de stimuler des contributions à la science de tous citoyens, à travers des challenges divers et variés.

     

    En quoi consiste le rôle de community lead ?

    Le community lead est la ou les personnes qui organisent le NASA Space Apps Challenge dans une localisation dans le monde, et il y en a autant que de villes participantes, c’est-à-dire 251 cette année. J’ai eu le plaisir de partager ce rôle avec Julie Martin, qui m’a rejoint au cours de cette édition. Pendant un mois et demi, nous avons participé chaque semaine aux réunions en ligne avec les autres community lead de toutes les localisations. Ces réunions nous ont permis d’acquérir toutes les bases organisationnelles de l’événement, de la gestion du site internet à l’utilisation des offres des collaborateurs globaux et des plateformes en ligne.

    La France a organisé le Space Apps la dernière fois en 2014, mais il fallait tout reprendre en main, et notamment créer des réseaux sociaux et organiser les cérémonies d’ouverture et fermeture disponibles en rediffusion sur YouTube (chaîne KRYPTOSPHERE Student Society). Maintenant que les résultats du challenge sont connus, nous accompagnons les 2 projets gagnants EDD et X-Antenna, pour la phase suivante. Ils sont en compétition avec les autres vainqueurs de chaque localisation pour les titres de global winner par catégorie annoncés en janvier prochain.

    Comment avez-vous été choisie pour organiser le Space Apps Challenge Paris ?

    OI000029.JPGL’histoire est assez insolite car le hackathon n’est que très peu connu en France. Au printemps dernier, nous organisions une table ronde avec Kryptosphere sur le futur des nouvelles technologies en Afrique. C’est en regardant le profil de l’un des intervenants sur LinkedIn que j’ai vu qu’il avait gagné un Award en participant au Space Apps Challenge de sa localisation.

    Après des recherches, j’ai constaté qu’il était possible de candidater pour
    organiser ce challenge dans sa propre ville et je n’ai pas hésité à postuler de suite pour Paris. Ma surprise était d’autant plus grande quand j’ai réalisé que la France n’avait pas participé au challenge les années passées, alors que nos voisins, l’Italie ou l’Espagne, comptaient plus de dix localisations chacun. Au début du mois d’août, j’ai appris que ma candidature a été retenue et ce fut le début de l’aventure.

    Le Covid a-t-il impacté cette édition ?

    La NASA a voulu trouver une solution pour ne pas annuler l’événement malgré les mesures sanitaires. C’est pourquoi en mai, l’agence spatiale américaine a testé un challenge spécial Covid entièrement virtuel, qui s’est avéré concluant. La 9e édition du Space Apps Challenge s’est donc tenu totalement en virtuel, sur le modèle de celui-ci. Nous avons utilisé la plateforme Rocket.Chat ainsi qu’un serveur Discord et Slack pour interagir avec les participants et entre nous. L’expérience était certainement différente de ce qui a pu se faire lors des éditions précédentes, mais l’émotion et la joie étaient bien présentes.

    Peut-on en conclure que le Space Apps Paris 2020 est un succès ?

    Dans notre localisation, donc en France, nous avons réuni 114 inscrits, dont 64 participants répartis dans 20 équipes pendant le hackathon de 39h. En comparaison, des localisations historiques telles que celles de Brescia en Italie, dont la community lead animait une conférence Tedx récemment, comptait 60 participants. Nous sommes donc assez contents du résultat.

    Il était touchant de voir également que l’ensemble de l’événement était un appel à la diversité et au partage : lors du weekend de hack, nous avons par exemple été invités à rejoindre le live animé par les community lead d’Islamabad au Pakistan ! Finalement, le véritable succès a surtout été de monter le projet ensemble avec les membres de Kryptosphere : Julie bien-sûr, ainsi que Louis, Anne-Sophie, Aymeric, Luka, Thurshani et Anas. Un vrai travail d’équipe !

    Voudriez-vous l’organiser à nouveau ?

    Certainement ! Nous nous sommes déjà réinscrits et espérons que la prochaine édition se tiendra en physique, ou du moins en version hybride. Il est certain qu’avec l’expérience acquise, nous mettrons tout en œuvre pour que la 10e édition de l’International Space Apps Challenge à Paris soit d’autant plus inoubliable. Il ne s’agit pas seulement d’un hackathon, mais d’un événement intergénérationnel qui fait rêver et nous dont nous continuerons à entretenir la flamme.

     

  • Organisation

    Organisation

    Organisation

    Télécom SudParis est structuré en une Direction, 6 directions métiers, 6 départements d’enseignement et de recherche, 4 services communs avec IMT-BS.

    Direction

    François Dellacherie

    Directeur : François Dellacherie

     

    Hervé Debar

    Directeur adjoint : Hervé Debar

     

    Formations

    Emmanuel Monfrini

    Directeur : Emmanuel Monfrini

     

    Relations internationales

    Stéphane MAAG

    Directeur par intérim : Stéphane Maag

     

    Recherche
    et formations doctorales

    Hervé Debar

    Directeur : Hervé Debar

     

    Innovation
    et Relations Entreprises

    olivier

    Directeur : Olivier Martinot

     

    Communication

    Sandrine Bourguer

    Directrice : Sandrine BOURGUER

     

    Affaires générales

    Benoit Jean

    Délégué : Benoit JEAN

     

    Départements

    Département ARTEMIS

    Titus zaharia

    Directeur : Titus ZAHARIA

    Recherche et techniques avancées
    pour les systèmes d’imagerie multidimensionnelle
    En savoir plus sur ARTEMIS

     

    Département CITI

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    Directeur : Randal DOUC

    Communications, Images
    et Traitement de l’Information
    En savoir plus sur CITI

     

    Département RS2M

    djamal zeghlache

    Directeur : Djamal ZEGHLACHE

    Réseaux et Services Multimédia Mobiles
    En savoir plus sur RS2M

     

    Services communs

    Secrétariat général

    Thibault Sardent

    Secrétaire général : Thibault SARDENT

     

    Finance

    Gisèle GEORGES Directrice des affaires financières de Télécom SudParis

    Directrice : Gisèle GEORGES

     

    Ressources humaines

    Marc Morelli

    Directeur : Marc Morelli

     

    Informatique et système d’information

    Eric COLLERY

    Directeur : Eric COLLERY

     

  • Institut Polytechnique de Paris fête son 1er anniversaire

    Institut Polytechnique de Paris fête son 1er anniversaire

    Institut Polytechnique de Paris fête son 1er anniversaire

    Le 31 mai 2019, l’Institut Polytechnique de Paris a été créé, réunissant Ecole Polytechnique, ENSAE Paris, ENSTA Paris, Télécom Paris et Télécom SudParis. Si bâtir un institut de rang mondial prend du temps, il n’a fallu qu’un an pour que l’union des cinq grandes écoles à travers IP Paris porte déjà ses fruits.

     

    Le premier bilan du Président Eric Labaye

     

    1 an de réalisations

     

    Programmes de formation d’excellence, recherche de pointe, innovation, IP Paris s’est donné les moyens de devenir un institut de science et technologie de tout premier plan. Depuis sa création, un certain nombre de réalisations marquantes sont à observer :

    Déjà dans le classement « de Shanghaï »

    shanghai rankingEn juin dernier, l’Institut Polytechnique de Paris a fait son entrée dans le prestigieux Shanghai Global Ranking of Academic Subjects. Depuis quasiment vingt ans, ce palmarès classe plus de 4000 institutions à travers le monde dans 54 disciplines couvrant cinq grands domaines : Ingénierie, Sciences de la vie, Sciences médicales, Sciences naturelles et Sciences sociales. Il évalue notamment la productivité et la qualité de la recherche, les collaborations internationales ainsi que les reconnaissances académiques.

    En terme de compétitivité, les prochains objectifs sont évidemment d’intégrer les deux autres classements mondiaux les plus réputés dans le domaine de l’enseignement supérieur : QS (QS World University Rankings) publié par Quacquarelli Symonds et celui du Times Higher Education World University Rankings.

     

    Le centre interdisciplinaire Energy 4 Climate

    E4CE4C relève les défis des transitions énergétiques avec ses 8 institutions, 4 partenaires industriels et 26 laboratoires de recherche.

    Il a pour vocation de former les futurs leaders des énergies de demain et devrait permettre à IP Paris d’entrer dans l’élite mondiale de la transition énergétique.

     

    70 masters et PhD tracks.

    masters phd ipparisTournés vers l’international, ces programmes d’enseignement visent à fournir aux étudiants le meilleur du monde de la recherche, dans un écosystème favorisant l’innovation et l’entrepreneuriat.

    Leurs cinq domaines prioritaires sont : Énergétique et changements climatiques, Sécurité, Numérique, Technologique et Santé.

     

    4 Ecoles Universitaires de Recherche (EUR)

    Permettant l’octroi de 14 millions d’euros de financement pour la recherche, les 4 projets lauréats ont été développés en partenariat avec le CNRS ainsi que plusieurs autres établissements d’enseignement et de recherche. Ces derniers intègrent une forte dimension internationale et entretiennent des liens étroits avec les acteurs économiques.

     

    La signature d’une convention avec HEC Paris.

    hec ipparisRatifiée par les conseils d’administration de toutes les Écoles signataires, elle entérine le lancement de projets académiques structurants dans le domaine de la Technologie et de l’Innovation Business.

    Cette coopération «doit permettre la rencontre entre le monde du savoir et le monde de l’entreprise» avait indiqué le président d’IP Paris Éric Labaye au moment de la signature.

     

    Un campus dynamique, innovant, attractif et durable, commun aux écoles fondatrices à Palaiseau.

  • Eva LE GAL OSTRZEGA, Promotion 2020, vous présente son parcours SEED

    Eva LE GAL OSTRZEGA, Promotion 2020, vous présente son parcours SEED

    « A Télécom SudParis, je suis ainsi passée des data sciences en deuxième année à l’entrepreneuriat en dernière année. »

    Eva Le Gal Ostrzega est élève-ingénieure en dernière année à Télécom SudParis (promotion 2020).  Avant d’intégrer l’école, elle a fait une prépa Physique-Chimie (PCSI/PC*) au lycée Janson de Sailly, à Paris. Elle présente son parcours, notamment sa voie d’approfondissement Stratégie et Entrepreneuriat à l’ère du Digital.

    Pourquoi avez-vous choisi Télécom SudParis et quelle voie d’approfondissement avez-vous suivie ?

    Eva Le Gal Ostrzega

    J’ai d’abord choisi Télécom SudParis car je voulais faire une école à dominante mathématiques. La seconde raison qui a motivé mon choix, c’est la grande diversité des parcours des anciens élèves.

    J’ai suivi la voie d’approfondissement Entrepreneuriat (SEED-Entrepreneuriat) pour consacrer ma dernière année à un projet de création de start-up, avec trois amis, au sein de l’incubateur IMT Starter.

    Quel stage avez-vous réalisé et dans quel secteur ?

    J’ai réalisé deux stages de six semaines dans le secteur de la finance à Londres. Le premier consistait en de la recherche statistique dans une société de gestion de fond, et le second en de la recherche de produit dans une start-up faisant de la blockchain pour la gestion de trésorerie en entreprise.

    Partagez-nous un souvenir ou une anecdote de votre passage chez Télécom SudParis ?

    Je garde un excellent souvenir du Challenge Projet d’Entreprendre en deuxième année, lors duquel est née VocaCoach, la startup sur laquelle je travaille. Ce Challenge, c’est une semaine intensive de création d’entreprise, c’est très instructif.

    Quelle expérience à l’international avez-vous vécu ?

    Mes deux stages à Londres ont été de superbes expériences. A chaque fois, j’étais logée chez l’habitant et je travaillais avec des personnes de toutes les nationalités. J’ai beaucoup aimé travailler à Londres et avoir le temps de vraiment découvrir la ville.

    De quoi êtes-vous le plus fière dans votre vie d’élève-ingénieure ?

    Je suis très fière du travail accompli avec mes équipiers sur notre startup VocaCoach. En un an, on a atteint des résultats qu’on n’aurait vraiment pas imaginés au commencement. VocaCoach, c’est une solution logicielle de coaching à l’expression orale qui fonctionne avec de l’intelligence artificielle et de l’analyse de la voix. Ça fait un an qu’on travaille dessus et on est en train de lancer la phase de commercialisation.

    Etiez-vous investi dans une vie associative ? Si oui, résumez votre expérience et ce qu’elle vous a apporté.

     En deuxième année, j’étais vice-présidente de Rock’INT, le club de danse rock de l’école. Nous organisions des cours chaque semaine pour transmettre ce que nous avions nous-mêmes appris en première année, et organisions des spectacles de démonstration. Ça a été une superbe expérience.

    Pour quelles raisons recommanderiez-vous Télécom SudParis ?

    Télécom SudParis est une école qui permet d’accéder à des métiers très variés, puisqu’aujourd’hui le numérique est absolument partout.

    Un mot pour définir l’école / votre formation ?

    Varié ! Il y a un très large choix de parcours à Télécom SudParis. Je suis ainsi passée des data sciences en deuxième année à l’entrepreneuriat en dernière année.

     

     

  • Subashiny TANIGASSALAME, Promotion 2018, vous présente son parcours ASR

    Subashiny TANIGASSALAME, Promotion 2018, vous présente son parcours ASR

    « Les compétences acquises grâce à ASR m’ont permis de devenir opérationnelle rapidement pour travailler avec un superordinateur. »

    Subashiny TANIGASSALAME est diplômée de Télécom SudParis, Promotion 2018. Après avoir obtenu son BAC avec mention Très Bien au Lycée Jean Jaurès d’Argenteuil, elle a fait une 1ère année de classe préparatoire MPSI au Lycée Condorcet. Elle a réalisé sa 2ème année de classe préparatoire PSI au Lycée Buffon, toujours à Paris. Elle vous présente son parcours.

    Pourquoi avez-vous choisi Télécom SudParis ?

    Subashiny TANIGASSALAME

    J’ai choisi Télécom SudParis principalement pour les modules informatiques proposés par l’école.

    J’ai aussi eu l’occasion de visiter le campus et le foyer étudiant, lors de mon épreuve d’oral, et c’est là que m’ont plu l’ambiance générale et la vie associative.

    La localisation en Île-de-France était également un grand plus pour moi.

    Quelle voie d’approfondissement avez-vous suivie ?

    J’ai suivi la voie d’approfondissement ASR pour le côté programmation informatique. La VAP ASR m’a permis de m’initier à plusieurs technologies et aux différents langages et méthodes de programmation. Plusieurs modules d’ASR se déroulent sous forme de projets, ce qui permet de mettre en pratique nos connaissances et aussi de confronter les problèmes liés au projet.

    Quel stage avez-vous réalisé ?

    J’ai effectué mon stage de fin d’études dans un laboratoire de recherche d’EDF à Palaiseau, où j’étais dans l’équipe “Réalité Virtuelle et Visualisation Scientifique”. J’ai beaucoup été attirée par la recherche, c’est une des raisons pour lesquelles j’ai choisi ce stage. Les principales missions qui m’ont été confiées étaient :

    • Tester les capacités d’apprentissage “deep-learning” des clusters de cartes graphiques que possède EDF Lab.
    • Construire un prototype pour la génération de méta-modèles “deep-learning” à base de réseau de neurones utilisant Keras à partir de simulations avec plusieurs jeux de paramètres.

    Lors de ce stage j’ai eu la chance d’utiliser un Super Ordinateur (classé 128 TOP500 en 2016). Les compétences que j’ai acquises grâce à ASR m’ont été très utiles pour le bon déroulement du stage. Elles m’ont permis de devenir opérationnelle rapidement pour travailler avec un superordinateur. J’ai aussi pu apprendre assez vite à utiliser de nouveaux frameworks comme Tensorflow et Keras.

    Partagez-nous un souvenir ou une anecdote de votre passage chez Télécom SudParis.

    La première semaine à l’école il y avait une présentation du département informatique. Le professeur a dit qu’il serait possible de faire un doctorat et commencer une carrière de recherche après l’école d’ingénieurs. J’étais vraiment contente d’avoir cette information, j’ai commencé à me renseigner auprès de lui dès la fin de cet amphi. J’ai aussi fait mon stage de 1ère année au laboratoire informatique de l’école. Actuellement je suis doctorante en informatique à Télécom SudParis.

    Quelle expérience à l’international avez-vous vécu ?

    En fin de 2ème année, j’ai fait un stage de 12 semaines à INESC-ID (Institution de la recherche et du développement dans les domaines de l’électronique, l’énergie, la télécommunication et l’informatique) à Lisbonne.  Durant ce stage, mes missions étaient :

    • Étude de la mémoire persistante NVM (Non-VolatileMemory)
    • Évaluation d’une structure des données en implémentant dans le benchmark TPC-C

    Ce stage à l’international m’a permis de développer mes compétences professionnelles mais j’ai aussi appris sur le point de vue personnel. J’ai acquis une certaine indépendance en vivant seule dans un pays sans parler la langue locale.

    Etiez-vous investi dans une vie associative ?

    J’étais membre du club photo « Déclic » ce qui m’a permis de développer une vraie passion pour la photographie.

    Pour quelles raisons recommanderiez-vous Télécom SudParis ?

    Télécom SudParis est constituée d’une équipe pédagogique compétente et possède une vie associative très riche avec des associations très variées.

    Un mot pour définir l’école et votre formation ?

    Développement

    Un mot pour décrire votre expérience humaine chez Télécom SudParis ?

    Indépendance

     

  • Anne-Sarah Tronchet, Promotion 2020, vous présente son parcours DSI

    Anne-Sarah Tronchet, Promotion 2020, vous présente son parcours DSI

    « J’ai choisi DSI parce que cette VAP me permettait de trouver cet aspect technico-fonctionnel que je recherchais. »

    Anne-Sarah Tronchet est élève-ingénieure en dernière année  (Promotion 2020). Elle est arrivée à Télécom SudParis après une classe de PCSI puis PC* au Lycée Charlemagne, à Paris IV. Elle vous présente son parcours.

    Pourquoi avez-vous choisi Télécom SudParis ?

    Anne Sarah TRONCHET3

    Télécom SudParis est une école généraliste tournée vers le numérique. Ne sachant pas encore, à l’époque, ce que je voulais faire mais ayant une certaine appétence pour le numérique et les nouvelles technologies, elle semblait être un choix pertinent.

    Pour ne rien gâcher, c’est une école réputée avec de nombreux partenaires qui possède un campus partagé avec une école de commerce.

    Quelle voie d’approfondissement avez-vous suivie ?

    J’ai suivi la voie d’approfondissement DSI (Intégration et Déploiement des Systèmes d’Information). En début de 2ème année, j’ai suivi un module de découverte dans le domaine des systèmes d’information qui m’a énormément plu. Nous avons pu y découvrir le monde du conseil, avec une vision plutôt fonctionnelle. Même si cette vision-ci m’a plu, j’aime beaucoup mettre les mains dans le technique.

    Pour moi, il est indispensable de comprendre les bases techniques pour avoir une vision plus globale et pouvoir faire de meilleurs choix fonctionnels. J’ai choisi DSI parce que cette VAP me permettait de trouver cet aspect technico-fonctionnel que je recherchais.

    Quel stage avez-vous réalisé ?

    J’effectue actuellement mon stage de fin d’études en tant que consultante en architecture SI chez Nexworld, un cabinet de conseil IT à Paris XVII. Ce stage ne fait que me conforter dans l’idée que j’ai fait le bon choix de rejoindre la VAP DSI qui m’a apporté les bonnes bases pour devenir un jour architecte.

    Etiez-vous investi dans une vie associative ?

    J’ai fait partie d’AIESEC, la plus grande ONG étudiante internationale du monde qui vise à développer les compétences et le leadership des étudiants en leur proposant des stages à l’étranger. J’ai eu l’opportunité de manager ma propre équipe, de les former, mais aussi d’avoir la responsabilité d’une centaine d’étudiants voulant partir à l’étranger.

    J’ai été en contact avec des étudiants du monde entier, avec qui j’ai pu travailler et de qui j’ai énormément appris. S’investir associativement est un excellent moyen de se responsabiliser et d’acquérir des soft-skills indispensables qui ne sont pas forcément enseignés dans les cours théoriques – sans oublier les amitiés que l’on lie et qui sont renforcées par les moments partagés au sein de l’association choisie, quelle qu’elle soit.

    Partagez-nous un souvenir ou une anecdote de votre passage chez Télécom SudParis ?

    Les événements promouvant le travail d’équipe sont les meilleurs souvenirs que je garde de Télécom SudParis. Autant les événements sportifs, comme le TOSS, que les événements organisés dans le cadre de mon cursus, comme le hackathon organisé par l’école en partenariat avec Davidson Consulting, ou les événements associatifs comme le Global Village (organisé par AIESEC, il permet à chacun de partager sa culture et d’en découvrir d’autres au travers d’un voyage culinaire). Ils permettent de se challenger, d’apprendre à communiquer avec les autres, d’ouvrir son esprit et surtout de sortir de sa zone de confort.

    Quelle expérience à l’international avez-vous vécu ?

    Entre ma première et ma deuxième année, je suis partie en stage en Grèce, en tant que consultante SI dans le domaine hôtelier. J’ai pu y perfectionner mon anglais, mais surtout comprendre un peu plus ce que j’attendais du monde professionnel : des missions stimulantes, avoir un réel impact sur le monde qui m’entoure et apprendre sans cesse.

    Pour quelles raisons recommanderiez-vous Télécom SudParis ?

    Télécom SudParis a vraiment été une révélation pour moi. Toujours indécise jusqu’à la fin de mes années de classe préparatoire, cette école m’a permis de trouver ma voie et, d’un point de vue plus personnel, de grandir en tant que personne et de devenir quelqu’un dont je suis fière aujourd’hui.

    Un mot pour décrire votre expérience chez Télécom SudParis ?

    Finalement, mon expérience chez Télécom SudParis a été extrêmement enrichissante : autant au niveau du développement professionnel, mais aussi au niveau humain, avec des expériences associatives inoubliables. Je ne regrette absolument pas mon choix d’avoir rejoint Télécom SudParis.

     

  • Arwa Zahraman, Promotion 2019, vous présente son parcours MSA

    Arwa Zahraman, Promotion 2019, vous présente son parcours MSA

    « Cette voie d’approfondissement m’a introduite au monde du traitement des données massives « Big Data » et de l’intelligence artificielle »

    Arwa Zahraman est diplômée de Télécom SudParis (promotion 2019). Elle a intégré Télécom SudParis à l’issu de deux années de classes préparatoires aux grandes écoles au Lycée Kléber à Strasbourg. Elle vous présente son parcours.

    Pourquoi avez-vous choisi Télécom SudParis ?

    arwa zahraman2Télécom SudParis offre une formation très riche et des choix de spécialisations très diversifiés qui nous garantissent une très bonne insertion professionnelle.

    L’existence de deux écoles Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School sur le même campus m’a permis de mener des projets en commun avec des étudiants de l’école de management et donc de développer une double compétence technique et métier.

    Quelle voie d’approfondissement avez-vous suivie et pour quelles raisons ?

    J’ai choisi lors de ma formation l’option Modélisation et statistiques appliquées qui m’a permis de développer des compétences en modèles statistiques appliquées aux domaines de communication numériques et de finance. Cette voie d’approfondissement m’a également introduit au monde du traitement des données massives « Big Data » et de l’intelligence artificielle.

    Quel(s) stage(s) avez-vous réalisé ?

    J’ai réalisé mon stage de fin d’études chez Deloitte à l’issu duquel j’ai été recrutée en tant que Consultante Data Scientist.

    Racontez-nous une expérience à l’international ?

    J’ai effectué deux stages en Australie qui m’ont permis de mettre en pratique les connaissances techniques que j’ai acquis à TSP. Grace à cette expérience à l’international j’ai également évolué sur le plan humain en portant un regard différent sur la culture de travail dans un pays étranger. J’ai appréhendé de nombreuses situations qui m’ont permis de travailler mon ouverture d’esprit et ma tolérance.

    De quoi êtes-vous le plus fier dans votre vie d’élève-ingénieur ?

    Ce qui me rend le plus fière c’est le fait d’avoir travaillé pendant trois ans avec des professeurs qui m’ont tant apporté sur le plan technique que sur le plan humain.

    Un mot pour définir l’école / votre formation ?

    Riche

    Un mot pour décrire votre expérience humaine chez Télécom SudParis ?

    Diversité et tolérance

     

  • M’hamed Setti, Promotion 2019, vous présente son parcours MSA

    M’hamed Setti, Promotion 2019, vous présente son parcours MSA

    « La cohabitation sur le même campus de Télécom SudParis avec Institut Mines-Télécom Business School est un atout fort pour l’école »

    M’hamed Setti est issu de notre promotion 2019. Il a intégré Télécom SudParis après une formation en classes préparatoires aux grandes écoles au Lycée Montaigne à Bordeaux, option MP. Il nous présente son parcours.

    Pourquoi avez-vous choisi Télécom SudParis ?

    VAP MSA SETTI Mhamed2

    J’ai choisi Télécom SudParis pour sa formation d’ingénieur généraliste, qui permet, à travers des programmes riches et diversifiés, de découvrir l’ensemble des thématiques du monde du numérique, avant de se spécialiser dans le domaine qui nous correspond le mieux.

    De plus, la cohabitation sur le même campus de Télécom SudParis avec Institut Mines-Télécom Business School est un atout fort pour l’école. Elle permet de développer des compétences transverses, autant technique que managériale, qui me paraissent essentiels en tant qu’ingénieur et ce à travers des projets communs tout au long des 3 années de formation.

    Quelle voie d’approfondissement avez-vous suivie ?

    J’ai choisi lors de ma formation de suivre la voie d’approfondissement  » Modélisations Statistiques et Applications  » (MSA). Ayant un attrait pour les mathématiques, cette voie d’approfondissement m’a permis de développer des compétences en modélisation statistique appliquée à des domaines divers ainsi qu’à l’analyse des données massives et de l’intelligence artificielle.

    Quel(s) stage(s) avez-vous réalisé, dans quel secteur et où ?

    Durant ma formation, j’ai pu effectuer trois stages :

    J’ai effectué mon stage de 1ère année au Maroc (6 semaines) au sein du Ministère de l’Economie et des Finances, dans le domaine de l’administration des réseaux.

    J’ai effectué un stage en fin de 2ème année au sein d’Essilor (3 mois), dans le domaine de l’analyse de données / traitements statistiques.

    J’ai effectué mon stage de fin d’études chez Deloitte (6 mois), en tant que Consultant Data Scientist. A l’issu de ce stage, j’ai été recruté par Deloitte en CDI.

    Quelle expérience à l’international avez-vous vécu et que vous a-t-elle apporté ?

    J’ai effectué un stage au Maroc de 6 semaines dans le domaine de l’administration des réseaux. Durant ce stage, j’ai pu mettre en pratique les connaissances techniques que j’ai acquis à Télécom SudParis dans ce domaine, ainsi qu’acquérir de nouvelles compétences. Cette expérience à l’international m’a permis de découvrir une autre culture de travail, qui m’a été bénéfique pour pouvoir collaborer au mieux dans des environnements de travail multiculturels dans le monde de l’entreprise.

    De quoi êtes-vous le plus fier dans votre vie d’élève-ingénieur ?

    Je suis fier d’avoir pu construire sereinement mon futur parcours professionnel tout au long de mes 3 années à Télécom SudParis. Ce chemin s’est construit par l’acquisition de compétences techniques fortes mais aussi de « soft-skills » qui me semblent fondamentaux et ce auprès de professeurs qui ont toujours su m’accompagner.

    Pour quelles raisons recommanderiez-vous Télécom SudParis ?

    Je recommande Télécom SudParis pour sa formation généraliste,qui permet aux étudiants de découvrir l’ensemble des possibilités qui leur sont offerts dans le monde du numérique, avant de se spécialiser dans le domaine qui leur correspond le mieux.

    L’insertion professionnelle y est également très bonne, notamment grâce aux différentes actions menées par l’école tout au long de la formation (stages, forums de recrutement, partenariats avec les entreprises…)

    Un mot pour définir l’école / votre formation ?

    Riche

    Un mot pour décrire votre expérience humaine chez Télécom SudParis ?

    Diversité

  • Serious Game : découvre l’école en mode immersif

    Serious Game : découvre l’école en mode immersif

    Serious game : découvre l’école en mode immersif

     

    serious game2Dans ce serious game, 4 étudiants et 1 enseignant te proposent une visite virtuelle interactive de l’école. Dans chaque décor, ils te posent une question. Tu as 120 secondes pour trouver la réponse sur le site de Télécom SudParis.

    Sois le plus rapide et viens affronter les meilleurs lors de la Grande Finale sur Discord*. Les gagnants remporteront des cadeaux aux couleurs de l’école.

     

    *Voir le règlement du jeu

     

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